Vous êtes maintenant dans le cycle Avancé, FÉLICITATIONS ! Ce blog vous est destiné. Vous y trouverez des activités spécialement conçues pour vous. Si vous désirez d'autres rubriques, d'autres activités..., n'hésitez pas à me le dire. Cet espace est aussi le vôtre, vous pouvez y collaborer par des photos, des textes ou toute autre chose, n'hésitez pas à le faire. Il vous servira aussi parfois pour "poster" des rédactions ou tout autre activité à faire à la maison.
lundi 25 janvier 2016
Lundi 25 janvier 2016
Bonjour Albanne, je suis desolée parce que j'ai la voiture en panne et aujourd'hui je ne pourrai pas venir . Salutations.
dimanche 17 janvier 2016
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
Faites un récit sur l’importance de l’humidité dans ce livre. (200 mots)
L’humidité est un des éléments essentiels dans le livre écrit par Philippe Torrenton, intitulé Mémé.
Tout autour (l’entour) de cette oeuvre a une relation avec l'(a) humidité; sûrement Torrenton souhaitait(ez) obtenir une atmosphère pleine de tendresse où les souvenirs prendraient(prisent) un profil(é) plus intime.
Dans ce sens l’humidité de la région de Normandie où vivait la grand-mère de l’écrivain(ture), lui a (servait) parfaitement servi pour créer cette sensation.
De cette manière(éré), l’auteur du récit rejoint la description du paysage où il passé sa(on) jeunesse, caractérisé par l'(a) humidité, avec la description de sa grand-mère et de petits détails de sa vie pour nous donner un profil intimiste.
Dans les premières pages du livre Torreton fait l'éloge de la pluie et il dit que grâce à Mémé il aime la pluie, comme si elle était la responsable(chargée) de la pluie et attaché? un poème sur la pluie.
Un roman(ce) qui met en évidence c(l)e que la pluie signifie pour lui, espérance, tendresse, qui fait du bien aux rêves, permettant plus à la vie à l'intérieur de la maison; c’est-à-dire favorise la relation de famille.
Alors l’humidité a été le pivot qu(’)a fait que la relation de Torreton avec sa grand-mère a été plus intense, il a adoré (a) sa grand-mère et le coupable était l'(a) humidité.
Bonne analyse littéraire Xavi
14/20
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
La description de son enfance, réalité ou nostalgie ?
Avec le temps, tous nous avons tendance à idéaliser ce que nous avons vécu, tout(s) le temps passé (antérieur) est toujours meilleur que celui d'(l’)aujourd’hui. Sûrement parce que nous étions plus jeunes et nous avions avec nous, les membres les plus proches de notre famille (nos familiers plus prochains). Philippe Torreton, dans ce livre; s'est (-il) rappelé beaucoup des sensations qu’il a vécues dans son enfance. Dans ce livre, il exprime ses premières sensations dans la maison de sa(on) grand-mère, Mémé. Nous pouvons voir(e), comment il ouvrait ses y(j)eux à la vie dans un petit village dans la campagne (au champagne) de la Normandie. Sûrement, deux des aspect(e)s (faits) saillants de cette oeuvre sont l'(a) idéalisation de la figure de sa grand-mère et l'embellissement du(e) lieu où(ont) elle habitait(ée). Torreton donne dans le récit une image réellement tendre de Mémé et montre(é) sa grand force intérieure. Elle est une personne normale, elle n'a rien à mettre en évidence; mais c’est ça c(l)e que Torrenton a mis en valeur. Sa naturalité, sa lutte de tous les jours pour vivre, pour pouvoir se nourrir (faire possible sa nourriture) avec peu de ressources. Torreton met en évidence cet effort(ce) d’une femme pour subvenir aux besoins de (maintenir) sa(on) famille et lui (donne aussi et) ajoute également un degré de sensibilité et de tendresse qui devient un modèle de rôle. Torreton obtient aussi qu’une petite ville sans rien qui la distingue (à distinguer) que l'humidité régnante, d(r)evienne (en) un lieu plein de nostalgie et de charme. Certainement, l’auteur de ce récit essaie d'idéaliser sa(on) jeunes(u)se, sa grand-mère et les lieux où(que) il a vécus et lui donne un point de tendresse. Pourtant, à mon avis cette description est empreinte/pleine de nostalgie. Pour l’auteur la priorité n’est pas de décrire la réalité; sinon un rappel des images et sensations qu'(e) il y a dans la(son) mémoire de sa(on) jeunesse et tout c(l)e qui(e) enveloppait le monde de sa grand-mère.
Très belle et très fine analyse. 13,5/20
Attention Xavi, tu pourrais facilement supprimer des erreurs telles que :
- erreurs sur le genre du déterminant d'un nom (son jeunesse...)
- erreurs de déterminant (la humidité)
- erreurs d'accord substantif/adjectif (l'humidité régnant)
- tout le que
- que/qui
Avec le temps, tous nous avons tendance à idéaliser ce que nous avons vécu, tout(s) le temps passé (antérieur) est toujours meilleur que celui d'(l’)aujourd’hui. Sûrement parce que nous étions plus jeunes et nous avions avec nous, les membres les plus proches de notre famille (nos familiers plus prochains). Philippe Torreton, dans ce livre; s'est (-il) rappelé beaucoup des sensations qu’il a vécues dans son enfance. Dans ce livre, il exprime ses premières sensations dans la maison de sa(on) grand-mère, Mémé. Nous pouvons voir(e), comment il ouvrait ses y(j)eux à la vie dans un petit village dans la campagne (au champagne) de la Normandie. Sûrement, deux des aspect(e)s (faits) saillants de cette oeuvre sont l'(a) idéalisation de la figure de sa grand-mère et l'embellissement du(e) lieu où(ont) elle habitait(ée). Torreton donne dans le récit une image réellement tendre de Mémé et montre(é) sa grand force intérieure. Elle est une personne normale, elle n'a rien à mettre en évidence; mais c’est ça c(l)e que Torrenton a mis en valeur. Sa naturalité, sa lutte de tous les jours pour vivre, pour pouvoir se nourrir (faire possible sa nourriture) avec peu de ressources. Torreton met en évidence cet effort(ce) d’une femme pour subvenir aux besoins de (maintenir) sa(on) famille et lui (donne aussi et) ajoute également un degré de sensibilité et de tendresse qui devient un modèle de rôle. Torreton obtient aussi qu’une petite ville sans rien qui la distingue (à distinguer) que l'humidité régnante, d(r)evienne (en) un lieu plein de nostalgie et de charme. Certainement, l’auteur de ce récit essaie d'idéaliser sa(on) jeunes(u)se, sa grand-mère et les lieux où(que) il a vécus et lui donne un point de tendresse. Pourtant, à mon avis cette description est empreinte/pleine de nostalgie. Pour l’auteur la priorité n’est pas de décrire la réalité; sinon un rappel des images et sensations qu'(e) il y a dans la(son) mémoire de sa(on) jeunesse et tout c(l)e qui(e) enveloppait le monde de sa grand-mère.
Très belle et très fine analyse. 13,5/20
Attention Xavi, tu pourrais facilement supprimer des erreurs telles que :
- erreurs sur le genre du déterminant d'un nom (son jeunesse...)
- erreurs de déterminant (la humidité)
- erreurs d'accord substantif/adjectif (l'humidité régnant)
- tout le que
- que/qui
L'alimentation et le recyclage dans les campagnes
Réécrivez comme un récit journalistique qui présenterait l’alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant les pages 69, 70 et deux premières lignes p 71.
Dans son livre Mémé, Philippe Torreton a décrit parfaitement comment à l’époque de sa grand-mère les gens étaient réellement conscients de la nécessité de protéger l'environnement. Et tout ça, sans avoir nécessité de grandes campagnes publicitaires.
Au XX siècle, la consommation alimentaire des personnes qui(e) comme Mémé, vivaient dans la campagne, était basée fondamentalement sur leur(a) propre production.
Très peu(,) de son alimentation provenait des magasins, le lait de la crémière, les légumes chez la sœur de la crémière et quelques autres choses occasionnellement.
Cette façon(forme) de vivre, très différente de celle(l’)aujourd’hui, était la(e) plus propre et la plus durable (soutenable).
Dans le monde actuel(le), tout est très diffèrent, la surconsommation, la vulnérabilité de l'(u) environnement. C’est une autre façon(forme) de vivre, très opposée à celles des gens qui(e) comme Mémé vivaient dans l’équilibre avec l’environnement et elle est à l'origine de la destruction progressive.
Tout était simple dans la vie de Mémé comme des autres personnes (gens), qui(e) vivaient en plein(e) équilibre avec la nature, pas de (rien) de pollution, pas de (rien) déchets.
Nous pouvons affirmer, en(avec) toute sécurité, qu'au (e dans le) temps de Mémé, il n’y avait pas de trou dans la couche d’ozone, ou les îles de plastique ou (de) la pollution de l'environnement. Aucun pays n’interdit la conduite de véhicules au moment des (sur les) niveaux élevés de pollution ; la période dans laquelle vécut Mémé (ce) fut un moment de stabilité dans laquelle les gens passaient sans laisser de séquelles qu'ils auraient pu (de lesquelles se) regretter.
J'aime beaucoup ta façon d'écrire. Tu pourrais très facilement supprimer de nombreuses erreurs de langue.
14/20
mercredi 13 janvier 2016
L'alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant.
L'alimentation pendant les années 70 (soixante-dix) était très différente de l'alimentation (que l')actuelle. Elle était plus simple.
Mémé se nourrissait de tout ce que son potager lui donnait et des animaux qu'elle avait dans la ferme.
Tous les légumes(vegetaux) venaient (ont vient) de son potager . Il y avait des moutons, des poulets, des vaches et des dindons dans la ferme. Elle achetait à peine quelques produits : (À peine peu des produits on les achetait. Elle achetait) de la crème chez la cremière et quelques (des) légumes qu'elle ne produisait pas elle-même chez la soeur de la cremière.
Auparavant les produits pour se nourrir provenaient de la région ou des alentours .
Il n' y avait pas de supermarché.
Rien n'était gâché, jamais. Chez Mémé un poulet leur faisait trois jours ou trois repas.
Avec le frigo vide ils mangeaient bien. Elle avait une arme secrète: la soupe au riz. Du riz cuit à saturation dans du lait entier. Il n'y avait pas besoin de Nutella, ils mangeaient de la pâte à tartiner de Vémé qui(e c')était de la graisse de porc et quand il n'y avait pas de porc ils se nourrissaient de l'écume de la gelée de groseilles.
À la campagne on recyclait tout ce qu'(i )on pouvait. Dans une ferme on y trouvait de tout mais rafistolé, pas neuf. Avant de faire quelque chose il fallait(ut) réparer l'outil, parfois il fallait(ut) savoir le fabriquer.
Mémé gardait l'eau de vaisselle (à) afin de la réutiliser. Elle employait plusiers fois un sac en plastique et elle lui trouvait toujours une utilité.
Bref, grâce à ce recyclage elle s'est assurée que la terre puisse servir encore à s(l)a descendance sans que celle-ci soit (être) obligée de la décontaminer.
Bonne analyse Maria. Attention toutefois à des erreurs de langues fossilisées et des erreurs de concordance des temps, il faut réussir à les supprimer. Courage !!!
13/20
Mémé se nourrissait de tout ce que son potager lui donnait et des animaux qu'elle avait dans la ferme.
Tous les légumes(vegetaux) venaient (ont vient) de son potager . Il y avait des moutons, des poulets, des vaches et des dindons dans la ferme. Elle achetait à peine quelques produits : (À peine peu des produits on les achetait. Elle achetait) de la crème chez la cremière et quelques (des) légumes qu'elle ne produisait pas elle-même chez la soeur de la cremière.
Auparavant les produits pour se nourrir provenaient de la région ou des alentours .
Il n' y avait pas de supermarché.
Rien n'était gâché, jamais. Chez Mémé un poulet leur faisait trois jours ou trois repas.
Avec le frigo vide ils mangeaient bien. Elle avait une arme secrète: la soupe au riz. Du riz cuit à saturation dans du lait entier. Il n'y avait pas besoin de Nutella, ils mangeaient de la pâte à tartiner de Vémé qui(e c')était de la graisse de porc et quand il n'y avait pas de porc ils se nourrissaient de l'écume de la gelée de groseilles.
À la campagne on recyclait tout ce qu'(i )on pouvait. Dans une ferme on y trouvait de tout mais rafistolé, pas neuf. Avant de faire quelque chose il fallait(ut) réparer l'outil, parfois il fallait(ut) savoir le fabriquer.
Mémé gardait l'eau de vaisselle (à) afin de la réutiliser. Elle employait plusiers fois un sac en plastique et elle lui trouvait toujours une utilité.
Bref, grâce à ce recyclage elle s'est assurée que la terre puisse servir encore à s(l)a descendance sans que celle-ci soit (être) obligée de la décontaminer.
Bonne analyse Maria. Attention toutefois à des erreurs de langues fossilisées et des erreurs de concordance des temps, il faut réussir à les supprimer. Courage !!!
13/20
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Red Maria A. Mut
mardi 12 janvier 2016
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
Présentation du personnage de la grand-mère de Philippe Torreton
Mémé, en plus du
titre du livre, est le nom affectueux que Philippe Torreton et ses cousins
donnait à leur grand-mère, Denise Porte. Elle est née au début du XXème siècle,
avec le nom de Denise Gosselin, dans un petit village de la Normandie, Troqueville,
dans le canton Pont-Audemer, dont elle n’est(a) sortie qu’en 1995 pour aller voir son
petit-fils, l’auteur du livre, au théâtre.
Née au sein d’une
famille de paysans, avec deux frères, André et Bernard, morts avant (qu’)elle
pendant la Grande Guerre, comme son père, elle a travaillé toute sa vie à la
campagne, en cultivant, en s’occupant des animaux, en fabriquant des outils pour
travailler, sans autre aide que ses propres mains. Tout ça sans arrêter de prendre
soin de sa grande famille.
Elle s’est mariée
deux fois. Son premier mari, avec lequel elle a eu trois filles (dont la mère
de l’auteur du livre), s’appelait Lucien Dehors. Ils (se s)ont divorcé(s) en 1951.
Un an plus tard, elle a connu son deuxième mari, Marie-René Porte, qui avait
cinq enfants de sa première femme, morte à cause d’une gra(è)ve maladie. Ils ont
eu un fils ensemble(en commun), Alain. Marie-René est mort en 1974, laissant Denise seule en(à la) charge de tous ces enfants.
Mémé a eu, donc, une
vie très dure et compliquée, mais, d’après ce que son petit-fils explique dans le
livre, elle a accepté la situation telle qu’elle est venue. Elle a beaucoup
travaillé, mais sans être ambitieuse, par pour s’enrichir, mais tout simplement
pour s’alimenter, pour survivre. Elle n’était pas très bavarde ; elle aimait
plutôt lire tranquillement, jouer au Scrabble ou écouter de la musique.
Elle était quelqu’un de très simple et généreuse.
Mémé a fini ses
jours en 2005, à (dans) l’hôpital de Pont-Audemer, à cause de la maladie de (du) parkinson.
Bon travail 16/20
Bon travail 16/20
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
Réécrivez comme un récit journalistique qui
présenterait l’alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant dans les pages 69, 70 et deux premières lignes p
71.
Aujourd’hui nous
vivons dans une société de consommation dans laquelle les consommateurs sont
incités à dépenser des biens constamment. Pas seulement des aliments, mais
aussi des électroménager(ère)s, des ampoules, des jouets, etc., qui semblent avoir une
vie très courte. Mais ça n’a pas toujours été ainsi. Il fut un temps où rien n’était
jamais gâché. Pendant la plus grande partie (plupart) du XXème siècle on profitait de tout, aussi bien
dans la cuisine qu’à la campagne.
Avec un poulet,
par exemple, une famille mangeait trois jours, cuisiné ou assaisonné(e) à chaque
fois d’une façon différente. On connaissait bien les trucs de ce qu’on appelle la «cuisine
maison», celle d’autrefois, avec laquelle on profitait d(l)es restes pour cuisiner(sortir) un nouveau plat (une nouvelle
assiette). On employait toutes les partiess des animaux, même la graisse de porc, qu'on utilisait comme pâte à tartiner. Le pain dur était aussi très habituel :
on le mangeait mou, humide et élastique avec du beurre ou du(de la) lait, mais on
ne le jetait jamais.
On parle d’une
époque de carences et de pénuries, d’une époque où les gens gardaient tout, les
bouteilles, les bocaux, les boîtes, etc., car tout pouvait resservir un jour.
En effet, les maisons de campagne d’autrefois recyclaient tout ce dont les gens
de la ville ne voulaient plus : meubles, outils de cuisine, etc. Tout
avait une deuxième opportunité, et une troisième et une quatrième... On gardait
même l’eau de vaisselle, à une époque où la conscience écologique n’était pas une mode, mais un vrai(s) besoin.
Bon travail 16/20
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Red Antònia Serra
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
Dressez une fiche schématique avec toutes les
informations dont on dispose sur la grand-mère de Philippe Torreton.
Prénom : Denise
Nom de famille: Porte. Son nom de jeune fille était Gosselin, et son nom de famille après son(le) premier
mariage était Dehors.
Lieu de naissance : Triqueville, dans le canton de Pont-Audemer
(Normandie)
Année de naissance : 1914
État civil : veuve
Nom de son premier mari : Lucien Dehors. Ils ont divorcé(se) divorcent) en 1951.
Nom de son second mari : Marie-René Porte, mort en 1974. Ils s’étaient
mariés en 1952.
Famille : Deux frères, tous morts avant (qu’)elle. L’aîné s’appelait André et
le benjamin(petit), Bernard.
Descendance : Elle a eu trois filles de son premier mari et
un garçon(s) (Alain) du deuxième. En plus, son deuxième mari avait cinq enfants de
son premier mariage (leur(sa) mère était(avait) morte d’une maladie). Elle avait sept
petits-enfants de ses trois filles et une dizaine de petits-enfants des enfants de son
mari.
Rapport avec l’auteur du livre : Elle est sa grand-mère maternelle.
Travail : Elle habite dans une ferme normande, où elle fait tout type de
travaux.
Goûts : lire L’Éveil de Pont-Audemer ; jouer au Scrabble ; écouter
de la musique, notamment Florent Pagny et Aznavour ; les fleurs.
Croyances : elle ne se croit pas très religieuse
Personnalité : simple, généreuse, lutteuse, travailleuse (laborieuse)
Décès : En 2005, à(dans) l’hôpital de Pont-Audemer, à cause de la maladie de (du) parkinson.
Bon travail bien documenté. 15/20
Bon travail bien documenté. 15/20
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Red Antònia Serra
lundi 11 janvier 2016
Fiche schématique
Mémé c'est comme ça que Philippe Torreton appelait sa grand-mère maternelle. C'était(est) la manière familière(ar) dont (comme) on appelait les grand-mères auparavant.
Elle est née à deux pas de la mer en Normandie le 6 mars (de) 1914. Pourtant, elle n'allait jamais à la mer. Il y avait trop de monde, c'(il y) était trop loin et elle ne savait pas quoi y faire. Les seules fois où toute la famille y allait c'était pour ramasser (cueilli(e)ir) des moules.
Elle s'appelait Denise. Son nom de jeune fille était Gosselin et après son premier mariage était devenu(devenait) Lehoc, puis Porte.
Son premier mari, Lucien, était un homme faible, il n'avait pas de sang et il buvait. À cause de cela (Dû à ça), elle a (s'est) divorcé. Ils ont eu trois enfants :(;) Lucette, Colette et Claudine.
Son deuxième mari, que tous ses petits-enfants appelaient Pépé était un homme veuf avec cinq(c) enfants. Mémé et Pépé ont eu un enfant, Alain. Il a été tué en Solex (sur le plateau).
Elle a eu deux frères, André et Bernard. Leur frère cadet, Bernard, a été tué pendant la guerre car il était maquisard.
Mémé habitait à (en) Triqueville(lle) dans une ferme. Elle avait une vie labor(u)ieuse car elle travaillait en usine et avait une ferme.
Elle n'était pas avare, elle a tout donné. Elle a envoyé de l'argent à chacun de ses(leurs) enfants pour les aider.
Elle a bien travaillé pour élever sa(leur) famille et elle a dû renoncer à son rêve : faire de la musique.
Denise Porte est(a) décedée en 2005 à l'hôpital de Pont-Au(r)demer.
Maria, attention aux erreurs de conjugaison et d'accord.
12/20
Elle est née à deux pas de la mer en Normandie le 6 mars (de) 1914. Pourtant, elle n'allait jamais à la mer. Il y avait trop de monde, c'(il y) était trop loin et elle ne savait pas quoi y faire. Les seules fois où toute la famille y allait c'était pour ramasser (cueilli(e)ir) des moules.
Elle s'appelait Denise. Son nom de jeune fille était Gosselin et après son premier mariage était devenu(devenait) Lehoc, puis Porte.
Son premier mari, Lucien, était un homme faible, il n'avait pas de sang et il buvait. À cause de cela (Dû à ça), elle a (s'est) divorcé. Ils ont eu trois enfants :(;) Lucette, Colette et Claudine.
Son deuxième mari, que tous ses petits-enfants appelaient Pépé était un homme veuf avec cinq(c) enfants. Mémé et Pépé ont eu un enfant, Alain. Il a été tué en Solex (sur le plateau).
Elle a eu deux frères, André et Bernard. Leur frère cadet, Bernard, a été tué pendant la guerre car il était maquisard.
Mémé habitait à (en) Triqueville(lle) dans une ferme. Elle avait une vie labor(u)ieuse car elle travaillait en usine et avait une ferme.
Elle n'était pas avare, elle a tout donné. Elle a envoyé de l'argent à chacun de ses(leurs) enfants pour les aider.
Elle a bien travaillé pour élever sa(leur) famille et elle a dû renoncer à son rêve : faire de la musique.
Denise Porte est(a) décedée en 2005 à l'hôpital de Pont-Au(r)demer.
Maria, attention aux erreurs de conjugaison et d'accord.
12/20
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Écrivez la lettre de reproches que Philippe Torreton aurait pu écrire au prêtre qui a officié la cérémonie de l’enterrement de sa grand-mère.
Torreton,
Phil(l)ippe
89, Rue du(le) Mexique(,
89)
Paris – 23154
France
Monseigneur Mathieu
Idem Rue le vicalle, 58
Triqueville - 08655
Haut Normandie
France
Paris, le 12 octobre 2005
Cher Monseigneur
Mathieu,
Je vous écris(re) cette lettre après être rentré (retourner) de la cérémonie de l´enterrement de ma grand-mère
Denise Porte que vous avez officialisé ; je vous veux dire que je suis très déçu de votre discours.
Je pense que la
raison principale pour laquelle vous avez fait(e) cette cérémonie froide et sans
âme c´est parce que vous êtes nouveau dans(à) la paroisse et dans(à) la ville, et vous
n´avez pas connu ma grand-mère.
Après avoir eu
une enfance très dure, elle avait souffert(ré) de la grande guerre, avec des pénuries et des décès familiaux(les), elle s´est(a) sacrifiée pendant toute sa vie pour s´occuper de ses
quatre enfants, elle a vécue avec humilité et en respectant la vie naturelle.
Elle a été aimée(amé) par(pour) tous les voisins de la zone, ses(leurs) ami(e)s et les membres de sa famille (familiers), elle avait un cœur chaud ; en plus elle m´a enseigné à apprécier les choses importantes de l’existence.
Pour ces raisons
je vous demande une rectification à votre prochaine messe, avaient une mémoire
pour elle.
Je vous prie(r) d´agréer,
Monseigneur Mathieu, mes salutations distinguées.
Cordialement
Torreton,
Philippe
Philippe Torreton
Alejandro, dans cette lettre, tu ne fais pas assez de reproches puisque tu justifies la froideur de la cérémonie par le fait qu'il est nouveau dans la paroisse. Il y a aussi de grosses et fréquentes erreurs de langue, erreurs qui devraient être dépassées au niveau Avancé. Il faut que tu te concentres davantage. Il faudrait aussi introduire des structures plus avancées ; par exemple, tu aurais pu dire "Bien que je sois conscient du fait que vous êtes nouveau dans la paroisse, vous auriez pu vous renseigner sur la personnalité de ma grand-mère auprès de ses voisins, amis ou famille..."
10/20
Philippe Torreton
Alejandro, dans cette lettre, tu ne fais pas assez de reproches puisque tu justifies la froideur de la cérémonie par le fait qu'il est nouveau dans la paroisse. Il y a aussi de grosses et fréquentes erreurs de langue, erreurs qui devraient être dépassées au niveau Avancé. Il faut que tu te concentres davantage. Il faudrait aussi introduire des structures plus avancées ; par exemple, tu aurais pu dire "Bien que je sois conscient du fait que vous êtes nouveau dans la paroisse, vous auriez pu vous renseigner sur la personnalité de ma grand-mère auprès de ses voisins, amis ou famille..."
10/20
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EXPRESSION ÉCRITE,
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Red Alejandro
Présenter le personnage de la grand-mère de Philippe Torreton
Présenter (l´un
des personnages ci-dessous,) la grand-mère de Philippe Torreton
Mémé, (ça) c´est le
titre du roman et le nom affectueux de la grand-mère de Philippe Torreton, la
femme qui l'(ui) a le plus marqué pendant sa vie.
Elle s´appelait
Denise Gosselin, et elle était(est) née en 1914 en Normandie où elle a vécue toute sa
vie.
Elle habitait(e) dans
une ferme à la campagne au nord du pays, au(le) climat, très sévère et terriblement
pluvieux ; l’humidité de sa maison, la guerre pendant son enfance et les
adversités de la vie ont fait de Mémé une femme très forte et austère.
Le passage de l´austérité vers
le gaspillage d´aujourd’hui est une des choses que l´auteur du livre accentue le plus,
le fait qu´avec un poulet toute la famille pouvai(en)t manger pendant une (fin de) semaine entière explique facilement la
manière que Madame Gosselin avait de gérer ses ressources.
La mort est un
autre sujet très important dans la vie de Mémé, elle est présente depuis son
enfance, parce que son petit frère et son père sont morts pendant la guerre, ainsi (également) que ses deux mari(e)s.
Travailler sans arrêt, et sans se plaindre, ça c'était la vie de la grand-mère de Phil(l)ippe Torreton.
13/20
13/20
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EXPRESSION ÉCRITE,
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Red Alejandro
Ode à mon grand-père
Ode à mon
grand-père
Le premier souvenir
que j´ai de toi c´est quand mes parent nous amenaient (portaient a) mon frère et (a) moi à
Pollença pour (à) dormir le(s) samedi(s) pour qu'(e) ils puissent (pouvaient) sortir (à) dîner dans un
restaurant.
Toi tu me lisais
le même livre chaque semaine, les contes de Popeye, avec ta patience
caractéristique, ça c´est le seul livre que j´ai chez moi après l'avoir récupéré de ta
maison.
J´aimais
énormément ces histoires de la guerre civile espagnole que tu me contais, surtout
l´anecdote de ton aventure de Madrid à Saragosse sur ta moto et ton séjour dans le bureau du capitaine.
(Tu que) Quand(t) j´ai
grandi, je me suis rendu compte que tu
me contais seulement les histoires amusantes du temps que tu avais passé là-bas, aucune histoire triste ou macabre,
et le fait(e) que tu ne m´aies(avais) jamais dit de quel côté tu avais lutté, ça
montre ta bonté et cela m´a enseigné que pardonner est la manière d´affronter certains (selon
quel(le)s) problèmes.
J´admire ta bonté ; je crois que tu étais la meilleure personne (la plus bonne) que j´ai jamais connue.
J´aimais observer le respect avec lequel mes oncles, tantes et cousins et
parents te traitaient, ça m´a beaucoup touché . J´aimerais que mes enfants et petits-enfants (grand-enfants) me traitent(aient ) avec le même respect, et qu’ils puissent (pourraient) avoir un
souvenir de moi, la moitié de ce que ( duquel) j´ai de toi.
12/20
Très beua texte Alejandro mais attention aux erreurs de langue (subjonctif, accents, relatifs)
12/20
Très beua texte Alejandro mais attention aux erreurs de langue (subjonctif, accents, relatifs)
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Mémé
Ode à ma grand-mère
Je n'ai connu qu'une grand-mère, la mère de mon père. Je l'ai connue quand j'avais onze ans car mes parents avaient immigré à Majorque et ils n'avaient pas pu y retourner en visite avant (abans). Je('ai) l'ai vue une autre fois quand(e) je suis allée en vacances chez mes oncles. Elle était dejà âgée (ancienne), elle avait presque quatre-vingt ans. Mais sa mémoire, son histoire et les valeurs qu'elle nous a transmises sont toujours avec nous.
Je m'appelle comme elle, Josefa. Elle habitait à Paradas (Séville) et est devenue veuve très jeune car son mari a été assassiné pendant la guerre civile en 1936 le six(s) setembre. Ils avaient cinq(c) enfants(fils)(trois garçons(hommes) et deux filles(femmes) et ma grand mère était enceinte de leur dernière fille. Mon père avait six(s) ans (il était le quatrième) et le plus âgé / l'aîné dix.
Elle a dû éléver ses enfants avec beaucoup de travail et de sacrifices dans une Espagne marquée par la répression, la faim, la(e) terreur, la guerre...Elle avait des chèvres et vendait ou échangeait le(a) lait, le fromage, le séré ?, la viande et la présure . Elle s'en allait avec son âne dans les (aux) villages des alentours et rentrait(retournait) avec des lentilles, des haricots, des légumes, du(e) pain... Mon père à six(s) ans et son frère à dix l'(ui) aid(e)aient en soignant les chèvres.
Elle était une femme très courageuse, forte, dure,(et) fière et digne ( ne jamais baisser la tête) de ses idées. Elle n'a jamais voulu que ses enfants (fil(l)s) aillent (allaient) faire la queue de rationnement parce qu'elle avait très clair(e) qu'elle(e) ne voulait rien de Franco ni des fascistes.
Elle avait aussi le sens de l'humour et disait qu'elle(e) ne voulait pas venir à Majorque parce que si elle mour(r)ait pendant le voyage on la jetterait à(dans) la mer.
Je suis très fière de la chance d'avoir eu une grand-mère avec ce courage, cette cohérence, sa lutte, les valeurs humaines qu'elle(e) nous a transmises et surtout sa dignité.
Il y a de quoi en être fière, une mère courage.
Récit très émouvant Pepa, bon travail. Attention toutefois à des erreurs de langue et de vocabulaire.
14/20
Je n'ai connu qu'une grand-mère, la mère de mon père. Je l'ai connue quand j'avais onze ans car mes parents avaient immigré à Majorque et ils n'avaient pas pu y retourner en visite avant (abans). Je('ai) l'ai vue une autre fois quand(e) je suis allée en vacances chez mes oncles. Elle était dejà âgée (ancienne), elle avait presque quatre-vingt ans. Mais sa mémoire, son histoire et les valeurs qu'elle nous a transmises sont toujours avec nous.
Je m'appelle comme elle, Josefa. Elle habitait à Paradas (Séville) et est devenue veuve très jeune car son mari a été assassiné pendant la guerre civile en 1936 le six(s) setembre. Ils avaient cinq(c) enfants(fils)(trois garçons(hommes) et deux filles(femmes) et ma grand mère était enceinte de leur dernière fille. Mon père avait six(s) ans (il était le quatrième) et le plus âgé / l'aîné dix.
Elle a dû éléver ses enfants avec beaucoup de travail et de sacrifices dans une Espagne marquée par la répression, la faim, la(e) terreur, la guerre...Elle avait des chèvres et vendait ou échangeait le(a) lait, le fromage, le séré ?, la viande et la présure . Elle s'en allait avec son âne dans les (aux) villages des alentours et rentrait(retournait) avec des lentilles, des haricots, des légumes, du(e) pain... Mon père à six(s) ans et son frère à dix l'(ui) aid(e)aient en soignant les chèvres.
Elle était une femme très courageuse, forte, dure,(et) fière et digne ( ne jamais baisser la tête) de ses idées. Elle n'a jamais voulu que ses enfants (fil(l)s) aillent (allaient) faire la queue de rationnement parce qu'elle avait très clair(e) qu'elle(e) ne voulait rien de Franco ni des fascistes.
Elle avait aussi le sens de l'humour et disait qu'elle(e) ne voulait pas venir à Majorque parce que si elle mour(r)ait pendant le voyage on la jetterait à(dans) la mer.
Je suis très fière de la chance d'avoir eu une grand-mère avec ce courage, cette cohérence, sa lutte, les valeurs humaines qu'elle(e) nous a transmises et surtout sa dignité.
Il y a de quoi en être fière, une mère courage.
Récit très émouvant Pepa, bon travail. Attention toutefois à des erreurs de langue et de vocabulaire.
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