lundi 21 mars 2016

Sacs pour les réfugiés



Bonjour, Albane,

Est-ce que tu vas apporter des sacs pour les réfugiés aujourd’hui ? Je voudrais en parrainer un. Je voulais te la demander la semaine dernière, mais je l’ai oublié.

Mercie !

mercredi 16 mars 2016

assistance à classe

Bonjour Albane. Aujourd'hui je ne peux pas assister à classe parce que j'ai évaluations.

dimanche 13 mars 2016

ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"



Relevez dans le livre les effets et différentes étapes de la sécession de la ferme Verviers.

Jean-Claude Verviers avait construit peu à peu une ferme qui comptait, au moment où le phénomène est arrivé, parmi les plus prospères de la région.
À cause du tempérament réservé et de la rigidité en affaires de son propriétaire, personne ne l'aimait guère.
D'abord, Jean-Claude n'a pas été (était pas) touché par les angoisses des Châtillonnais sensibles, à qui la réduction du monde faisait reconsidérer le sens de leur présence sur Terre.
En quelque sorte, il vivait déjà en reclus avant l'arrivée de cette nouvelle situation d'isolement du village. Et il aimait cette vie. On peut le constater en lisant l'extrait suivant: «Châtillon était son univers, la colline d'en face son horizon, pourquoi s'interroger sur ce qu'il y avait au-delà? Que Paris, Londres et l'Amérique aient disparu, quelle importance!» «En son for intérieur, il jugeait stupide de chercher ailleurs une herbe plus verte.»
Il s'intéressait plus à sa ferme qu'au village. Son souci pour le monde extérieur s'étendait presque à Châtillon même. (page 92-93)
Et ce jusqu'au moment où il a reçu la visite du maire d'Ouilliers, Patrick Tellier, venu pour faire le point sur la situation des exploitations agricoles.
À partir de ce moment-là, il a eu (avait) la puce à l'oreille. Il a soupçonné (soupçonna) que sa ferme et ses produits étaient susceptibles (en risque) d'être réquisitionnés pour  être partagés (les partager).
Voici le point culminant qui a bouleversé son attitude et sa relation avec les autres. Ce fait a été (fut) déterminant pour commencer la sécession de la ferme.
À partir de ce moment-la il s'est mobilisé (se mobilisa) pour construire des barrières frontalières, fusionner «l'exploitation de son voisin Schmitz et la sienne, et former un nouveau pays pour proclamer son indépendance politique» (page 104).
Ils ont ensuite créé (On avait crée) une nouvelle organisation sociale autour du ranch(ge), très semblable (pareille) à celle d'une société féodale, dont Verviers symbolisait le seigneur tout puissant placé au (dans le) sommet. Cette nouvelle population était devenue le seul exemple de progrès et l'unique espoir pour surmonter la situation à laquelle les châtillonnais étaient soumis. Depuis le moment où ils sont restés enfermés, toute sorte de communication avec l'extérieur a cessé, et la même chose avec les provisions et les marchandises qu'on recevait chaque jour au village. Ces faits ont causé beaucoup de problèmes dans un village trop dépendant des relations commerciales avec d'autres villes pour son approvisionnement.
Par contre, chez Mr. Verviers, on pouvait disposer de tous les produits basiques dont on avait besoin pour subsister. Là, on produit ce dont on a (avait) besoin. Enfin, la ferme était devenue un petit oasis au milieu du désert.
Mais contrairement au cas de Jean-Claude Verviers, il y avait des personnes qui ne supportaient pas d'être privés du contact avec l'extérieur. Ces personnes pour qui le seul monde qu'ils avaient était à travers les écrans et les téléphones. Or, ce monde ayant disparu, il ne leur restait rien.
L(C)es faits qu'on nous raconte dans cette histoire, ils font que les choses aient une valeur qu'elles n'avaient pas auparavant. On estime de nouveau d'autres façons de vie antérieures, avec plus de ressources naturelles et sans autant de progrès technologiques.

Le ranch(ge) Verviers, cependant, n'a pas survécu (ne survécut pas) longtemps à la mort de son (du) fondateur. Et comme cette mort a été accidentelle (fut à cause d'un accident), on n'avait pas préparé sa succession. Arriva donc ce qui était le plus possible qu'il arrivât : l'implosion.

Bon travail 16/20

ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"


Relevez et développez les arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la nourriture. (p 39-44)

Le village se trouve dans une situation d'incertitude et au bout du désordre social. Il faut prendre des décisions déterminantes et, surtout, en ce qui concerne les (aux) besoins les plus basiques.
En rapport à la répartition de la nourriture, l'argument principal que R. Pithrier expose est que personne ne peut être accusé d'imprévoyance.
Il défend une répartition équitable des marchandises. À son avis, pour faire une répartition juste, on devrait partager la nourriture parmi les familles, en proportion du nombre de membres.
Malgré ses arguments, il y a des personnes qui pensent (opinent) de façon différente (à lui), comme par exemple, Mr. Bavier, qui dit qu'«il n'y a qu'à laisser faire le marché. Si les prix vont flamber, c'est un risque à prendre.» Mais Pithrier (leur) réfute leurs arguments en affirmant que cette proposition n'est pas tenable. «Ce serait la prime aux plus riches» -dit il.
D'autres, comme Ancel Bernet, le traitent de communiste. Et il se défend: «Il ne s'agit pas de communisme, mais de justice.»
Finalement, il a posé un exemple ou comparaison pour «enfoncer le clou», celui dont on devait faire les valises sans savoir la destination.

Voilà, en retournant à l'argument principal, tout le monde est d'accord: «On n'imaginait jamais que le village serait coupé du monde. Alors, si ce n'est pas de leur faute, il serait injuste de leur en faire payer les conséquences».

Développement un peu court mais bien écrit  14/20

lundi 7 mars 2016

Bernard Quiriny, Le village Évanoui

Relevez et développez les arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la nourriture. (p 39 à 44) 300 mots
Dans des circonstances spéciales, on doit (se doivent) prendre des mesures (réponses) spéciales ; c’est l'argument utilisé par Raphaël Pithrier devant (avant) la crise produite à Châtillon. Et à Châtillon sont arrivés (passé) des événements (très) extraordinaires, le reste du monde a disparu et cela veut dire qu’il n’y aura(it) désormais ni de communications, ni de(s) fournitures, ni toute autre chose qui pourrait venir de l’extérieur. Et par conséquent, des mesures singulières doivent(devraient) être prises ; comme le défend le maire: «Il ne faut donc pas seulement réfléchir à nos besoins immédiats, mais aussi au futur». Dans ce contexte, Raphaël Pithrier propose la répartition équitable des marchandises, de partager la nourriture entre(parmi) les familles, en proportion du nombre de membres. Cette proposition a été qualifiée de (comme) communiste, parce que cette mesure vise la distribution de nourriture parmi la population et donc de collectiviser les nécessités mais dans ce cas c’est une mesure nécessaire pour assurer l’alimentation de toutes les personne(é)s indépendamment de si il a(avait) plus ou moins de(s) marchandises. C’est une bonne réaction avant un problème qui nécessite une solution urgente, pour assurer une situation ponctuelle ; mais si cette situation continue on devrait (aurait de) disposer de plus d’initiatives pour reconstituer les stocks. Réellement cette décision a provoqué la contestation des personnes qui ont beaucoup de réserves chez eux (dans leurs maisons), c’est normal; mais la pire des injustices, c’est le fait de laisser la distribution de nourriture essentielle pour vivre au hasard. Il y a des moments où il est essentiel de prendre des décisions qui favorisent (bénéficient) l’intérêt général par rapport au (à le) particulier, et ce moment-là, selon Raphaël Pithrier c’est le bon moment. Sûrement, si nous nous trouvons dans la situation des personnes qui ont l’armoire pleine, nous aussi froncerons les sourcils, et pourtant le bien commun est bien au-dessus des droits personnels surtout lorsque surviennent des situations exceptionnelles qui menacent l'avenir de la communauté.
13/20
Faites un récit sur le concept de l’isolement tel qu’il est décrit dans le livre. Dans le livre écrit par Bernard Quiriny, Le village Évanoui, l’isolement a une importance fondamentale, en ce sens toute l’argumentation de cet écrit tourne autour de l’isolement. Certainement, le confinement de toute la population d’une région a-t-il des (unes) implications sérieuses comme nous avons pu le voir fréquemment pendant l’histoire. Mais Quiriny, parle de différents isolés(ats) à la marge du confinement, isolement géographique et physique; il parle d’autres ostracismes pas moins importants. L’écrivain relate comment il y a des personnes qui vivent toujours détoures du monde extérieur; parce qu'ils n’ont pas besoin de sortir pour vivre. C’est le(s) cas des gens qui ne nécessitent pas de grands espaces pour se sentir bien. Au contraire, (À l’envers) ils doivent habiter un petit espace qu'(i) ils peuvent contrôler pour se sentir en sécurité. Mais savoir qu’ils ont une limitation matérielle, cela (il) fait que les gens réagissent très différemment. Certains vivent encore comme avant, rien n’a (pas) changé pour eux (ils); leurs frontières n’ont pas changé donc leur(son) conception du monde (c’)est la même. Et pourtant, il y a d'autres personnes qui ne quittent jamais (e jamais ils quittent) la région, et maintenant elles se sentent dépassées parce qu’elles(ils) ne peuvent sortir; il est vraiment surprenant de voir comment des informations qui, en principe, ne doivent pas nous (nous avons pas d’)affecter peuvent changer nos vies. Dans le sens contraire, il y a les personnes qui toujours sont dehors et qui(e) désormais sont confinées dans la région de Châtillon. Il est étonnant de voir(e) comment des personnes comme Jérémie Mathieu peuvent se transformer et devenir indispensables pour la communauté. Évidemment pour la plupart des gens pour qui Châtillon n’était qu'(e) une petite partie de leur monde, ils se sont sentis (sentaient) désorientés et beaucoup ont souffert de dépression sévère. Aussi Bernard Quiriny a décrit des personnes qui(e) quand Chântillon n’avait pas de frontières (ils) vivaient toujours isolés, après l'(du) événement ils sont devenus des repères de la population. On peut dire qu’il y a beaucoup de formes d’isolement, autant que de personnes et leur situation personnelle ; mais le plus fort confinement c’est celui(le) que nous portons en nous-mêmes.
14/20
 

Présentation du maire Sylvestre Agnelet :
Sylvestre Agnelet, était le maire de Châtillon-en-Bierre, petite village de mille habitants situé au centre de la France. Il ne se serait jamais imaginé, quand il a (avait) été élu, l’implication que lui signifierait sa nomination. Angelet avait été élu maire(rie), sûrement pas depuis longtemps, et il était une personne ouverte et sensible; probablement (il) appartenait-il à un partie de gauche. Cette situation lui imprimait un caractère dialoguant et de proximité, très important pour sa (son) responsabilité. Après l'incident qui a eu lieu dans son village, il a joué un rôle clé entre (parmi) l’angoisse et l’euphorie : l’angoisse parce qu’il était le garant de tout ce qui(e) touche à sa(on) municipalité et l’euphorie pour être précisément la plus haute autorité, à ce moment-là (dans ce moment), du territoire communal. Mais la situation qui existe dans Châtillon(,) n’est pas normale et les faits montrent qu’il n'a ni l'expérience ni la capacité de contrôler cette situation. C’est vrai, que la situation, que les citoyens doivent vivre, s’allonge dans le temps mais le maire Angelet n’a(vait) pas été capable (de) d'organiser fermement la nouvelle vie pour les citoyens du village. C’est pour cela(ça), que certains citoyens se sont rebellés contre l'autorité et ont procédé à un schisme dans le petit village. Ces faits ont produit une séparation réelle qui est seulement résolue avec la mort du fermier Verviers. Alors, Angelet (c’)est uniquement l’image de l‘autorité, mais il n’est pas le référent de la population; il n'a (pas) apporté aux habitants de Chatillon ni l’illusion, ni les projets pour construire une nouvelle forme de vivre pour tous les citoyens (de Châtillon) en fonction de la nouvelle situation à laquelle ils devront faire face. Et pourtant, Angelet n’a(i) pas abandonné son obligation il avait appris que le pouvoir bien compris(,) n’est pas autre chose qu'(e) une obligation de service aux autres.

13/20

L’expérience libertaire de la ferme Verviers
Dans le livre Le Village Evanoui de Bernard Quiriny, il décrit une expérience libertaire dans les (aux) fermes de Jean-Claude Verviers et Paul Schmitz. Mais cette initiative libertaire a son origine dans une décision totalement antagoniste, le refus de (à) partager l'utilisation de sa ferme et aussi ses réserves avec la population de Châtillon, qu’ils considèrent comme un vol. L'un comme l'autre pensent que leurs terres, leurs granges et tout ce qu’ils y ont dedans (il) leur appartient et par conséquent qu'ils sont les seuls qui peuvent décider ce qui peut être fait sur leur (son)  propriété. Ils sont contre toute forme de communisme ; leurs réserves ils les ont générées eux (ils) avec leur travail et donc ils sont les uniques propriétaires et pourtant ils ne refusent pas d’aider (a) qui (lui) le leur demande mais ils décideront comment, qui et quand l'aide. Par contre ils ont décidé de mettre en commun leurs fermes, de les fermer, privatiser le chemin communal qui(e) les séparait; pour faire une exploitation plus compétitive. Ils ont recherché des machines pour faire de la farine, des chevaux et d'autres choses ; ils ont recruté une douzaine de travailleurs du village donc ils ne se méfiaient pas des immigres et petit à petit ils ont transformé la ferme en une véritable exploitation artisanale. C’est vrai que l’entreprise a été une révolution pour la commune, ce qui est la solution recherchée pour assurer l'avenir de la population du canton et qui a impliqué l'embauche de nombreux travailleurs mais il n’est pas la meilleure solution si nous parlons de démocratie et d'égalité. Leur (Son) entreprise a été fomentée avec la personne de Verviers (à qui) qu'ils considèrent comme un demi-dieu, et qu'(à qui) écoutent aveuglément; les travailleurs sont traités comme au Moyen Age, les femmes sont traitées comme des esclaves sexuelles et la société ne se soucie que de ses membres. Vraiment cette expérience n’est pas autre chose qu’un moyen de protéger des actifs de ses promoteurs, tout le contraire d’une procédé libertaire.

15/20

vendredi 4 mars 2016

Qu'est-ce qu'on bon livre?

   Qu'est-ce qu'un bon livre?

   C'est une question à laquelle il est difficile de(à) répondre car elle est subjective et personnelle.
   Il y a des gens qui croient que les meilleurs livres sont les plus vendus même s'ils sont mal écrits.
   Néanmoins, il y en a d'autres qui pensent qu'un bon livre doit être bien écrit.
   À mon avis, un bon livre est celui qui ne me laisse pas indifférente, que j'apprécie (qui me fait jouir NON jouir = follar) comme lectrice indépendamment de comment il est(soit) écrit.
   D'abord, quand je lis un livre je veux m'amuser, me distraire et passer un bon moment (temps).
   De plus, j'aime les livres qui sont capables de (me) faire naître en moi des émotions, de me faire rêver, réfléchir et me tenir en haleine jusqu'à la fin.
   En premier lieu, un bon livre c'est le livre qui nous décrit une histoire qui nous plonge dans un monde nouveau et nous fait exciter l'imagination. Par exemple, les trois tomes du(de "le) Seigneur des Anneaux" nous plonge dans un monde nouveau et surnaturel où l'histoire a un sens car elle nous fait une magnifique réflexion littéraire sur le Bien et le Mal.
   Par contre, il y a certain(e)s ouvrages où le plus important ce n'est pas l'histoire. Ils nous permettent de nous plonger dans la peau du personnage, ce qui nous faire dévorer le livre et nous n'avons pas envie de les finir.
   Bref, chaque personne a une opinion qui sera différente des autres personnes à l'heure de juger la qualité du livre car elle dépend des caractéristiques du lecteur ou lectrice (âge, sexe, éducation, moeurs, culture...)


Bon travail Maria 14/20