Mémé, en plus du
titre du livre, est le nom affectueux que Philippe Torreton et ses cousins
donnait à leur grand-mère, Denise Porte. Elle est née au début du XXème siècle,
avec le nom de Denise Gosselin, dans un petit village de la Normandie, Troqueville,
dans le canton Pont-Audemer, dont elle n’est(a) sortie qu’en 1995 pour aller voir son
petit-fils, l’auteur du livre, au théâtre.
Née au sein d’une
famille de paysans, avec deux frères, André et Bernard, morts avant (qu’)elle
pendant la Grande Guerre, comme son père, elle a travaillé toute sa vie à la
campagne, en cultivant, en s’occupant des animaux, en fabriquant des outils pour
travailler, sans autre aide que ses propres mains. Tout ça sans arrêter de prendre
soin de sa grande famille.
Elle s’est mariée
deux fois. Son premier mari, avec lequel elle a eu trois filles (dont la mère
de l’auteur du livre), s’appelait Lucien Dehors. Ils (se s)ont divorcé(s) en 1951.
Un an plus tard, elle a connu son deuxième mari, Marie-René Porte, qui avait
cinq enfants de sa première femme, morte à cause d’une gra(è)ve maladie. Ils ont
eu un fils ensemble(en commun), Alain. Marie-René est mort en 1974, laissant Denise seule en(à la) charge de tous ces enfants.
Mémé a eu, donc, une
vie très dure et compliquée, mais, d’après ce que son petit-fils explique dans le
livre, elle a accepté la situation telle qu’elle est venue. Elle a beaucoup
travaillé, mais sans être ambitieuse, par pour s’enrichir, mais tout simplement
pour s’alimenter, pour survivre. Elle n’était pas très bavarde ; elle aimait
plutôt lire tranquillement, jouer au Scrabble ou écouter de la musique.
Elle était quelqu’un de très simple et généreuse.
Mémé a fini ses
jours en 2005, à (dans) l’hôpital de Pont-Audemer, à cause de la maladie de (du) parkinson.
Bon travail 16/20
Bon travail 16/20
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