mardi 12 janvier 2016

Activités sur Mémé de Philippe Torreton

Présentation du personnage de la grand-mère de Philippe Torreton



Mémé, en plus du titre du livre, est le nom affectueux que Philippe Torreton et ses cousins donnait à leur grand-mère, Denise Porte. Elle est née au début du XXème siècle, avec le nom de Denise Gosselin, dans un petit village de la Normandie, Troqueville, dans le canton Pont-Audemer, dont elle n’est(a) sortie qu’en 1995 pour aller voir son petit-fils, l’auteur du livre, au théâtre. 


Née au sein d’une famille de paysans, avec deux frères, André et Bernard, morts avant (qu’)elle pendant la Grande Guerre, comme son père, elle a travaillé toute sa vie à la campagne, en cultivant, en s’occupant des animaux, en fabriquant des outils pour travailler, sans autre aide que ses propres mains. Tout ça sans arrêter de prendre soin de sa grande famille.


Elle s’est mariée deux fois. Son premier mari, avec lequel elle a eu trois filles (dont la mère de l’auteur du livre), s’appelait Lucien Dehors. Ils (se s)ont divorcé(s) en 1951. Un an plus tard, elle a connu son deuxième mari, Marie-René Porte, qui avait cinq enfants de sa première femme, morte à cause d’une gra(è)ve maladie. Ils ont eu un fils ensemble(en commun), Alain. Marie-René est mort en 1974, laissant Denise seule en(à la) charge de tous ces enfants.


Mémé a eu, donc, une vie très dure et compliquée, mais, d’après ce que son petit-fils explique dans le livre, elle a accepté la situation telle qu’elle est venue. Elle a beaucoup travaillé, mais sans être ambitieuse, par pour s’enrichir, mais tout simplement pour s’alimenter, pour survivre. Elle n’était pas très bavarde ; elle aimait plutôt lire tranquillement, jouer au Scrabble ou écouter de la musique. Elle était quelqu’un de très simple et généreuse.


Mémé a fini ses jours en 2005, à (dans) l’hôpital de Pont-Audemer, à cause de la maladie de (du) parkinson.

Bon travail 16/20

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