mardi 26 décembre 2017


Les applications pour manger sainement : source de bien-ètre ou source de stress.?

Le corps a besoin de nourriture pour bien fonctionner ; pour cela, il est conseillé de varier les aliments en quantité et qualité , (;) pour avoir une bonne santé physique, psychologique. Le fait de se priver de nourriture (,) nous amène à développer une relation négative avec la nourriture et avec le plaisir de manger. Chez certaines personnes, la nourriture devient une  préoccupation, ce qui peut provoquer des troubles du comportement chez eux ; le fait de compter les calories qu’on mange à (dans) chaque moment(s) et chaque repas (;) rend le fait de manger très pénible, stressant.  De plus,  cela  ne permet(is) pas de diminuer son poids ; je pense que cette méthode est très ancienne, cela fait  (s’affait) longtemps qu'on l'utilise mais on sait qu'elle ne donne pas (qu’elle n’a pas donné(e)) de bons résultats. A mon avis, il faut manger de tout et de ne (pas) se priver (privilégier) de rien ; mais avec des rations très petites  et pendant(s) différents moments de la journée, c’est la meilleure façon de faire un régime ; en culpabilisant et en comptant  (Le fait de (se faire) culpabiliser et de compter) les calories, on ne voit plus la nourriture comme on devrait la voir.
Pour moi, tout(s) ce que je mange  me fait vraiment plaisir,(; C)ce plaisir que beaucoup  de(s) gens qui suivent des régimes stricts ne s'autorisent pas, Je n’ai pas une taille de mannequin, mais je suis à l’aise avec moi-même et  je pense c’est ça le principal(e).

13,5/20 Attention aux accords divers (F) et à la ponctuation (On la reverra en classe).

dimanche 3 décembre 2017

Je me souviens


Tous les jours, je me souviens de la personne la plus importante de ma vie. Elle était la personne en (avec) qui j'avais le plus de confiance : avec qui je parlais, je pleurais, je me déchargeais...


Je me souviens que nous parlions tous les jours, soit face à face, soit par téléphone. Elle voulait simplement entendre (sentir) ma voix et moi, j'(e n')avais besoin de la sienne aussi. Je me souviens de toutes les histoires qu'elle me racontait. Je me souviens qu'un jour elle m'a raconté qu'elle avait vu des lumières en regardant la télé. Je me souviens qu'elle nous a dit qu'elle ne voulait pas aller voir le médecin.

Je me souviens que la semaine suivante je suis allée chez elle, mais elle n'était pas là, elle n'était plus là. Elle avait souffert un ictus.

Je me souviens du mois le plus dur de ma vie, de ces jours à ses côtés, à (dans) l'hôpital, sans pouvoir parler. Oui (Si), désormais, elle ne pouvait ('a) pas (pu) prononcer un mot. C'était malheureux. Par contre, je me souviens de tout ce que nous disions grâce à nos yeux. Et, bien sûr, je me souviens de tout l'amour que nous nous sommes (avons) donné avec les embrassades et les câlins.

Je me souviens de son désespoir, elle ne voulait pas vivre dans (sous) ces conditions. Je la comprenais.

Elle est et sera le plus beau souvenir de ma vie.

Un souvenir très émouvant Maria Bel...   16/20

lundi 27 novembre 2017

Les applications pour manger sainement

En ce qui concerne ce sujet, je crois qu’aujourd’hui comme hier il y a eu des gens très préoccupés par la nourriture et la quantité de calories dans chaque plat. Mais avec les nouvelles applications qui sont à notre portée on trouve beaucoup de personnes qui sont réellement sur le point de tomber dans une névrose.

En outre,  on écoute et on lit chaque jour un grand nombre de publicités sur les effets "merveilleux" des produits pour mincir qui ne sont pas créés par des professionnels de la santé,  et qui n’ont pas été contrôlés par des organismes officiels.

C’est vrai qu’on doit soigner son corps , toutefois sans l’excès d’examiner de façon minutieuse(x) chaque cuillerée qu’on va (s’)avaler.

J’ai une amie qui a toujours contrôlé son poids. Aujourd’hui cette préoccupation est (a) devenue une obsession pour elle puisqu'elle s’oblige à suivre des régimes amincissants sans aucune nécessité, et franchement la peau de son visage est très fripée.

Je crois qu’il est important de savoir savourer la vie et de s'accorder un (e donner quelque) caprice de temps en temps bien qu'(e) on grossisse un peu (de) trop.

Je suis d'accord avec toi Pepa, il faut faire attention mais sans excès.

jeudi 23 novembre 2017

LA SANTÉ DANS L'ASSIETTE - SE NOURRIR DE LUMIÈRE



Je viens d'écouter cette video d'Alyna Rouelle, qui assure n'avoir pas mangé(er) depuis 2014. Elle se nourrit d'eau et de lumière. Qu'en pensez vous?

Test

Test.

lundi 20 novembre 2017

Réécriture de La grande Distribution


Auparavant, faire les commissions était plus difficile qu'aujourd'hui. Il fallait changer le système pour faire les courses pour ne plus devoir faire la tournée des commerçants du village. La grande distribution a été inventée pour faciliter la consommation bien qu'elle ne soit ni généreuse ni accueillante et évidemment, pas du tout désintéressée. Prenez votre argent pour aller dans les grands magasins et vous aurez la sensation d'être entourés d'un monde fantastique.

La grande distribution contribue à enlaidir les villes avec des panneaux écoeurants et mercantiles. Le chariot donne l'impression que c'est moins fatiguant de faire ses courses mais c'est seulement pour que le client ait les mains libres pour acheter plus. On ne sent pas à l'aise car il y a un contrôle exagéré, c'est à dire qu'on a l'impression d'être toujours surveillé afin que l'entreprise puisse connaître tes pensées et te manipuler.

Quand vous rentrez dans un supermarché, vous vous réjouissez en écoutant les différents types de musique relaxante et à la mode. Vous entendez aussi les différentes publicités des produits en promotion mais, à la fin, tout le monde se retrouve dans la queue qu'il faut subir pour passer à la caisse.

Nous fournisssons à nos employés un uniforme avec le logo de l'entreprise et si ça ne leur plaît pas, nous les menaçons de licenciement. Et en plus, nous les payons, nous sommes de bonnes personnes. Et s'ils ne sont pas contents, ils peuvent aller à Pôle Emploi.
Quant aux consommateurs, ils sont alléchés et fidélisés avec une carte de crédit du supermarché, qui leur donne des facilités de paiement en même temps qu'on les retient comme clients. Si à la moitié du mois, le client a déjà dépensé tout son salaire, on lui offre la possibilité de payer à crédit avec Cetelem.

Je me souviens

-->
Je me souviens...

Je me souviens que, quand j’avais à peu près sept ans, s’il faisait beau, chaque jour d’automne en sortant de l’école, j’allais avec mes parents et ma petite soeur chercher des champignons dans (à) la forêt.
Nous étions quatre personnes sur la moto Guzzi de mon père : il la conduisait, j’allais sur le réservoir (dépôt) d’essence avec le devant de mes vêtements (a poitrine) plein(e) de journaux pour éviter le froid ma mère allait à l’arrière et elle portait deux grands paniers, un de(à) chaque côté, et entre (parmi) ma mère et mon père il y avait, assise, ma petite soeur, de quatre ans.
Pour le déjeuner ma mère portait, dans un des paniers, du pain, de la “sobrassada”, des “butifarrons”, du fromage “mahones” et des authentiques mandarines. Je me souviens très bien du bruit de la moto de mon père, et aussi, quand je pense à(en) ces moments-là, je sens encore la forêt humide et l’odeur des mandarines. Je me souviens aussi des différents champignons que nous trouvions dans (à) la forêt, et de comment les variétés changeaient à mesure qu’avançait la saison.
C’est un apprentissage que j’ai eu pour(ar) toute ma vie, et c’est un de mes hobbies préférés, que (lequel) j’ai transmis (transféré) aussi à mes enfants dès qu’ils ont appris à marcher.

Beau souvenir Catalina  15/20

Je me souviens

Je me souviens quand j'avais 18 ans. Je travaillais dans une agence de voyages. Un jour j’ai laissé mon poste et décidé d’aller à London pour étudier l’anglais. J’habitais chez (avec) une famille juive où je travaillais comme baby-sitter.
Tous les jours j’allais à une école où toutes mes collègues étaient espagnoles.
Je me souviens  quand tous les mercredis nous nous rencontrions pour aller danser, ou aller au cinéma. Une nuit je suis rentrée très tard. Il était peut-être trois heures de matin. Je me suis étonnée lorsque j’ai trouvé la porte d’entrée fermée.
J’ai commencé à chercher un lieu pour me réfugier(é) et passer la nuit. J’étais (très) bouleversée.
Heureusement j’ai aperçu une grande plante au milieu du jardin, alors j’ai entendu une voix qui venait du premier étage : « Totii, qu’est-ce que tu fais ? C'(Il) était la fille aînée qui(’)avait fermé la porte et, ayant entendu un bruit dans le jardin, s’était mise à la fenêtre.
J’étais sauvée.

14/20

Je me souviens...

Je me souviens de la sensation de mon premier jour à Southampton en Angleterre. J'ai été là pendant mon dernier cours à l'(a) université avec une (la) bourse Erasmus. La sensation a été indescriptible, encore aujourd'hui c'est difficile à (d')exprimer parce que c'était un mélange de peur, d'émotion, de joie, d'envie de vivre une expérience par(our) moi-même.
C'était la première fois que j'habitais (ai habité) dans un  autre(en outre) pays, loin de ma famille. J'y (e) suis allée toute seule (sole) mais quand j'ai fini(e) l'année, j'avais beaucoup d'amies de toute l'Europe, des amies qui maintenant continuent à être (étant) mes meilleures amies.
Aujourd'hui, je peux dire que l'expérience de vivre à l'étranger a été (était) enrichissante, et qu'elle(e) a beaucoup changé ma vie (m'a changé la vie).

En effet, vivre dans un autre pays est à la fois déroutant et enrichissant.

13/20

dimanche 19 novembre 2017

Je me souviens... atelier d'expression écrite

Je me souviens d'un lieu magique, un petit village au nord de l'Espagne entouré de(s) montages où j'ai découvert ce que je voulais faire comme métier.

Un tout petit village, à peine 15 maisons, pas beaucoup de monde mais plein de prairies et plein de(s) vaches. J'aimais accompagner le berger et l'aider à traire ou accoucher les bêtes et même, marcher pendant des heures dans la nature pour récupérer un petit veau pour lui éviter d'être mangé par un loup. Et(uh) bien, ouais, il y en avait des loups qui hurlaient la nuit. Quelle peur!

Après la traite, on faisait bouillir (bouillait) le lait, pour en (y) obtenir du beurre, quel beurre ! Jamais je n'ai gouté à nouveau un beurre comme celui-la. On faisait des biscuits avec, et je vous avoue que ce (ils) sont les meilleurs que j'ai goutés de ma vie, tellement parfumés.

Avec le lait on faisait aussi du fromage, un fromage pas affiné, bien frais, crémeux, simplement magnifique, et naturel, bio, bien en vogue en ce moment.
Ce village, ces étés que j'ai passés là bas, resterons(,) donc toujours dans ma mémoire, dans mon coeur. C'est pendant cette période que j'ai décidé de devenir vétérinaire.

Joli souvenir Manu

14/20

vendredi 17 novembre 2017

VERBES SUIVIS PAR LA PRÉPOSITION À...




Salut à tous!
J'ai essayé de pratiquer les verbes suivis par la préposition à en rédigant quelques phrases à trous.
Voulez-vous tenter votre chance?
Cliquez dans le link suivant pour les lire.

mardi 14 novembre 2017

JE ME SOUVIENS...







Je me souviens de(u) Nöel dans le petit quartier de la ville où j’habitais lorsque j’était enfant.  La rue était décorée avec des guirlandes d'ampoules peint(é)es de couleurs vives en forme d'arbres, d'étoiles et de bombons. En(À) ce temps-là, on n’avait pas besoin de trois mois pour accrocher la décoration dans les cables du feu : il suffisait (suffissaient) d'un jour et de deux hommes vêtus de (habillés en) salopette bleue. On ornait les rues le vendredi de la deuxième semaine du mois de décembre, et ça, c'était l’annonce des vacances d’hiver, du(e) nougat, des gâteaux au saindoux et de grandes réunions de famille, où les enfants pouvaient rester éveillés toute la nuit.

À l’école, on fais(s)ait du bricolage et on chantait des cantiques ; on profitait du dernier jour de classe pour décorer les murs et les fenêtres et on jouaient (répresentait) des pièces de théâtre qu’ on avait préparées(ait) quelques jours auparavant pendant la récreation. Nous quittions l’école très réjouis, en cour(r)ant vers la rue, heureux d’avoir appris les paroles des chants (cantiques) de Nöel. Quand nous rentrions (En rentrant) chez nous, le vendeur de la petite épicerie était toujours debout juste devant la porte pour nous donner des friandises et nous courrions chez lui pour les prendre (griffer). Mais la proprietaire de la droguerie, toujours effarée on ne savait pas pourquoi, se fâchait après (avec) nous à cause des empreintes de(s) pieds que nous faisions en mettant les pieds sur (sous) le trottoir.

Je me souviens du moment où ma famille s’attablait pour partager le repas, pour le réveillon (la veille de Nöel). Nous étions tous ensemble(s) : ma mère coiffée avec les (ses) cheveux crêpés (cardés) et maquillée avec de l’ombre à paupieres ; mon père avec une veste de laine épaisse ; mes grand(e)s-parents avec des chaussures comfortables. Au coin de la table, très près des enfants, tous les oncles et les tantes célibataires, qui apportaient des cadeaux pour nous: Tantes Tana, Laura, Isabel, Rosita et Esther ; Oncles Pachin, Tomás, Fito et Xurxo. Et sur (ous) la table, il y avait des verres d’anis. J’en aimais bien l’odeur, et, accroupie sur une chaiss(e), j’essay(i)ais de boire les restes d'anis (qui étaient) dans les verres, ce qui était toujours interdit(e). Mon père se fachait après (avec) moi et me pinçait (dans) les jambes pour que j’arrête(ais) de le faire.

À l’entrée de la maison, il y avait une crêche ( une étable de Bethléem) avec des bergers, les Rois Mages (des Mages d’Orient) et même un garçon qui s’était (avait) accroupi pour uriner. Ce dernier (-ci) nous plaisait davantage aux enfants. On se rejoignait autour des figurines et on déplaçait (mouvait) les Rois Mages (d’Orient), qui étaient de plus en plus près de l’étable.

Les portes de toutes les maisons restaient ouvertes pendant toute la nuit et tout le monde entrait et sortait constamment (ntement) de l’une à l’autre. Il y avait un bourdonnement constant dans l’ecalier. Personne ne do(u)rmait la veille de Nöel.

Je me souviens de tous ceux et de(s) toutes celles qui étaient là : même si nombre(ux) d’entre eux sont déjà décédés, ils sont encore présent(e)s d’une certainhe façon pour moi (mannière quelconque).

Parfois, en (à) ces occas(s)ions où on se réunit avec des personnes qui aiment bavarder, on se rappelle  du Nöel d’autrefois. Et on les revoit tous ensemble(s), (en) chantant, (en) riant, une fois de plus,  comme s’ils étaient figés dans le temps.

carder s'utilise pour la laine

Merci d'avoir partagé avec nous ce très beau souvenir Luisa

15/20

Je me souviens


Je me souviens avec tendresse de la bonne relation que mon père et moi avions quand j’étais petite.

Quand je me couchais, il venait à mes côtés et chantait pour moi des chansons, des « zarzuelas ». Il chantait très doucement et bas, et aussi très mal,  avec une voix mince qui (me) roucoulait  et m’endormait(s) tout de suite. J’adorais ces moments-là.

Je me souviens les nuits d’été de monter sur (à) la terrasse avec mon père et ma sœur et tous étendus  sur un matelas,  nous regardions (regarder) le ciel pour compter les étoiles.

Un autre souvenir bien cher pour moi, ce sont (c’est) les excursions que nous faisions le(s) dimanche(s).  Mes parents et des familles amies et leurs enfants (fils). Nous étions  comme une tribu gitane. C’était très chouette.

Je vois que tu as certainement eu une enfance heureuse.

14/20

lundi 13 novembre 2017

Je me souviens

Je me souviens quand j’étais (ai été) petite, je ne me rappelle plus qu(’)el âge j’avais exactement ; je jouais avec mon frère et (y) d’autres enfants voisins avec une bicyclette dans la rue ;(,) à l’époque, dans la ville ou j’habitais il n’y avait pas assez de parcs pour que les enfants jouent (aient) sans risque ; c'est pour cela que la plupart d'entre nous jouions (on jouait) dans la rue. Tous les enfants faisaient un tour avec le vélo jusqu’au bout de la rue et on revenait (ient) au point de départ puis on chronométrait (comptait(e)) le temps que(i) faisait chacun (ue un) durant le trajet pour voir qui conduisait le plus vite. Quand mon tour est arrivé je ne voulais pas le faire (subir), parce que mon (le) vélo était(é) plus grand que moi (ma taille), j’était(é) petite et très mince par rapport aux autres ; mais mon  frère  voulait que  j’apprenne à conduire ce vélo ;(,) après qu'il a (avoir) insisté(er) plusieurs fois;  et sous les applaudissements des enfants et les cris des autres, je (me) suis montée sur le vélo ; sans penser beaucoup à ce qui allait (va) se passer après ; et  j’ai commencé à rouler très vite ; je n’ai pas pu me contrôler, j’avais senti que c’était (est) le vélo qui(e) me conduisait et que ce n’était (est) pas moi(s) (que le conduisais) ; et d’un seul coup je (me) suis tombée d’une façon très brutale et je me suis blessée à la jambe et à la figure ; Il y avait du sang sur mes bras, je ne pouvais plus (n’ai pas pu) bouger ; je pleurais très fort et les enfants étaient (ils été) très effrayés et préoccupés, ils croyaient que je m'étais (e suis) cassé quelque chose (part du mon corps), mon frère a eu très(op) peur, il ne savait pas quoi faire. Enfin il (on) m’a ramenée à la maison avec l’aide de ses copains, on (m)a nettoyé(er) m(l)es blessures ; heureusement (gracias à dieu) ce n’était(é) pas grave(s). Après, mon frère été puni et j’ai été très touchée parce que ce n’était(é) pas de sa faute. Mais à partir de ce jour-là je ne suis (‘ai) jamais remontée sur un vélo.

Aïe, un souvenir douloureux Aziza.
Attention aux erreurs de conjugaison et de concordance des temps. 11/20

Je me souviens



Je me souviens quand j’avais quarante ans, je croyais que j’étais au meilleur moment de la vie. Nous étions à la plage, mon mari et nos fils (fils ou enfants ?), et nous allions tous les jours (à la plage), avec des amis,  avec le bateau, et nous étions toujours heureux. 

Le jour de mon anniversaire, pour mes (je faisais) 40 ans, nous avions organisé une grande fête dans le jardin, aidés par une (bonne) amie. On avait mis (metait) des bougies et des fleurs, il y avait de la bonne cuisine et surtout de la bonne musique.

Dix ans après, le jour où je souhaitais mes (faisais) 50 ans, j’étais désolée et triste. Je voulais faire une autre fête mais mon ami venait de mourir il y avait (a bonne amie était morte depuis) quelques jours. Je considère que la fête de mes 40 ans, c’est un bon souvenir de notre amitié.

13/20

dimanche 12 novembre 2017

Les applications pour manger sainement.

Je crois que les avancées modernes nous ont amené(e)s à une (tel) situation dans laquelle nous pouvons contrôler tout ce qui nous entoure (est autour de nous). Par contre, quand il y a quelque chose (en de)hors de notre contrôle, nous nous sentons anxieux (insecures) et perdu(e)s. Avoir intérêt et besoin (nécessité) de connaissances (c')est une virtu(e) qui nous permet d'être au courant (à jour) de tout ce qui se passe dans le monde. Maintenant le portable, l'ordinateur... (ce) sont des moyens à la portée de tous et qui nous donnent toute l'information que nous souhaitons (désirable). Le problème commence quand nous remplacons notre logique, notre pouvoir de déduction, nos connaissances transmises par (de) nos ancêtres, notre besoin (nécessité) d'expérimenter pour obtenir des résultats.... par les applications des portables. Bien que j'aime utiliser (des) différentes applications pour des raisons diverses, il ya une chose très importante nommée "bon sens" qui(e) doit être pris en considération (considéré) pour ne pas tomber dans la(e) dépendance et l'esclavage des machines.
À mon avis, pour manger sainement on doit connaître notre corps aussi bien que les produits que nous mangeons. À partir de là ('ici) on peut choisir la manière d'obtenir du plaisir de la nourriture sans excès (nous excéder). Nous ne devons pas oublier combien (comme) la nourriture intervient dans nos relations sociales. De mon point de vue, suivre une diète bien (très) équilibrée sans avoir besoin d'utiliser ces applications qui(e), loin de nous aider, nous causent de l'angoisse, du stress et des névroses, est le plus (très) intelligent.

désirable s'utilise seulement pour une personne.

Attention aux fautes d'accord Lourdes.

13/20

samedi 11 novembre 2017

Je me souviens

Juana Maria Reig Morro


Je me souviens


Je me souviens que j'avais une vieille professeure de français(,) quand j'avais neuf ans, C'était dans une petite école à côté de chez mes parents. Nous n'avions pas de livre de texte, c'était la professeure qui nous faisait créer (mandait former) le livre. Chaque leçon commençait par (avec) un dessin que nous devions réaliser (dessiner) nous-mêmes, en le copiant d'un autre dessin principal. 

Je ne me rappelle pas de son nom, mais je me rappelle qu'elle était de Paris, et portait des vêtements bizarres et un peu voyants (stridents) pour l'époque. Elle était toute petite, avec les cheveux très blancs et toujours les lèvres peintes en trouge très vif. Elle n'avait pas très (trop de) bon caractère et nous, les élèves, avions un peu peur d'elle ou plutôt nous lui montrions (avions) beaucoup de respect.

Je me rappellle que c'était seulement quand nous avions cours de français ou de musique que nous changions de classe à un étage inférieur.

J'ai de(s) très bons souvenirs de cette époque.

13,5/20

vendredi 10 novembre 2017

Réunion du 20 0ctobre

                                                                                                             Palma, le 27 (de) novembre 2017
(Bonjour) Monsieur Antonio,
Comment vous le savez certainement,  jeudi dernierle 20 octobre, on a  fait une réunion d’équipe, pour commencer à traiter (entamer les) différents sujets et résoudre les problèmes techniques et personnels que les travailleurs ont rencontrés(er dans) ce dernier trimestre, et aussi pour faire un bilan du travail pour l’année prochaine. Je vous informe que la situation est très étonnante (Il faudrait expliquer pourquoi la situation est étonnante)(,) J’ai  remarqué que durant la réunion a surgi un débat très important et très délicat : (;) toutes les femmes de notre entreprise étaient énervées parce qu’elles voient(yaient) qu’elles travaillent aussi bien que les hommes et les mêmes heures mais n’ont pas le même salaire qu'(e) eux, ni les mêmes droits ; (,) elles affirment (réclament) qu’elles se sentent  discriminées (ante), et qu’il n’y a pas d'(e l’)égalité à l’intérieur de l’entreprise ; il y en a quelques-unes, qui(e) travaill(ai)ent depuis plusieurs années mais elles n’ont pas eu de promotion (un ascension) ; et plusieurs (d’)autres problèmes sont (que avaient) sortis dans la conversation durant cette réunion. (Lesquels;) C’est la raison pour laquelle on doit se réunir le plus vite possible pour résoudre ces différents problèmes. (,) Je pense que l’égalité entre femme et homme dans le monde du travail est non seulement une question de droit humain et de justice pour les travailleurs, mais elle présente aussi un intérêt commercial pour les entreprises.  
Dans l'attente d'une réponse de votre part et d'un rendez-vous, je vous prie d’agréer, Monsieur Antonio mes salutations (les plus) distinguées.

AZIZA (De la parte de Aziza) T. gérante du secteur industriel  de l'(u) l’entreprise  de plastique).

12,5/20

jeudi 9 novembre 2017

Je me souviens...

Je me souviens, quand j'était petite, d'une date très spéciale pour moi à la fin de l'année (e)scolaire. C'(Il) était le 24 Juin. L'importance de cette date re(é)posait, d'un côté, sur le (du) fait que c'était l'anniversaire de mon père et alors ma mère cuisinait beaucoup pour la famille et les amis. Il est évident que j'étais très heureuse pas seulement pour la fête mais aussi, parce qu'elle indiqu(c)ait le commencement de mes vacances d'été. D'un(e l')autre côté, après le 24 Juin, nous avions l'habitude d'aller passer l'été à côté de la mer où je (me) retrouvais(t avec) mes amis d'été. À mon avis, le départ me semblait le plus émouvant de toute l'année.

mardi 7 novembre 2017

Vocabulaire_vous_n_aurez_pas_ma_haine

ÊTRE BIEN OU BIEN STRESSÉ






LE CULTE À LA SANTÉ DANS LES MILIEUX SOCIAUX MOYENS ET SUPÉRIEURS

Depuis quelques années on remarque un engouement pour les soins de la santé et du corps. Grâce à cette tendance, le développement des logiciels spécialisés dans le contrôle de la nourriture a fait son petit bonhomme de chemin. L'appli(s) "Santé et Nourriture", par exe(a)mple, gérée par(a) l'entreprise "Lady-Gagá" depuis 2010 est, sans doute, la plus populaire d'entre elles(eux). De(s) nombreux nutritionnistes et diététiciens bien connus participent habituellement à(dans) des séminaires, et (en) donnent des conseils pour réussir le défi (avec lesquels on peut atteindre l'enjeux) de bien se nourrir (même si les méthodes proposées ne sont pas toujours nouvelles: quelques-unes existent déjà depuis la nuit des(u) temps...).
Il est bien connu que qui détient l'information détient le (est) pouvoir. Pourtant, plusieurs professeurs de(s)  célèbres Universités, comme Hardvard ou Oxford, tirent (mettent) maintenant la sonnette d'alarme (la puce à l'oreille) : le contrôle omniprésent(e) de la nourriture peut conduire à(dans) une spirale d'(e)obsessions, totalement éloignées de l'équilibre poursuivi par les utilisateurs des applis.
Les pratiques alimentaires extrêmement contrôlées peuvent donner lieu à l'anorexie ou la boulimie. Aux États Unis, par exemple, 2 étudiants sur 10 sont anorexiques.
Il faudrait réfléchir désormais à(sur) la raison pour laquelle ces applis ont eu autant (si) de succès(s) dans notre société. Une société avec une tendance à l'alimentation en solitaire et au vagabondage-"feeding". Une alimentation sans cible, sans but ; qui n'est pas orchestrée ni organisée ; une vie au milieu des grandes villes (de la grande cité(e)) et du travail stressant. Une alimentation qui permet de manger ce que l'on veut quand on le veut : le régime alimentaire du moderne clochard-"bobo".
Ce sont justement ce profond déséquilibre et cette profonde solitude alimentaire les raisons qui nous poussent à contrôler la nutrition (nourrition) à travers (d')une appli(s). Une appli(s) qui, finalement, peut nous faire percevoir la nourriture comme l'ennemie de notre corps.
À mon avis, il faudrait réfléchir sur le véritable sens du concept "vie saine". Manger bien n'est pas seulement choisir des aliments équilibrés, riches en (de) vitamines et protéines, mais aussi manger avec du temps, partager le repas et avoir le plaisir d'être tous ensemble.

Ton dernier paragraphe avec ta propre opinion est très intéressant et à mon avis tu aurais dû le développer en argumentant davantage.

16/20


dimanche 29 octobre 2017

Discours rapporté - Exercice 2, unité 1 pag 171



Encore avec le discours rapporté, parce que je n'avais jamais fait ça de ma vie et il me faudrait savoir si je le fais bien, ou pas. D'abord je ne sais même pas si le temps que j'utilise, le passé simple, c' est le bon. En plus c'est très intéressant pour moi d'utiliser les verbes de parole, une bonne chose pour maîtriser bien la langue. Merci

En sortant pour faire l'appel Knock demanda à une dame si c'était elle la première. Après il l'a fait rentrer et a fermé la porte en lui demandant (interrogant que) si elle souffrait.

La dame répondit que ce n'était pas le mot et qu'elle l'appellerait plutôt de la fatigue.

Knock demanda à la dame si elle appelait ça de la fatigue et en se rapprochant d'elle lui proposa de tirer la langue. il l'interrogea pour savoir (enquêta) si elle avait(s) ou pas beaucoup d'appétit.

La dame répondit qu'elle n'avait pas vraiment d'appétit et donc Knock lui demanda si elle était constipée et la dame répondit qu'elle l'était assez.

En l'auscultant, Knock pria (sollicita) la dame de baisser la tête, de respirer, de tousser et l'interroga pour savoir si elle n'était (avait) jamais tombée d'une échelle (en) étant petite et la dame répliqua qu'elle ne s'en souvenait(s) pas.

En lui palpant et lui percutant le dos et après lui avoir pressé (en lui pressant) brusquement les reins, Knock s'enquéra (verbe s'enquérir requit la dame de lui dire) si elle avait toujours mal le(s) soir en se couchant là ou il était en train de presser et l'interrogea pour savoir si ce mal (c')était comme une espèce de courbature, la dame lui répondit(a) qu'(e) en effet elle avait(s) mal mais seulement parfois (des fois).

En continuant à l'ausculter, Knock pria (à) la dame de s'en souvenir en ajoutant que l'échelle devait être très grande.

Et d'un coup, la dame avec surprise s'exclama qu'elle venait(s) de s'en souvenir.

En s'asseyant face à elle Knock lui demanda si elle avait(s) envie de guérir et la dame répondit qu'elle le désirait (en avait en effet).

Knock informa (parla à) la dame (pour lui dire) que guérir serait très long et très couteux et la dame implora (à) Dieu et lança(ce) une requête à Knock pour savoir la raison de cette longueur.

Knock affirma que ce n'était pas facile de guérir d'un mal qui durait(e) depuis quarante ans en cinq minutes. La dame très étonnée s'inquiéta de savoir (exclama) pourquoi Knock parlait(s) de quarante ans et il lui répondit que c'était le temps qui s'était écoulé depuis qu'elle était (avait) tombée de son échelle.




On dirait - Amir

Suite à mon séjour à Paris au (le) printemps dernier, j'ai découvert le chanteur Amir, et je voulais partager avec vous cette chanson assez dynamique et positive, élue cette année par(our) TF1 comme la chanson de l'année. J'espère que vous allez(r) l'aimer.


Et voici la vidéo avec les paroles pour mieux les (y) comprendre 😉


Discours rapporté - Exercice 3 pag 172



Bonjour à tous! Comme j'ai besoin de pratiquer la rédaction et le discours rapporté voici le résultat de l'exercice 3 de l'unité 1 pag 172:

Le journaliste demanda à un toulonnais chois(s)i au hasard(zar) s'il avait succombé à un effet de mode en allant au supermarché Bio. Le Toulonnais lui répondit que, à vrai dire (en vrai), il avait été attiré par le marché bio plutôt pour protéger l'environnement que pour la mode car c'était un sujet que le (lui) préoccupait depuis qu'il était adolescent. C'est pendant l'adolescence qu'il renonça à la viande et pensa à soutenir les produits Bio parce que pour le produire on utilise moins (quantité) de pesticides.

En continuant son micro-trottoir (avec ses interviews), le journaliste demanda ensuite (en deuxième terme) à une dame pourquoi elle allait (était allée) au supermarché Bio, et la dame répondit qu'elle était venue parce que ses voisins le lui avait recommandé (d'y aller) car les produits étaient plus frais.

Enfin (dernière) le journaliste demanda à un troisième client du marché Bio la raison de sa visite et il rétorqu(c)a que les produits bio lui semblaient plus savoureux at ajouta qu'il privilégiait (aimait) la qualité à (au délà de) la quantité.

mercredi 25 octobre 2017

lundi 23 octobre 2017

La vie privée des hommes et femmes politiques.



A mon avis, (à vie) la vie privée des hommes et femmes politiques doit leur être réservée (pour eux) ; je pense que eux aussi (se) sont des êtres humains comme tout le monde, ils ont le droit de vivre  tranquillement, ils ont le droit de se tromper comme tous. Je pense qu’on ne peut pas les juger sur(tantôt pour) les choses les plus intimes et personelles comme le  nombre d’amants qu’ils ont eu ou pour leur divorce.....
Par contre, on doit les juger pour des thèmes(ems) plus importants comme leur façon de penser, leur  formation, comment ils voient les choses dans le futur, c'(ce) est vraiment ce qui(e) nous intéresse(eress) de savoir d'eux,(.) des choses qui concernent le public(s) au (dans le) moment de prendre une décision  comme le mariage, l’avortement…… ; l’appartenance à une organisation, oui ( si), cela  (il) doit être recherché(investiguer) par(our) les medias, parce que sûrement cela va avoir une influence sur leurs décisions dans le futur… Les hommes politiques et dirigeants doivent  avoir  des valeurs humaines  afin de donner  l'(un) exemple d' un homme responsable.

Je crois que l’intimité est un droit fondamental.   On parle de la liberté de la presse, (;) mais chaque chose doit avoir une limite
 J'aimerais aussi (Aussi J' aime bien) signaler que je ne suis pas du(e) tout d’accord avec les élus qui font de leur épouse et leurs enfants des arguments de ca(o)mpagne électorale.

Merci Aziza. Je vais utiliser ta rédaction comme rédaction de diagnostic de début d'année.
13/20 Attention aux erreurs d'accord (sujet avec verbe, adjectif avec substantif, détermenant avec substantif...) et à l'utilisation de la ponctuation.

vendredi 13 octobre 2017

PROGRAMME PREMIER TRIMESTRE

Programme premier trimestre 


 Voici notre programme pour le premier trimestre :

·         1 dossier du manuel Entre nous 4 pendant cette période.

·       Évaluation initiale : Mois d’octobre

Expression écrite, Maîtrise de la langue, Compréhension écrite et Expression orale évaluée en  classe

Maîtrise de la langue

                Ø  Exercices de la grammaire Belin selon besoins

                Ø  Textes à trous : un par mois

Atelier d'expression écrite : Vendredi 3 novembre

Atelier d'expression orale : Vendredi 1er décembre

·      Trois rédactions : Sujets et dates de remise :


Ø  La rédaction d'évaluation initiale 
     Faite en classe début octobre

Ø  Vos collègues sont de plus en plus nombreux à demander l’égalité totale de traitement entre les hommes et les femmes dans votre entreprise. Vous êtes le(a) déléguée du personnel et vous avez eu une réunion préalable avec les employés où ils ont soulevés les sujets suivants d’inégalité (le recrutement, les salaires, les horaires, le déroulement de carrière). Vous écrivez à la direction pour relayer les avis de vos collègues et pour entamer le dialogue. (250/300 mots)
Date de remise maximum : Avant le lundi 13 novembre


Ø   Travail sur le livre de lecture  Vous n'aurez pas ma haine d'Antoine Leiris (à faire au choix dans la liste proposée) 
     Date de remise maximum : Avant le lundi 11 décembre