mercredi 9 avril 2014

Journal de bord

JOURNAL DE BORD
Je partis(ai) de Marseille le mardi 18 (de) mai.
La première journée le vent poussa (empeigna) la voile avec force : j'eus beaucoup de chance parce que j'arrivai avant (de) l'heure prév(e)ue au lieu que (où) j'avais mis(e) comme point d'arrivée le(du) premier jour: Barcelone.
Le lendemain, ça ne se passa pas bien : il n'y eut pas de vent et la voile ne se bougea pas (mouva) d'un mètre pendant tout le jour!
Pendant la semaine qui suivit j'arrivai sur (à) la côte de l'Andalousie. Après je visitai Lisbonne, au(à) Portugal. Et à la fin je commençai à traverser l'océan.
Le dixième jour j'arrivai sur (à) la coté anglaise.
Trous jours durant le voyage je cruit que je ne serai capable de finir mon objetif parce que le vent ne m'acompaigna pas.
Toutes ces nuits-là la lune me sourveilla et je ne sentit pas la solitude de la mer...
Un matin, au lever du jour l'statue de la Liberté me salua après la brume.

Journal à bord du bateau à voile

La première journée fut excitante. Finalement le jour était arrivé et je me sentis extrêmement heureus(s)e. La mer fut très calme en raison du vent de force 1 à 2. Le lendemain j'assumai ma situation. J'étais (e fus) seule avec mon bateau au milieu de la mer direction le(au) Mexique. Pendant la semaine qui suivit je fus(j'étais) très occupée parce qu'il eut une forte mer et du vent. Le dixième jour je m'aperçus qu'il y avait des dauphins nageant près du bateau. Ça me réjouit(s) beaucoup. Trois jours durant je naviguai à côté des autres bateaux à voile. Toutes ces nuits-là furent calmes. Un matin. au lever du jour je vis un énorme animal à l'horizon, je me rapprochai et je découvris qu'il y avait une baleine et sa petite. Ça m'émut(s). Au coucher du soleil j' aperçus terre. Mon aventure finit heureusement.

lundi 7 avril 2014

Cours

Bonjour!
Aujourd'hui je ne pourrai pas venir au cours.
J'ai trouvé ce cours pour si vous y êtes interessés!
http://www.caib.es/pidip/annexes/2014/4/7/1838550.pdf
Bisous!

Conseils d´amie






Chère Sylvie,

Je vois que tu n´as pas trop le moral et que les choses pour toi ne sont pas faciles en ce moment. D´aprés ce que tu m´ecris ton mari est un accros au travail. Il a besoin d´être occuper à ses projets et ne vit que pour ça. La seule priorité est son travail. C´est comme une drogue, il ne peut pas s´en passer. Il recherche l´attention de ses collégues, de ses supérieurs et la tienne.
Moi, à ta place je lui en parlerais franchement. D´abord en exposant son comportement qui l´empêche d´avoir une vie personelle et familiale. Ce dont il n´est pas conscient et puis je lui dirais le mal que cette situation te fait déja et fait à ta famille. Parles lui de tes sentiments et de tes soucis à ce sujet. Votre couple a besoin de partager du temps et des loisirs ensembles et dis luis combien tu te sens seule.
Peut-être que cela le fera réagir et si ce n´est pas le cas vous pourriez prendre rendez-vous chez un psychologue qui traiterait cette addiction. Surtout ne perd pas ton courage et essaie de comprendre Nicolas car il est malade et ne le sait pas.
Tiens-moi au courrant, je penses trés fort à toi et je vous embrasse à tous.

Mireille.

samedi 5 avril 2014

jeudi 3 avril 2014

ADDICTIONS

Bonjour Sylvia,
En réponse à ton message, je pense, ('opine) comme professionnel, que ton mari souffre actuellement d'une des addictions les plus communes dans la société. C'est une maladie qui avance peu à peu et chaque fois tu t'impliques de plus en plus dans le monde du travail, en laissant de('un) côté d'autres facteurs comme le sport, la famille et même l'alimentation. Je te(vous) recommande de venir (que vous veniez) me rendre visite(r) à la consultation pour commencer (avec) une thérapie, ce qui généralement donne de bons résultats. Sylvia, je te demanderais de ne pas te préoccuper , puisque nous ne sommes pas devant une maladie incurable (irréversible), il s'agit d'une simple addiction, mais il est important de la traiter. Si tu as besoin d'information complémentaire ou si tu as un (quelque) doute mon téléphone est le 639565776.

 Juan Ortiz