On a fait
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un text à trous (" La Belgique premier pays à autoriser les mineurs à
choisir l´euthanasie"). Après, on l´a corrigé.
À faire
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Commencer à lire "Le village évanoui" de Bernard Quiriny
Réviser tout ce qu´Albane a expliqué au cours pour l´examen blanche
qui aura lieu:
le 18 janvier, le 20 janvier----partie écrite, compréhension orale
le 15 janvier---expression orale
Vous êtes maintenant dans le cycle Avancé, FÉLICITATIONS ! Ce blog vous est destiné. Vous y trouverez des activités spécialement conçues pour vous. Si vous désirez d'autres rubriques, d'autres activités..., n'hésitez pas à me le dire. Cet espace est aussi le vôtre, vous pouvez y collaborer par des photos, des textes ou toute autre chose, n'hésitez pas à le faire. Il vous servira aussi parfois pour "poster" des rédactions ou tout autre activité à faire à la maison.
mercredi 23 décembre 2015
jeudi 17 décembre 2015
Ode à ma grand-mère
ODE À MA GRAND-MÈRE
Ma grand-mère est née il y a longtemps dans les années troublées de la guerre et elle
a fait son époque en travaillant beaucoup dans la campagne jusqu´à l´âge de 70 ans.
À 80 ans, elle est morte (à cause) d´un infarctus.
Elle a été une femme rude et noble qui a travaillé à partir de sa jeunesse en tant que
paysanne dans les grands champs verts du village de Sa Pobla. De plus, elle a été
courageuse et active car elle se levait très tôt pour travailler jusqu´au coucher du soleil.
(Alors,) Elle devait ramasser les(des) pommes de terre (du sol,) qu´on avait semées six(s) mois avant.
(En plus,) Après avoir passé une dure journée à travailler (en travaillant), elle (se) retrouvait
(ncontrait) des (avec certains) paysan(t)s dans la campagne pour prendre un repas afin de reprendre
des forces et de continuer à cueillir la récolte.
À cause des corvées des(u) champs, ma grand-mère n´a pas eu le temps de faire d´autres
choses plus agréables. De plus, elle a beaucoup souffert (battu très fort) car elle a perdu un enfant à
cause d´un accident de travail.
Ensuite, elle a été rude non seulement mais aussi pratique car elle a aimé cuisiner , faire
le ménage ou faire les courses. De plus, elle a été sérieuse avec ses (leur) enfants qui ont pu(du)
aller à l´école peu de temps pour aider (à) leurs parents.
D´un côté, elle était (a été) spontanée et bavarde, car je me rappelle qu´elle parlait beaucoup
afin de renseigner? bien ses (leur) amis. De plus, elle n´avait pas de(u) mal pour (se) communiquer
avec des gens inconnus car elle était calme en face d´une situation nouvelle (étrange).
D´un autre côté, elle a été protectice avec moi, car elle s´est préoccupée des problemes
de santé que j´ai eus quand j´étais (un) enfant.
Finalement, elle m´a permis d´avoir des outils pour créer mon futur, car un jour, elle m´a
fait un cadeau, une machine à écrire pour l´utiliser en tant qu´employée dans une
banque.
Attention aux possessifs et aux accords. 13/20
Ma grand-mère est née il y a longtemps dans les années troublées de la guerre et elle
a fait son époque en travaillant beaucoup dans la campagne jusqu´à l´âge de 70 ans.
À 80 ans, elle est morte (à cause) d´un infarctus.
Elle a été une femme rude et noble qui a travaillé à partir de sa jeunesse en tant que
paysanne dans les grands champs verts du village de Sa Pobla. De plus, elle a été
courageuse et active car elle se levait très tôt pour travailler jusqu´au coucher du soleil.
(Alors,) Elle devait ramasser les(des) pommes de terre (du sol,) qu´on avait semées six(s) mois avant.
(En plus,) Après avoir passé une dure journée à travailler (en travaillant), elle (se) retrouvait
(ncontrait) des (avec certains) paysan(t)s dans la campagne pour prendre un repas afin de reprendre
des forces et de continuer à cueillir la récolte.
À cause des corvées des(u) champs, ma grand-mère n´a pas eu le temps de faire d´autres
choses plus agréables. De plus, elle a beaucoup souffert (battu très fort) car elle a perdu un enfant à
cause d´un accident de travail.
Ensuite, elle a été rude non seulement mais aussi pratique car elle a aimé cuisiner , faire
le ménage ou faire les courses. De plus, elle a été sérieuse avec ses (leur) enfants qui ont pu(du)
aller à l´école peu de temps pour aider (à) leurs parents.
D´un côté, elle était (a été) spontanée et bavarde, car je me rappelle qu´elle parlait beaucoup
afin de renseigner? bien ses (leur) amis. De plus, elle n´avait pas de(u) mal pour (se) communiquer
avec des gens inconnus car elle était calme en face d´une situation nouvelle (étrange).
D´un autre côté, elle a été protectice avec moi, car elle s´est préoccupée des problemes
de santé que j´ai eus quand j´étais (un) enfant.
Finalement, elle m´a permis d´avoir des outils pour créer mon futur, car un jour, elle m´a
fait un cadeau, une machine à écrire pour l´utiliser en tant qu´employée dans une
banque.
Attention aux possessifs et aux accords. 13/20
lundi 14 décembre 2015
LES PAROLES DE DOUCE FRANCE
Douce France
Il revient à ma mémoire, des souvenirs familiers (Ter)
Je revois ma blouse noire, lorsque j'étais écolier
Sur le chemin de l'école, je chantais à pleine voix
Des romances sans paroles, vieilles chansons d'autrefois
Douce France, cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance, je t'ai gardée dans mon cœur !
Mon village, au clocher, aux maisons sages,
Où les enfants de mon âge, ont partagé mon bonheur.
Oui je t'aime, et je te donne ce poème
Oui je t'aime, dans la joie ou la douleur
J'ai connu des paysages, et des soleils merveilleux
Au cours de lointains voyages, tout là-bas sous d'autres cieux
Mais combien je leur préfère, mon ciel bleu, mon horizon
Ma grande route et ma rivière, ma prairie et ma maison.
Douce France, cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance, je t'ai gardée dans mon cœur!
Mon village, au clocher, aux maisons sages,
Où les enfants de mon âge, ont partagé mon bonheur.
Oui je t'aime, et je te donne ce poème
Oui je t'aime, dans la joie ou la douleur.
Douce France, cher pays de mon enfance
Bercée de tendre insouciance, je t'ai gardée dans mon cœur.
Douce France (Ter)
Libellés :
Chanson française,
Karaoké 2015
dimanche 13 décembre 2015
Présentation
Présentation de Philippe Torreton
Pour commencer, Philippe Torreton est le petit-fils d´une femme simple et
généreuse, toute une époque, qui a une vie rude et noble dans la campagne.
Ensuite, il passe son enfance et son adolescence à la campagne dans les années70-90.
De plus, il habite dans un immeuble à deux pas de la maison de sa grand-mère.
Lorsque sa famille s´est installé à Rouen, Philippe Torreton visitait sa grand-mère
tous les week-ends et pendant les vacances. En plus, il avait envie de la voir tous les
jours car il aimait son entourage familiar où tous les membres de sa famille vou-
laient du bien à Mémé à laquelle l´auteur adorait.
Quand il était petit, il aimait les fêtes de Nôel où il était gai quand il découvrait un tas
de cadeaux prévus. De plus, il était attentif et créatif car il a fabriqué une pelle à pous-
sière au collège et il l´a offerte à Mémé. Il était aussi un enfant amoureux car il
était plein de tendreses avec sa gran-mère à qui il adorait, veillait et écoutait dormir.
L´auteur a vécu dans des années enchantées où il a conservé des humeurs, des odeurs,
des noms de plantes, tout un savoir de petit garçon des champs qu´il a appris dans la
nature. De plus, il a adquis une sensibilité pour apprendre des choses artístiques grâce
aux paysages naturals de Normandie qu´il a observé.
Quand P. Torreton a été plus âgé, il a découvert le théâtre. En conséquence, il est devenu
un homme cultivé car il a été un brillant élève du conservatoire à Paris et il est entré très
tôt à la Comédie-Française.
Finalement, il a du mal dès la mort de Mémé car il a retenu à la mémoire des images de
sa grand-mère qui lui provoquaient du chagrin et de la tristesse.
Pour commencer, Philippe Torreton est le petit-fils d´une femme simple et
généreuse, toute une époque, qui a une vie rude et noble dans la campagne.
Ensuite, il passe son enfance et son adolescence à la campagne dans les années70-90.
De plus, il habite dans un immeuble à deux pas de la maison de sa grand-mère.
Lorsque sa famille s´est installé à Rouen, Philippe Torreton visitait sa grand-mère
tous les week-ends et pendant les vacances. En plus, il avait envie de la voir tous les
jours car il aimait son entourage familiar où tous les membres de sa famille vou-
laient du bien à Mémé à laquelle l´auteur adorait.
Quand il était petit, il aimait les fêtes de Nôel où il était gai quand il découvrait un tas
de cadeaux prévus. De plus, il était attentif et créatif car il a fabriqué une pelle à pous-
sière au collège et il l´a offerte à Mémé. Il était aussi un enfant amoureux car il
était plein de tendreses avec sa gran-mère à qui il adorait, veillait et écoutait dormir.
L´auteur a vécu dans des années enchantées où il a conservé des humeurs, des odeurs,
des noms de plantes, tout un savoir de petit garçon des champs qu´il a appris dans la
nature. De plus, il a adquis une sensibilité pour apprendre des choses artístiques grâce
aux paysages naturals de Normandie qu´il a observé.
Quand P. Torreton a été plus âgé, il a découvert le théâtre. En conséquence, il est devenu
un homme cultivé car il a été un brillant élève du conservatoire à Paris et il est entré très
tôt à la Comédie-Française.
Finalement, il a du mal dès la mort de Mémé car il a retenu à la mémoire des images de
sa grand-mère qui lui provoquaient du chagrin et de la tristesse.
Sur le livre Mémé
La description de son enfance, réalité ou nostalgie?
Au début, je crois que dans ce livre l´auteur mélange la réalité avec des senti-
ments de nostalgie car il explique ses(leur) expériences et ses(leur) situations réelles et
il fait comprendre ses(leur) sentiments de nostalgie envers un monde rural passé où il
a vécu, qui a disparu à l´heure actuelle.
Ensuite, Philippe Torreton non seulement y fait une description de son enfance
mais aussi il raconte de bons moments qu´il a eu dès petit chez Mémé. Alors, il nous
fait connaître un sentiment d´amour envers sa grand-mère qui lui a appris que rien
n´était jamais gâché et qu'on profite de toutes les choses pour les réutiliser et recycler.
D´un côté, il éprouve de la nostalgie pour l´environnement (entourage) où il se trouvait chez Mémé.
Dans la campagne, P. T se souvient des moments et des situations positives comme
quand il conduis(s)ait un tracteur dans le champ et qu'il se sentait un paysan normand.
De plus, il fait allusion aux jeux d´enfance car auparavant il adorait aller chez Mémé
afin de regarder la télé et de jouer avec ses(leur) frères. En plus, il éprouve de la nostalgie
pour le moment (dans le passé) où lui(il) et son petit frère travaillaient dans un cellier pour remettre le jus de
pomme dans les ventres de bois.
D´un autre côté, il explique des faits réels tristes qui sont sur(dé)venus pendant son enfance comme
la perte de certains membres de la famille à cause des guerres. Ainsi, il éprouve de la
peine et de la rage quand il fait savoir que le frère âgé de Mémé ou l´arrière-grand-père
ont été abattus par les Allemands pendant l'occupation (le nazisme). De même, on peut considérer que la
triste réalité de la mort de Lucien(lee mari de sa grand-mère son mari) lui provoque du chagrin et beaucoup de lar-
mes voire il éprouve une profonde tristesse à partir du décès de sa grand-mère.
Au début, je crois que dans ce livre l´auteur mélange la réalité avec des senti-
ments de nostalgie car il explique ses(leur) expériences et ses(leur) situations réelles et
il fait comprendre ses(leur) sentiments de nostalgie envers un monde rural passé où il
a vécu, qui a disparu à l´heure actuelle.
Ensuite, Philippe Torreton non seulement y fait une description de son enfance
mais aussi il raconte de bons moments qu´il a eu dès petit chez Mémé. Alors, il nous
fait connaître un sentiment d´amour envers sa grand-mère qui lui a appris que rien
n´était jamais gâché et qu'on profite de toutes les choses pour les réutiliser et recycler.
D´un côté, il éprouve de la nostalgie pour l´environnement (entourage) où il se trouvait chez Mémé.
Dans la campagne, P. T se souvient des moments et des situations positives comme
quand il conduis(s)ait un tracteur dans le champ et qu'il se sentait un paysan normand.
De plus, il fait allusion aux jeux d´enfance car auparavant il adorait aller chez Mémé
afin de regarder la télé et de jouer avec ses(leur) frères. En plus, il éprouve de la nostalgie
pour le moment (dans le passé) où lui(il) et son petit frère travaillaient dans un cellier pour remettre le jus de
pomme dans les ventres de bois.
D´un autre côté, il explique des faits réels tristes qui sont sur(dé)venus pendant son enfance comme
la perte de certains membres de la famille à cause des guerres. Ainsi, il éprouve de la
peine et de la rage quand il fait savoir que le frère âgé de Mémé ou l´arrière-grand-père
ont été abattus par les Allemands pendant l'occupation (le nazisme). De même, on peut considérer que la
triste réalité de la mort de Lucien(lee mari de sa grand-mère son mari) lui provoque du chagrin et beaucoup de lar-
mes voire il éprouve une profonde tristesse à partir du décès de sa grand-mère.
jeudi 10 décembre 2015
Cours de conversation
Conversation vendredi 11 décembre
Vous avez une séance de conversation avec Ghilène, ce vendredi, à la salle 201, de 16h à 17h.
mercredi 2 décembre 2015
Absence au cours du 2 de désembre 2015
Bonjour Albane,
aujourd´hui je ne peux pas venir au cours car j´ai beaucoup de corvées chez moi Je
suis désolée. mais je ferai attention aux notes qu´on publie au blog. À lundi.
aujourd´hui je ne peux pas venir au cours car j´ai beaucoup de corvées chez moi Je
suis désolée. mais je ferai attention aux notes qu´on publie au blog. À lundi.
mardi 1 décembre 2015
récit sur l´importance de l´humidité
Philippe Torreton parle du sujet de l´humidité fréquemment dans son livre car il dit
qu´il a vécu en Normandie pendant (depuis) longtemps, où le climat est humide et pluvieux
en hiver.
Ensuite, l´auteur précise qu´il a habité dès petit avec sa grand-mère dans une maison
à la (de) campagne insalubre (gâchée) à cause de l´humidité que les pluies provoquent dans la région
normande. De plus, il dit que la maison de Mémé était placée au côté ouest de la
Normandie qui est très humide (moite) à cause des orages qui apportent de fortes pluies.
En plus, il explique que la maison de Mémé était isolée dans une ambiance rurale
très froide ou glacée qui la couvrait d'(e) humidité (tout l'(e) immeuble de sa grand-mère REDONDANT).
Ainsi, l´écrivain dit qu´il n´etait pas à l´aise dans sa chambre car les murs qui
étaient près du lit étaient mouillés et ils provoquaient une mauvaise odeur dans
toute la pièce (salle).
De même, P.Torreton raconte que le foyer où il habitait était toujours sale à
cause de déposer la boue des semelles sur le (au) sol. De plus, les toilettes étaient les
plus sales car il y avait une moiteur constante qui détruis(s)ait ? la baignoire, l´évier
ou les(a) toilettes ; cependant la salle a manger restait propre car elle était utilisée comme
un centre de loisirs.
Finalement ,bien que l´auteur dise que la pluie provoquait beaucoup de dommages
chez Mémé, il dit qu´elle est une source d´espérance.
Apolonia, tu as cherché beaucoup d'informations sur l'humidité dans le livre mais il faut essayer de les ordonner, ne pas faire une liste. On en parlera.
qu´il a vécu en Normandie pendant (depuis) longtemps, où le climat est humide et pluvieux
en hiver.
Ensuite, l´auteur précise qu´il a habité dès petit avec sa grand-mère dans une maison
à la (de) campagne insalubre (gâchée) à cause de l´humidité que les pluies provoquent dans la région
normande. De plus, il dit que la maison de Mémé était placée au côté ouest de la
Normandie qui est très humide (moite) à cause des orages qui apportent de fortes pluies.
En plus, il explique que la maison de Mémé était isolée dans une ambiance rurale
très froide ou glacée qui la couvrait d'(e) humidité (tout l'(e) immeuble de sa grand-mère REDONDANT).
Ainsi, l´écrivain dit qu´il n´etait pas à l´aise dans sa chambre car les murs qui
étaient près du lit étaient mouillés et ils provoquaient une mauvaise odeur dans
toute la pièce (salle).
De même, P.Torreton raconte que le foyer où il habitait était toujours sale à
cause de déposer la boue des semelles sur le (au) sol. De plus, les toilettes étaient les
plus sales car il y avait une moiteur constante qui détruis(s)ait ? la baignoire, l´évier
ou les(a) toilettes ; cependant la salle a manger restait propre car elle était utilisée comme
un centre de loisirs.
Finalement ,bien que l´auteur dise que la pluie provoquait beaucoup de dommages
chez Mémé, il dit qu´elle est une source d´espérance.
Apolonia, tu as cherché beaucoup d'informations sur l'humidité dans le livre mais il faut essayer de les ordonner, ne pas faire une liste. On en parlera.
lundi 30 novembre 2015
Assistance au cours d'aujourd'hui.
Bonsoir
à tout le monde,
Je
veux vous communiquer qu'aujourd'hui pour moi c'est impossible
d'assister au cours, car j'ai des sessions d'évaluation à mon
centre à partir de 18.30h.
Alors,
je ferai attention à l'agende on line.
À
mercredi!
jeudi 26 novembre 2015
fiche schématique sur Mémé
(Au debut) Mémé est la grand-mère de Philippe Torreton.
(D´abord,) Elle est née en 1914.
Elle a eu une enfance tragique car son petit frère et son père sont morts à cause de la guerre
Elle s´est mariée deux fois et ses deux maris sont morts avant (qu´)elle.
(Ensuite,) Elle habitait(e) dans une petite maison dans la campagne en Normandie.
(De plus ,) Elle devait (oit) supporter les rigueurs du climat dans son foyer dont le papier des murs
était (est) abîmé à cause de l´humidité que la pluie provoque dans la région normande.
En plus, elle est intelligente et pratique car elle ne gâche rien. Au contraire ,elle
aime le recyclage et elle sait profiter de toutes les choses périmées afin de les réutiliser.
Par ailleurs, elle fait partie d´un temps troublé par la guerre où elle a appris qu´on
doit conserver,profiter et recycler les choses.De plus, elle a adquis une attitude po-
sitive vers la vie car elle est tres active et elle a envie de travailler.
De même , elle a vécu dans la campagne toute la vie . En conséquence elle a appris
des connaissances de la culture tradittionelle..
Mémé vive seule quand leur petit fils est âgé et lors de sa maladie, elle passe leurs derniers jours
à l´hôpital où elle meurt.
Apolonia, il faut seulement utiliser des connecteurs quand c'est nécessaire et en utilisant un connecteur concret, pas n'importe lequel au hasard.
Tu dois réécrire la fin de ton texte en faisant la concordance des temps au passé puisqu'il s'agit d'un récit.
Mémé est la grand-mère de Philippe Torreton.
Elle est née en 1914.
Elle a eu une enfance tragique car son petit frère et son père sont morts à cause de la guerre
Elle s´est mariée deux fois et ses deux maris sont morts avant (qu´)elle.
Elle habitait dans une petite maison dans la campagne en Normandie.
Elle devait supporter les rigueurs du climat dans son foyer dont le papier des murs
était abîmé à cause de l´humidité que la pluie provoquait dans la région normande.
En plus, elle était intelligente et pratique car elle ne gâchait rien. Au contraire ,elle
aimait le recyclage et elle savait profiter de toutes les choses perimées afin de les réutiliser .
Par ailleurs, elle faisait partie d´un temps troublé par la guerre où elle a appris qu´on
doit conserver,profiter et recycler les choses.De plus, elle a adquis une attitude po-
sitive vers la vie car elle était tres active et elle avait envie de travailler.
De même , elle a vécu dans la campagne toute la vie . En conséquence elle a appris
des connaissances de la culture tradittionelle..
Mémé vivait seule quand leur petit fils était âgé et lors de sa maladie, elle passait
leurs derniers joours à l´hôpital où elle a mort.
(D´abord,) Elle est née en 1914.
Elle a eu une enfance tragique car son petit frère et son père sont morts à cause de la guerre
Elle s´est mariée deux fois et ses deux maris sont morts avant (qu´)elle.
(Ensuite,) Elle habitait(e) dans une petite maison dans la campagne en Normandie.
(De plus ,) Elle devait (oit) supporter les rigueurs du climat dans son foyer dont le papier des murs
était (est) abîmé à cause de l´humidité que la pluie provoque dans la région normande.
En plus, elle est intelligente et pratique car elle ne gâche rien. Au contraire ,elle
aime le recyclage et elle sait profiter de toutes les choses périmées afin de les réutiliser.
Par ailleurs, elle fait partie d´un temps troublé par la guerre où elle a appris qu´on
doit conserver,profiter et recycler les choses.De plus, elle a adquis une attitude po-
sitive vers la vie car elle est tres active et elle a envie de travailler.
De même , elle a vécu dans la campagne toute la vie . En conséquence elle a appris
des connaissances de la culture tradittionelle..
Mémé vive seule quand leur petit fils est âgé et lors de sa maladie, elle passe leurs derniers jours
à l´hôpital où elle meurt.
Apolonia, il faut seulement utiliser des connecteurs quand c'est nécessaire et en utilisant un connecteur concret, pas n'importe lequel au hasard.
Tu dois réécrire la fin de ton texte en faisant la concordance des temps au passé puisqu'il s'agit d'un récit.
Mémé est la grand-mère de Philippe Torreton.
Elle est née en 1914.
Elle a eu une enfance tragique car son petit frère et son père sont morts à cause de la guerre
Elle s´est mariée deux fois et ses deux maris sont morts avant (qu´)elle.
Elle habitait dans une petite maison dans la campagne en Normandie.
Elle devait supporter les rigueurs du climat dans son foyer dont le papier des murs
était abîmé à cause de l´humidité que la pluie provoquait dans la région normande.
En plus, elle était intelligente et pratique car elle ne gâchait rien. Au contraire ,elle
aimait le recyclage et elle savait profiter de toutes les choses perimées afin de les réutiliser .
Par ailleurs, elle faisait partie d´un temps troublé par la guerre où elle a appris qu´on
doit conserver,profiter et recycler les choses.De plus, elle a adquis une attitude po-
sitive vers la vie car elle était tres active et elle avait envie de travailler.
De même , elle a vécu dans la campagne toute la vie . En conséquence elle a appris
des connaissances de la culture tradittionelle..
Mémé vivait seule quand leur petit fils était âgé et lors de sa maladie, elle passait
leurs derniers joours à l´hôpital où elle a mort.
mercredi 25 novembre 2015
Rédaction , Mémé 4
Ode à ma grand- mère,
J’ai seulement connu une grand-mère, la mère
de ma mère. Elle s’appelait Maria et je lui dois mon premier prénom (à elle). Mon(L’)autre
grand- mère est morte avant(s de) ma(on) naissance et je ne l’ai pas connue.
Ma grand-mère a été une femme dure car elle était mère de six enfants, ma mère
était la cinquième, et son mari était mort pendant(dans) la guerre civile. Après toute
sa vie elle a porté des habits de deuil comme d’ habitude en (dans) ce temps-là. Elle a dû, en
plus de s’occuper de ses enfants, (que) se mettre à travailler pour les
élever et sa(la) vie (le) a été difficile.
Mon oncle , le fils aîné, est parti au Pays
Basque pour travailler et il achetait du(e) poisson qu’il envoyait à sa mère pour qu'elle le vende (le vendre) dans le village où elle habitait.
Elle était comme(nt) je l’ai déjà dit, une femme dure mais aussi très
affectueuse, tranquille et sereine, tous ses enfants étaient très fiers d’elle
et tous l’aimaient beaucoup. Je ne me rappelle (pas d’)aucune réprimande que
j’aie(s) reçu d’elle.
Malgré le fait que je me souvienne(s) d’elle comme d'une personne âgée, elle avait seulement
onze ans de plus que moi quand elle est morte et(y) elle est morte (va mourir) entourée de tous
ses enfants et ses petits- enfants ; tous nous l’avons aimée et je sais que ma
mère a ressenti sa perte pendant longtemps (beaucoup d’années).
Moi , je suis grand- mère et je voudrais que
mon petit-enfant aime(ait) sa grand - mère, au moins autant que (, comme) j’aimais la mienne,
Attention aux structures qui amènent le subjonctif et aux comparatifs. 13/20
Attention aux structures qui amènent le subjonctif et aux comparatifs. 13/20
mardi 24 novembre 2015
Rédaction .Mémé 3
L'humidité
Dans ce livre, l'humidité a un rôle de premier plan (protagoniste) parce que la description de l'ambiance(t) où se développe la vie de P. Torreton pendant son enfance fait que nous pouv(i)ons sentir et presque toucher (tâtonner) l'humidité.
La ferme de Mémé était située en Normandie, sur (dans) la côte Atlantique de la France et par conséquent le climat est très pluvieux et la température n'est pas extrême mais par l' effet de l' humidité il fait très (trop de froid à l' hiver et trop de chaleur en (à l') été.
La maison de Mémé était pauvre , il y avait toujours une odeur de chambre humide, en plus il y avait une mauvaise isolation. Comme(nt) P. Torreton dit , c´était une maison classée "Z". Pendant tout le temps la pluie frappait les petit carreaux et il y avait des bassines dans (outre) la maison. Quand le carrelage était lavé l' humidité résistait pendant des jours.
L' endroit de la maison où le plus d'humidité se concentrait était la salle de bains, elle avait une moiteur constamment, le plastique marbré qu'il y avait se soulevait.
Pour le même motif ils mangeaient le pain mou, humide et élastique. Le pain était mou et le beurre si dur qu'on (i) ne (se) pouvait pas l'éte(i)ndre sur le pain.
Malgré tout cela , P. Torreton dit qu' il aime la(e) pluie.
Attention aux accords Montse. 13/20
Dans ce livre, l'humidité a un rôle de premier plan (protagoniste) parce que la description de l'ambiance(t) où se développe la vie de P. Torreton pendant son enfance fait que nous pouv(i)ons sentir et presque toucher (tâtonner) l'humidité.
La ferme de Mémé était située en Normandie, sur (dans) la côte Atlantique de la France et par conséquent le climat est très pluvieux et la température n'est pas extrême mais par l' effet de l' humidité il fait très (trop de froid à l' hiver et trop de chaleur en (à l') été.
La maison de Mémé était pauvre , il y avait toujours une odeur de chambre humide, en plus il y avait une mauvaise isolation. Comme(nt) P. Torreton dit , c´était une maison classée "Z". Pendant tout le temps la pluie frappait les petit carreaux et il y avait des bassines dans (outre) la maison. Quand le carrelage était lavé l' humidité résistait pendant des jours.
L' endroit de la maison où le plus d'humidité se concentrait était la salle de bains, elle avait une moiteur constamment, le plastique marbré qu'il y avait se soulevait.
Pour le même motif ils mangeaient le pain mou, humide et élastique. Le pain était mou et le beurre si dur qu'on (i) ne (se) pouvait pas l'éte(i)ndre sur le pain.
Malgré tout cela , P. Torreton dit qu' il aime la(e) pluie.
Attention aux accords Montse. 13/20
jeudi 19 novembre 2015
Mémé , Redaction 2
L'enfance de Philippe Torreton
Après des semaines d' hôpital les parents de P. T. l' ont confié à sa grand-mère, (à) Mémé, pour se remettre d' une maladie. Il a(vait) donc grandi chez Mémé qui vivait dans (était) une petite ferme normande. De ce temps-là il a des souvenirs un peu épuisant(e)s comme(nt) les apnées de Mémé qui l'inquiétaient (dont lui faisaient être inquiet) ; il l'écoutait dormir et respirer pendant la nuit (les nuits), il se considérait comme(nt) le gardien de nuit de Mémé. Après (de) chaque apnée il attendait qu' elle recommence(çait) à respirer à nouveau (une autre fois) d' une manière normale. Il était heureux de vivre (en vivant) à la campagne où il a appris les mots, les habitudes .... etc. Pour lui être à la ferme fut un vrai plaisir.
Plus tard il a recommencé à vivre avec ses parents , mais toutes les vacances de Noël, de Pâques, les mois d'été (mes Juillets, mes Aoûts) et tous les week- ends il allait chez Mémé.
Au collège, Philippe a fabriqué une pelle à poussière et il l' a offerte à Mémé comment preuve de que son petit-fils savait travailler avec ses mains et aussi de qu' il n' avait pas employé d'(l') argent pour lui faire un cadeau(x). Il a été fier(ère) d' avoir appris à être loin de la société de consommation citadine.
À la ferme on (y) fallait aider et en plus il voulait prouver à sa grand- mère qu'il pouvait être utile et faire(te) un travail de paysan. Philippe et son frère travaillaient à la campagne et leur grand -mère allait avec un panier et leur(s) apportait du pain , du fromage, du cidre.... pour le casse-croûte (se nourrir). Quelquefois il conduisait aussi un tracteur orange. Cette vie domestique avait pour lui un goût de liberté.
Dans la ferme de Mémé il était Robinson Crusoe.
Tu as bien lu le livre. Bonne analyse 13,5/20
Après des semaines d' hôpital les parents de P. T. l' ont confié à sa grand-mère, (à) Mémé, pour se remettre d' une maladie. Il a(vait) donc grandi chez Mémé qui vivait dans (était) une petite ferme normande. De ce temps-là il a des souvenirs un peu épuisant(e)s comme(nt) les apnées de Mémé qui l'inquiétaient (dont lui faisaient être inquiet) ; il l'écoutait dormir et respirer pendant la nuit (les nuits), il se considérait comme(nt) le gardien de nuit de Mémé. Après (de) chaque apnée il attendait qu' elle recommence(çait) à respirer à nouveau (une autre fois) d' une manière normale. Il était heureux de vivre (en vivant) à la campagne où il a appris les mots, les habitudes .... etc. Pour lui être à la ferme fut un vrai plaisir.
Plus tard il a recommencé à vivre avec ses parents , mais toutes les vacances de Noël, de Pâques, les mois d'été (mes Juillets, mes Aoûts) et tous les week- ends il allait chez Mémé.
Au collège, Philippe a fabriqué une pelle à poussière et il l' a offerte à Mémé comment preuve de que son petit-fils savait travailler avec ses mains et aussi de qu' il n' avait pas employé d'(l') argent pour lui faire un cadeau(x). Il a été fier(ère) d' avoir appris à être loin de la société de consommation citadine.
À la ferme on (y) fallait aider et en plus il voulait prouver à sa grand- mère qu'il pouvait être utile et faire(te) un travail de paysan. Philippe et son frère travaillaient à la campagne et leur grand -mère allait avec un panier et leur(s) apportait du pain , du fromage, du cidre.... pour le casse-croûte (se nourrir). Quelquefois il conduisait aussi un tracteur orange. Cette vie domestique avait pour lui un goût de liberté.
Dans la ferme de Mémé il était Robinson Crusoe.
Tu as bien lu le livre. Bonne analyse 13,5/20
mercredi 18 novembre 2015
Conte africain
...un petit village au loin, il marchait à
travers la brousse (brochure) depuis trois jours pendant lesquels il s'était (est) nourri de(s) plantes et de(s) petits insectes qu'il avait trouvé sur son chemin (dans son parcours).
Quand il a aperçu le village , il a été
très content et il a couru dans sa direction (vers là-bas) très vite avec l'espoir d'être accueilli.
Il a vu des enfants qui étaient à l'école, des femmes avec leurs bébés (petits fils) (accrochés (fermés ) avec un gros tissu sur leur dos) qui récoltaient des légumes,
des hommes qui tray(ir)aient les chèvres pour avoir du lait et d'autres petits
enfants qui jouaient à côté d'un groupe de personnes âgées qui étaient assises en cercle (dans le cercle) et qui(e) parlaient et fumaient des pipes.
Adamou est entré dans le village et une
jeune femme avec un petit enfant (fils) dans les bras l'a reçu et lui a offert de la nourriture et de l'eau; après il s'est
lavé et il a dormi un peu.
Quand il s'est réveillé, ils se sont
assis devant le feu et Adamou a raconté
son histoire . Les habitants de ce
village et Malika ( c'était le nom de la jeune femme) l'ont (avaient) écouté avec (à toute) attention et Adamou leur a demandé de
rester avec eux dans le village (poblat) et leur a
promis de travailler beaucoup comme un membre de plus de la tribu.
Tout à (de) coup Malika lui a raconté aussi son histoire . Elle venait (était
descendante) de la même tribu qu'(e)Adamou et elle s'est ému parce qu'elle a découvert qu'ils étaient frère(s) et soeur.
Quelle surprise! Hasard de la vie?
13,5/20
Quelle surprise! Hasard de la
vie?
Très bon travail Pepa. 20/20 pour la conjugaison.
13,5/20
...un petit village au loin, il marcha à travers la
brousse pendant (depuis) trois jours pendant lesquels il se nourrit de plantes et
de petits insectes qu'il trouva sur son chemin .
Quand il aperçut le village, il fut très content
et il courut dans sa direction très vite avec l'espoir d'être accueilli.
Il vit des enfants qui étaient à l'école,
des femmes avec leurs bébés accrochés avec un
gros tissu sur leur dos qui récoltaient des légumes, des hommes qui trayaient
les chèvres pour avoir du lait et d'autres petits enfants qui jouaient à
côté d'un groupe de personnes âgées qui étaient assises en cercle et qui parlaient et fumaient des pipes.
Adamou entra dans le village et une jeune femme
avec un petit enfant dans les bras le (lui) reçut et lui offrit de la nourriture
et de l'eau ; après il se(s) lava et il dormit un peu.
Quand il se réveilla,
ils s'assirent devant le feu et Adamou raconta son histoire . Les
habitants de ce village et Malika (c'était le nom de la jeune femme) l'écoutèrent avec attention et Adamou leur demanda de
rester avec eux dans le village et leur promit de travailler beaucoup comme un
membre de plus de la tribu.
Tout à coup
Malika lui raconta aussi son histoire . Elle venait de la même tribu
qu' Adamou et elle s' émut quand (parce) qu'elle découvrit
qu'ils étaient frère et soeur.
Très bon travail Pepa. 20/20 pour la conjugaison.
lundi 16 novembre 2015
conte africain
Comme par miracle, il a trouvé une vieille bicyclette près d´un arbre. Alors, il a décidé
d'attendre un peu avant de partir avec le vélo jusqu´au (à le) village le plus proche. Ensuite,
quand il s´est approché d'un(u) arbre qu'il avait vu , il a découvert un sac qui était plein de
nourriture. Aussitôt (D´ailleurs,) il l´a pris et il est devenu très content car il a pu manger à sa faim
(sans avoir faim). Après, il est reparti vers le village (avec le moyen de transport) en pédalant (allant)
vite car (il sentait que) le froid lui faisait mal.
Quand il est arrivé dans le village, il se sentait très fatigué à cause des efforts pour
surmonter les situations difficiles qu´il avait rencontrées (trouvé) dans la brousse. Ensuite (En plus),
il a demandé à une vieille femme si elle voulait laccueillir (e recueillir) pour (pendant) une nuit chez
elle afin de dormir et de reprendre des forces. Le lendemain (Après) , Adamou l´a remerciée très fort
car elle avait été généreuse et accueillante avec lui.et il est parti avec son vélo vers la fôret
vierge.Plus tard, il est arrivé à une petite maison détruite qui était placée au milieu de
la brousse . Alors, il y est entré et il a vu un trésor qui contenait des colliers et des
bagues en or, voire un manuscrit qui disait que les bijoux seraient pour celui qui ferait
du bien aux gens du village.
Ainsi, Adamou a pris une partie du petit trésor et il l´a donné à la vielle femme qu´il
avait connu afin de la remercier encore une fois par son hospitalité et sa bonté.
Comme par miracle, il trouva une vieille bicyclette près d´un arbre. Alors, il décida
d'attendre un peu avant de partir avec le vélo jusqu´au village le plus proche. Ensuite,
quand il s´approcha d´un arbre qu´il avait vu , il découvra un sac qui était plein de
nourriture. Aussitôt , il le prit et il devint très content car il put manger à sa faim.
Après, il repartit vers le village en pédalant vite car le froid lui faisait mal.
Quand il arriva dans le village, il se sentait très fatigué à cause des efforts pour
surmonter les situations difficiles qu´il avait rencontrées dans la brousse. Ensuite,
il demanda à une vieille femme si elle voulait l´accueillir pour une nuit chez
elle afin de dormir et de reprendre des forces. Le lendemain , Adamou la remercia très fort
car elle avait été généreuse et accueillante avec lui.et il partit avec son vélo vers la fôret
vierge.Plus tard, il arriva à une petite maison détruite qui était placée au milieu de
la brousse . Alors, il y entra et il vit un trésor qui contenait des colliers et des
bagues en or, voire un manuscrit qui disait que les bijoux seraient pour celui qui ferait
du bien aux gens du village.
Ainsi, Adamou prit une partie du petit trésor et il la donna à la vielle femme qu´il
avait connu afin de la remercier encore une fois par son hospitalité et sa bonté.
d'attendre un peu avant de partir avec le vélo jusqu´au (à le) village le plus proche. Ensuite,
quand il s´est approché d'un(u) arbre qu'il avait vu , il a découvert un sac qui était plein de
nourriture. Aussitôt (D´ailleurs,) il l´a pris et il est devenu très content car il a pu manger à sa faim
(sans avoir faim). Après, il est reparti vers le village (avec le moyen de transport) en pédalant (allant)
vite car (il sentait que) le froid lui faisait mal.
Quand il est arrivé dans le village, il se sentait très fatigué à cause des efforts pour
surmonter les situations difficiles qu´il avait rencontrées (trouvé) dans la brousse. Ensuite (En plus),
il a demandé à une vieille femme si elle voulait laccueillir (e recueillir) pour (pendant) une nuit chez
elle afin de dormir et de reprendre des forces. Le lendemain (Après) , Adamou l´a remerciée très fort
car elle avait été généreuse et accueillante avec lui.et il est parti avec son vélo vers la fôret
vierge.Plus tard, il est arrivé à une petite maison détruite qui était placée au milieu de
la brousse . Alors, il y est entré et il a vu un trésor qui contenait des colliers et des
bagues en or, voire un manuscrit qui disait que les bijoux seraient pour celui qui ferait
du bien aux gens du village.
Ainsi, Adamou a pris une partie du petit trésor et il l´a donné à la vielle femme qu´il
avait connu afin de la remercier encore une fois par son hospitalité et sa bonté.
Comme par miracle, il trouva une vieille bicyclette près d´un arbre. Alors, il décida
d'attendre un peu avant de partir avec le vélo jusqu´au village le plus proche. Ensuite,
quand il s´approcha d´un arbre qu´il avait vu , il découvra un sac qui était plein de
nourriture. Aussitôt , il le prit et il devint très content car il put manger à sa faim.
Après, il repartit vers le village en pédalant vite car le froid lui faisait mal.
Quand il arriva dans le village, il se sentait très fatigué à cause des efforts pour
surmonter les situations difficiles qu´il avait rencontrées dans la brousse. Ensuite,
il demanda à une vieille femme si elle voulait l´accueillir pour une nuit chez
elle afin de dormir et de reprendre des forces. Le lendemain , Adamou la remercia très fort
car elle avait été généreuse et accueillante avec lui.et il partit avec son vélo vers la fôret
vierge.Plus tard, il arriva à une petite maison détruite qui était placée au milieu de
la brousse . Alors, il y entra et il vit un trésor qui contenait des colliers et des
bagues en or, voire un manuscrit qui disait que les bijoux seraient pour celui qui ferait
du bien aux gens du village.
Ainsi, Adamou prit une partie du petit trésor et il la donna à la vielle femme qu´il
avait connu afin de la remercier encore une fois par son hospitalité et sa bonté.
Conte africain
Il trouvait une
amie qu’il n’avait pas vue depuis longtemps, elle a été aussi abandonnée il y a
10 jours par sa grand-mère qui était très malade.
Elle vivait prés
d’ou il vivait quant ils étaient petits, ils ont passé beaucoup de temps ensemble.
Ils ont vécu beaucoup d´aventures et le
sentiment était de nostalgie, bien qu’il
soit en disgrâce, c´était une opportunité de se rappeler du passé et de
vivre de nouvelles aventures.
Après sa
rencontre ils ont pensé à voyager à la capitale du pays, ou ils veulent
trouver la sœur de mamma, que c’est le nom de cette petite fille, mais,
la question est comme peuvent deux enfants traverser tout le pays sans argent
et avec tous les dangers qu´on peut trouver dans la jungle.
Le premier défi était
trouver un moyen de transport. Ils savaient qu’il y avait un train qui traversait le première parte du
trajet, le couple trouvait la gare et ils montaient sur le fer, froid et
bruyant, mais ils se sont cache dans le wagon du bagage.
Le matin suivante
ils ont arrivé à mankolo, ils avaient déjà fait la moitie du chemin, mais ils
doivent encore traverser la forêt, même si il y ait beaucoup de dangers.
A la fin du
chemin dans la jungle ils ont entendu un bruit de fond, il était comme une
animal qui crie, ils ont commencé à courir à tout vitesse jusqu' ils arrivaient
à la capitale.
Ils trouvaient la
sœur de mamma, ce qui veule dire qu’ils pouvaient avoir un futur meilleur.
Libellés :
Conte africain,
Passé simple,
Red Alejandro
Vie privée des hommes politiques
À mon avis , les medias qui veulent être sérieux, rigoureux et respectueux avec l'information, doivent bien différencier la vie personnelle de la professionnelle des politiques. Il(C')est vrai qu'il y en a quelques-uns qui font une démonstration publique de leur (son) intimité et de leur (sa) famille car ils croient que ce fait leur donne de la popularité. Par contre, je crois que les moyen(ne)s de communication ont l'obligation de nous informer de la situation économique et patrimoniale , transparence et honnêteté en tout ce qui concerne (à ses) leurs décisions politiques. Ils doivent aussi informer des actions qui touchent les valeurs humaines, par exemple le cas Levinski ou le cas Strauss-Kahn. Mais à part (de) ces cas, tout le monde a le droit de (à) protéger son intimité, même les politiques (quand même).
14/20
À mon avis , les medias qui veulent être sérieux, rigoureux et respectueux avec l'information, doivent bien différencier la vie personnelle de la professionnelle des politiques. Il(C')est vrai qu'il y en a quelques-uns qui font une démonstration publique de leur (son) intimité et de leur (sa) famille car ils croient que ce fait leur donne de la popularité. Par contre, je crois que les moyen(ne)s de communication ont l'obligation de nous informer de la situation économique et patrimoniale , transparence et honnêteté en tout ce qui concerne (à ses) leurs décisions politiques. Ils doivent aussi informer des actions qui touchent les valeurs humaines, par exemple le cas Levinski ou le cas Strauss-Kahn. Mais à part (de) ces cas, tout le monde a le droit de (à) protéger son intimité, même les politiques (quand même).
14/20
dimanche 15 novembre 2015
la parole aux lecteurs
La parole aux lecteurs.
Monsieur le Directeur, / Madame la Directrice,
A mon avis, la situation actuelle dans laquelle tout le monde peut faire une critique de nos hommes ou femmes politiques est initialement positive. Mais quand cette critique est totalement destructive et utilise(é) la vie privée de nos politiciens pour détruire le système démocratique où nous vivons (; dans ce cas,) je pense que l’état doit établir des procédures pour protéger nos (les nôtres) institutions démocratiques et par conséquent (conséquemment à) nos représentants politiques.
Il(C’)est vrai que les politiciens doivent conserver (ont de garder) des attitudes inattaquables, mais ça ne peut pas représenter qu’ils ne puiss(euv)ent pas vivre avec normalité et vivre d’accord avec leurs (les siens) convictions religieuses, sexuelles ou sociales. Personne n’a (pas) le droit d’utiliser la vie personnelle d’un citoyen(ne), y compris (inclusse) si il ou elle est célèbre (fameuse), politicien, etc. pour l’attaqu(ch)er; dans ce cas l’administration judiciaire(eux) doit intervenir pour les protéger.
13/20
Monsieur le Directeur, / Madame la Directrice,
A mon avis, la situation actuelle dans laquelle tout le monde peut faire une critique de nos hommes ou femmes politiques est initialement positive. Mais quand cette critique est totalement destructive et utilise(é) la vie privée de nos politiciens pour détruire le système démocratique où nous vivons (; dans ce cas,) je pense que l’état doit établir des procédures pour protéger nos (les nôtres) institutions démocratiques et par conséquent (conséquemment à) nos représentants politiques.
Il(C’)est vrai que les politiciens doivent conserver (ont de garder) des attitudes inattaquables, mais ça ne peut pas représenter qu’ils ne puiss(euv)ent pas vivre avec normalité et vivre d’accord avec leurs (les siens) convictions religieuses, sexuelles ou sociales. Personne n’a (pas) le droit d’utiliser la vie personnelle d’un citoyen(ne), y compris (inclusse) si il ou elle est célèbre (fameuse), politicien, etc. pour l’attaqu(ch)er; dans ce cas l’administration judiciaire(eux) doit intervenir pour les protéger.
13/20
samedi 14 novembre 2015
Mémé , Rédaction nº 1
Fiche schématique sur Mémé,
- Mémé c' est le nom affectueux par lequel P. Torreton appelait sa grand- mère.
- Son prénom était Denise et son nom de jeune fille (famille) était Gosselin. Après , quand elle s 'est mariée, elle a changé son nom pour D. Dehors et à partir de son deuxième mariage elle s´est appelée D. Porte.
-Elle est née en Normandie en 1914 et elle vivait à (en) Triqueville , dans le canton de Pont- Audemer.
-André était (fut) son frère aîné et son frère cadet, qui s' appelait Bernard(t), est mort pendant (dans) la guerre. Ce fait a été une des souffrances de sa vie.
- Son premier mari, Lucien , était (a été) faible, il était (un) buveur et après (d') avoir eu trois enfants ils (s)ont divorcé(s). Leur divorce a été la cause d' une difficile situation parce qu' elle restait toute seule avec trois filles, Lucette, Colette et Claudine. Après, elle s' est remariée avec M. Porte qui était un homme veuf avec cinq enfants et dont la cadette (en plus la fille petite) , Annette , était handicapée. Du mariage avec M. Porte est né Alain qui a été le trait d' union de ses deux familles. Ce(t) petit enfant était si beau et si doux que ses petits-enfants (fils) appelaient (à) Mémé, " Mémé Alain ".
- Mémé habitait dans une ferme et elle avait une vieille chienne, Folette, et une grande cage pleine de perruches vert et bleu.
- Tout le temps, (l') hiver comme (l') été elle portait une blouse imprimée, cadeaux de Noël de ses filles.
- Mémé est décedée en 2005, quand P. Torreton avait quarante ans, à l' hôpital de Pont- Audemer.
- Elle était (fut) une petite femme (et) seule face au monde qui a mené (porté) une dure vie de labeur où " elle ne restait pas sans rien faire", mais cependant elle aimait les histoir(i)es d' amour
- Mémé c' est le nom affectueux par lequel P. Torreton appelait sa grand- mère.
- Son prénom était Denise et son nom de jeune fille (famille) était Gosselin. Après , quand elle s 'est mariée, elle a changé son nom pour D. Dehors et à partir de son deuxième mariage elle s´est appelée D. Porte.
-Elle est née en Normandie en 1914 et elle vivait à (en) Triqueville , dans le canton de Pont- Audemer.
-André était (fut) son frère aîné et son frère cadet, qui s' appelait Bernard(t), est mort pendant (dans) la guerre. Ce fait a été une des souffrances de sa vie.
- Son premier mari, Lucien , était (a été) faible, il était (un) buveur et après (d') avoir eu trois enfants ils (s)ont divorcé(s). Leur divorce a été la cause d' une difficile situation parce qu' elle restait toute seule avec trois filles, Lucette, Colette et Claudine. Après, elle s' est remariée avec M. Porte qui était un homme veuf avec cinq enfants et dont la cadette (en plus la fille petite) , Annette , était handicapée. Du mariage avec M. Porte est né Alain qui a été le trait d' union de ses deux familles. Ce(t) petit enfant était si beau et si doux que ses petits-enfants (fils) appelaient (à) Mémé, " Mémé Alain ".
- Mémé habitait dans une ferme et elle avait une vieille chienne, Folette, et une grande cage pleine de perruches vert et bleu.
- Tout le temps, (l') hiver comme (l') été elle portait une blouse imprimée, cadeaux de Noël de ses filles.
- Mémé est décedée en 2005, quand P. Torreton avait quarante ans, à l' hôpital de Pont- Audemer.
- Elle était (fut) une petite femme (et) seule face au monde qui a mené (porté) une dure vie de labeur où " elle ne restait pas sans rien faire", mais cependant elle aimait les histoir(i)es d' amour
Libellés :
Livres de lecture obligatoire,
Red Montse Aranda
mercredi 11 novembre 2015
Conte africain
Comme par miracle ... il trouva une petite qui était cachée derr(n)ière un buisson.
Elle avait de(s) longs cheveux et de(s) gros yeux noirs. Elle s'approcha de lui et lui demanda:
- Qu'est-ce que tu fais ici? - Ta tribu t'a rejeté et abandonné?
Alors, un instant plus tard il ouvrit la bouche (gueule) et répondit:
-Oui, je suis Adamou et toi?
- Je suis Shaira, ma tribu m'a abandonnée il y a longtemps . Tu peux venir avec moi si tu veux.
Les deux enfants marchèrent longtemps pendant que la nuit tombait. Quand ils f(e)urent arrivés à une grotte, la fille parla doucement et ensuite deux garçons sorti(rè)rent de son (leur) intérieur.
- Ils sont ma famille maintenant et nous pouvons être la tienne, si tu veux- dit Shaira.
Adamou acquiesca et tous les enfants rentrèrent dans la grotte.
Le lendemain Adamou et Shaira allèrent à la chasse pendant que les autres enfants cueillaient (récolectaient) des baies et cherchaient des racines afin de se nourrir.
Ils habitaient dans la grotte à l'abri des animaux sauvages. Ils sortaient seulement pour chercher de la nourriture. Pourtant, un jour quand ils étaient à la chasse , ils trouvèrent deux enfants de plus. Ils avaient été (furent) abandonnés par (pour) leurs tribus et ils les accueilli(ê)rent aussi. Continuellement (Assiduement), il y avait des enfants rejetés et abandonnés que Adamou et ses amis accueillaient dans la grotte.
Mais la grotte était trop petite pour tous les enfants. Alors, Adamou et Shaira prirent une décision. Ils devaient chercher un endroit où ils pourr(v)aient habiter. Ils trouvèrent cet endroit près d'un ruisseau et les enfants construisirent des caban(n)es avec de la (en) terre et de l'(a vieille) herbe sèche avec leurs mains.
Ils devinrent un peuple fort, jeune et solidaire dénommé BANDILE ((Qu')ils se sont multipliés et ont prospéré).
268 mots
13,5/20 Attention aux conjugaisons du passé simple et à la voix passive. Bon travail
Elle avait de(s) longs cheveux et de(s) gros yeux noirs. Elle s'approcha de lui et lui demanda:
- Qu'est-ce que tu fais ici? - Ta tribu t'a rejeté et abandonné?
Alors, un instant plus tard il ouvrit la bouche (gueule) et répondit:
-Oui, je suis Adamou et toi?
- Je suis Shaira, ma tribu m'a abandonnée il y a longtemps . Tu peux venir avec moi si tu veux.
Les deux enfants marchèrent longtemps pendant que la nuit tombait. Quand ils f(e)urent arrivés à une grotte, la fille parla doucement et ensuite deux garçons sorti(rè)rent de son (leur) intérieur.
- Ils sont ma famille maintenant et nous pouvons être la tienne, si tu veux- dit Shaira.
Adamou acquiesca et tous les enfants rentrèrent dans la grotte.
Le lendemain Adamou et Shaira allèrent à la chasse pendant que les autres enfants cueillaient (récolectaient) des baies et cherchaient des racines afin de se nourrir.
Ils habitaient dans la grotte à l'abri des animaux sauvages. Ils sortaient seulement pour chercher de la nourriture. Pourtant, un jour quand ils étaient à la chasse , ils trouvèrent deux enfants de plus. Ils avaient été (furent) abandonnés par (pour) leurs tribus et ils les accueilli(ê)rent aussi. Continuellement (Assiduement), il y avait des enfants rejetés et abandonnés que Adamou et ses amis accueillaient dans la grotte.
Mais la grotte était trop petite pour tous les enfants. Alors, Adamou et Shaira prirent une décision. Ils devaient chercher un endroit où ils pourr(v)aient habiter. Ils trouvèrent cet endroit près d'un ruisseau et les enfants construisirent des caban(n)es avec de la (en) terre et de l'(a vieille) herbe sèche avec leurs mains.
Ils devinrent un peuple fort, jeune et solidaire dénommé BANDILE ((Qu')ils se sont multipliés et ont prospéré).
268 mots
13,5/20 Attention aux conjugaisons du passé simple et à la voix passive. Bon travail
Vie privée des hommes politiques
Devant la grande quantité de nouvelles sur la vie privée de nos hommes et
femmes politiques qui apparaissent dans les (aux) médias, on se pose la question de si ce
niveau d’exposition médiatique est bon pour la démocratie ou s’il répond plutôt
à d'(des) autres intérêts (commerciaux(les), politiques, etc.).
Pour répondre à cette question, on doit analyser le sujet des informations. À
mon avis, des nouvelles sur la vie strictement privée de quelqu’un, concernant,
par exemple, sa vie amoureuse, n’ont aucun intérêt pour l’opinion publique. Qu’un
homme politique ait un fils né hors mariage est un sujet (problème) qui lui est personnel (à lui). Fouiner sur (en)
ce sujet serait, en fait, un manque de respect.
Par contre, si une information sur la vie privée de nos élus peut avoir un
effet sur son travail, elle devrait être publiée. Par exemple, savoir qu’un homme
politique a un poste de travail dans une entreprise privée ou qu’il a des
parents avec certains intérêts cachés peut être essentiel pour comprendre l’assignation
d’un marché public. En fait, enquêter (investiguer) et publier ces relations obscures c’est,
à mon avis, le travail qu’un journaliste politique doit développer.
mardi 10 novembre 2015
Un conte africain
Attention aux orphelins
Autrefois, dans le village de Gani-Gawané, les orphelins étaient rejetés et abandonnés. Selon cette triste habitude, une année, à l'approche de la saison des pluies, le petit Adamou fut emmené dans une brousse lointaine parce que personne ne voulait plus s'occuper de lui : un de ses oncles qui l'avait recueilli après la mort de ses parents et l'avait élevé presque dix ans, mourut lui aussi et sa veuve avait beaucoup de mal à élever ses propres enfants. Le chef du village à qui elle avait fait appel décida donc d'abandonner le petit Adamou. Ainsi l'enfant se retrouva-t-il seul, parmi les animaux sauvages, à des lieues du village le plus proche.
Comme par miracle, il a trouvé… Un médecin qui est(a) venu en(a) Afrique pour faire des recherches sur (investiguer) une maladie contagieuse. Il faisait partie (formait part) d’une équipe de chercheurs (’investigateurs) européens financés par l'(e) UNESCO pour trouver un(e) vaccin(e) pour une maladie(affection). Le médecin lui a (’avait) demandé où il vivait et Adamou lui a répondu(avait dit) qu’il ne savait pas. La(e) surprise du médecin a été (est) grande, mais il (h)a pensé qu’il ne pouvait pas laisser (à) Adamou tout seul dans la savane africaine avec les animaux sauvages. Jean Fournier, un jeune médecin belge a décidé de chercher le village d’Adamou, mais (depuis longtemps de après une longue route en (avec sa(on)) voiture ils n’ont pas trouvé le petit village et la nuit et la(e) faim ont fait font nécessaire de s’arrêter pour passer la nuit. Adamou et Jean ont préparé le campement et ils ont fait un feu pour faire le dîner. Jean était très heureux, parce que Adamou l’avait aidé et qu'il était (est) très ingénieux(se), tout le contraire de (que) Jean. Durant le repas, Adamou lui avait raconté (à Jean) comment le chef de sa(on) tribu avait(ha) décidé de l'(lui) abandonner dans une brousse lointaine de son village à cause du manque de nourriture (manger) pour alimenter sa(la nutrition de son) famille. Jean lui a demandé s’il voulait aller avec lui(-il) à l’hôpital où il allait (à) travailler et où ils pourraient trouver une(quelque) solution. Le matin, ils se sont levés très tôt, ils ont pris le petit déjeuner et ils ont (ar)rangé leurs bagages et ils sont partis pour (sorti jusqu’au) Mombassa où était l’hôpital où Jean devait(oit) travailler pour (par) 6 mois. Huit heures après, ils sont arrivés à l’hôpital où (n) les camarades les(ui) ont reçu et leur(ui) ont préparé leurs chambres pour dormir.
Attention Xavi, la plupart de tes erreurs proviennent de la concordance des temps ou du régime des verbes (avec quelques prépositions ils fonctionnent ou s'il n'y en a pas). 13/20
Autrefois, dans le village de Gani-Gawané, les orphelins étaient rejetés et abandonnés. Selon cette triste habitude, une année, à l'approche de la saison des pluies, le petit Adamou fut emmené dans une brousse lointaine parce que personne ne voulait plus s'occuper de lui : un de ses oncles qui l'avait recueilli après la mort de ses parents et l'avait élevé presque dix ans, mourut lui aussi et sa veuve avait beaucoup de mal à élever ses propres enfants. Le chef du village à qui elle avait fait appel décida donc d'abandonner le petit Adamou. Ainsi l'enfant se retrouva-t-il seul, parmi les animaux sauvages, à des lieues du village le plus proche.
Comme par miracle, il a trouvé… Un médecin qui est(a) venu en(a) Afrique pour faire des recherches sur (investiguer) une maladie contagieuse. Il faisait partie (formait part) d’une équipe de chercheurs (’investigateurs) européens financés par l'(e) UNESCO pour trouver un(e) vaccin(e) pour une maladie(affection). Le médecin lui a (’avait) demandé où il vivait et Adamou lui a répondu(avait dit) qu’il ne savait pas. La(e) surprise du médecin a été (est) grande, mais il (h)a pensé qu’il ne pouvait pas laisser (à) Adamou tout seul dans la savane africaine avec les animaux sauvages. Jean Fournier, un jeune médecin belge a décidé de chercher le village d’Adamou, mais (depuis longtemps de après une longue route en (avec sa(on)) voiture ils n’ont pas trouvé le petit village et la nuit et la(e) faim ont fait font nécessaire de s’arrêter pour passer la nuit. Adamou et Jean ont préparé le campement et ils ont fait un feu pour faire le dîner. Jean était très heureux, parce que Adamou l’avait aidé et qu'il était (est) très ingénieux(se), tout le contraire de (que) Jean. Durant le repas, Adamou lui avait raconté (à Jean) comment le chef de sa(on) tribu avait(ha) décidé de l'(lui) abandonner dans une brousse lointaine de son village à cause du manque de nourriture (manger) pour alimenter sa(la nutrition de son) famille. Jean lui a demandé s’il voulait aller avec lui(-il) à l’hôpital où il allait (à) travailler et où ils pourraient trouver une(quelque) solution. Le matin, ils se sont levés très tôt, ils ont pris le petit déjeuner et ils ont (ar)rangé leurs bagages et ils sont partis pour (sorti jusqu’au) Mombassa où était l’hôpital où Jean devait(oit) travailler pour (par) 6 mois. Huit heures après, ils sont arrivés à l’hôpital où (n) les camarades les(ui) ont reçu et leur(ui) ont préparé leurs chambres pour dormir.
Attention Xavi, la plupart de tes erreurs proviennent de la concordance des temps ou du régime des verbes (avec quelques prépositions ils fonctionnent ou s'il n'y en a pas). 13/20
Tâche 2. Conte africain: Attention aux orphelins
Tâche
2. Conte africain: Attention aux orphelins
Autrefois,
dans le village de Gani-Gawané, les orphelins étaient rejetés et
abandonnés. Selon cette triste habitude, une année, à l'approche
de la saison des pluies, le petit Adamou fut emmené dans une brousse
lointaine parce que personne ne voulait plus s'occuper de lui: un de
ses oncles qui l'avait recueilli après la mort de ses parents et
l'avait élevé presque dix ans, mourut lui aussi et sa veuve avait
beaucoup de mal à élever ses propres enfants. Le chef du village à
qui elle avait fait appel décida donc d'abandonner le petit Adamou.
Ainsi
l'enfant se retrouva-t-il seul, parmi les animaux sauvages, à des
lieues du village le plus proche. Comme
par miracle, il a trouvé…
...une
petite cabane (à boîte') au milieu de la(u) brousse.
Il
s'est approché pour l'inspecter. Ce qui(e) l'(lui) intéressait le plus
était de savoir s'il y habitait quelqu'un et s'il pouvait (s')en profiter.
Cette
trouvaille pouv(rr)ait(-elle) être vitale pour sa survie.
D'abord
il l'a contourée (entourée) en cherchant un(quelque) espace qui lui permettrait de regarder à l'intérieur et voilà, il y avait deux fenêtres, mais
elles avaient des grilles et derrière, à une distance inaccessible
pour lui, les vitres étaient si sales qu'il ne pouvait pas
distinguer les différents objets de l'intérieur avec clarté.
Alors,
il a décidé d'y entrer. Il s'est placé devant la porte et il a
frappé avec son poing. Personne ne lui a répondu et il(on) n'a (pas) écouté
aucun bruit. Il a essayé d'ouvrir mais elle était verrouillée.
Alors il a décidé de la forcer. Finalement, quand il a réussi à y
entrer, il a trouvé beaucoup d'objets qui(e) pouvaient lui être utiles
pour survivre (une machette, une hache pour couper du bois, des pièges
pour chasser, deux fusils avec leurs munitions, des cordes, des outils
pour cuisiner…) et surtout, le plus important, un nouveau foyer
pour se mettre à l'abri pendant un temps.
Il a
trouvé aussi d'autres choses très curieuses qui (lui) ont attiré son(l')attention. Et cinq semaines plus tard, il a fait une découverte
très «mystérieuse» à l'intérieur de la cheminée.
Il y
avait caché un coffre fort qui empêchait la fumée de sortir . C'est comme (pour) ça qu'il l'a découvert. Il a essayé de l'ouvrir en utilisant
tout son génie. Enfin, il a trouvé la solution à ses problèmes…
(258 mots) 15/20
Texte au Passé simple
Il
s' approcha
pour l'inspecter. Ce qui l'intéressait le plus était de savoir s'il
y habitait quelqu'un et s'il pouvait en profiter.
Cette
trouvaille pouvait être vitale pour sa survie.
D'abord
il la contourna
en cherchant un espace qui lui permettrait de regarder à l'intérieur
et voilà, il y avait deux fenêtres, mais elles avaient des grilles
et derrière, à une distance inaccessible pour lui, les vitres
étaient si sales qu'il ne pouvait pas distinguer les différents
objets de l'intérieur avec clarté.
Alors,
il décida
d'y entrer. Il se plaça
devant la porte et il frappa
avec son poing. Personne ne lui répondit
et il n'écouta
aucun bruit. Il essaya
d'ouvrir mais elle était verrouillée. Alors il décida
de la forcer. Finalement, quand il réussit
à y entrer, il trouva
beaucoup d'objets qui pouvaient lui être utiles pour survivre (une
machette, une hache pour couper du bois, des pièges pour chasser,
deux fusils avec leurs munitions, des cordes, des outils pour
cuisiner…) et surtout, le plus important, un nouveau foyer pour se
mettre à l'abri pendant un temps.
Il
trouva
aussi d'autres choses très curieuses qui attirèrent
son attention. Et cinq semaines plus tard, il fut
une découverte très «mystérieuse» à l'intérieur de la
cheminée.
Il
y avait caché un coffre fort qui empêchait la fumée de sortir.
C'est comme ça qu'il le découvrit.
Il essaya
de l'ouvrir en utilisant tout son génie. Enfin, il trouva
la solution à ses problèmes…
mercredi 28 octobre 2015
mardi 27 octobre 2015
Pour le mercredi 28 Octobre
On a fait,
-Nous avons écouté de possibles chansons pour le karaoke de Nöel et nous avons choissi celles que à notre avis étaient les plus adéquates.
- Ensuite nous avons fait les pages 8 et 9 du livre.
À faire,
- Maintenant on peut décharger le texte à trous de Mémé, il y avait un probléme dans la page mais c´est déjà resolu. Vous devez imprimer seulément les pages 1 et 2 car les solutions sont dans le troiséme page.
Bonne journée .À mercredi.
-Nous avons écouté de possibles chansons pour le karaoke de Nöel et nous avons choissi celles que à notre avis étaient les plus adéquates.
- Ensuite nous avons fait les pages 8 et 9 du livre.
À faire,
- Maintenant on peut décharger le texte à trous de Mémé, il y avait un probléme dans la page mais c´est déjà resolu. Vous devez imprimer seulément les pages 1 et 2 car les solutions sont dans le troiséme page.
Bonne journée .À mercredi.
lundi 26 octobre 2015
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
FICHE
DE LECTURE SUR LE LIVRE MÉMÉ DE
PHILIPPE TORRETON
Nous
écouterons des interviews sur cet auteur et sur son livre.
Nous
ferons un texte à trous sur ce thème.
Un
travail sur l'argot apparaissant dans ce livre se fera également.
ACTIVITÉS DE COMPRÉHENSION
ÉCRITE OU ORALE
Faites deux des
activités suivantes :
Dressez
une fiche schématique avec toutes les informations dont on dispose sur la
grand-mère de Philippe Torreton
Relevez
dans le livre les éléments pour faire un récit de l’enfance de Philippe
Torreton (300 mots).
Faites
un récit sur l’importance de l’humidité dans ce livre. (200 mots)
Réécrivez
comme un récit journalistique qui présenterait l’alimentation et le recyclage
dans les campagnes auparavant les pages 69, 70 et deux premières lignes p 71.
Relevez
dans le livre les éléments qui parlent de la vie quotidienne dans un village de
campagne dans les années 50/60 et complétez-les en cherchant des informations
sur Internet pour en faire un exposé en classe.
Écrivez
la lettre de reproches que Philippe Torreton aurait pu écrire au prêtre qui a
officié la céré monie de l’enterrement de sa grand-mère.
Écrivez
ou enregistrez le sermon que le prêtre qui a officié à l’enterrement de la
grand-mère de Philippe Torreton aurait pu écrire, en donnant une large place
aux qualités humaines de cette personne et en contant des anecdotes pour les
illustrer.
EXPRESSION
ÉCRITE : Au choix, rédigez un sujet de chaque type (en 300 mots)
Vous
participez à la Rubrique "Un jour, un livre" d'un magazine littéraire
français et vous développez les thèmes suivants :
1) Présenter l'un des personnages ci-dessous:
La grand-mère de Philippe Torreton
Philippe Torreton pendant son enfance
2) Développez l’un
des thèmes ci-dessous :
La vie dans un village de Normandie à cette époque
La description de son enfance, réalité ou nostalgie ?
En imitant le style de Philippe Torreton, écrivez un récit comme une ode
à votre grand-mère ou grand-père.
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