dimanche 13 mars 2016

ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"


Relevez et développez les arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la nourriture. (p 39-44)

Le village se trouve dans une situation d'incertitude et au bout du désordre social. Il faut prendre des décisions déterminantes et, surtout, en ce qui concerne les (aux) besoins les plus basiques.
En rapport à la répartition de la nourriture, l'argument principal que R. Pithrier expose est que personne ne peut être accusé d'imprévoyance.
Il défend une répartition équitable des marchandises. À son avis, pour faire une répartition juste, on devrait partager la nourriture parmi les familles, en proportion du nombre de membres.
Malgré ses arguments, il y a des personnes qui pensent (opinent) de façon différente (à lui), comme par exemple, Mr. Bavier, qui dit qu'«il n'y a qu'à laisser faire le marché. Si les prix vont flamber, c'est un risque à prendre.» Mais Pithrier (leur) réfute leurs arguments en affirmant que cette proposition n'est pas tenable. «Ce serait la prime aux plus riches» -dit il.
D'autres, comme Ancel Bernet, le traitent de communiste. Et il se défend: «Il ne s'agit pas de communisme, mais de justice.»
Finalement, il a posé un exemple ou comparaison pour «enfoncer le clou», celui dont on devait faire les valises sans savoir la destination.

Voilà, en retournant à l'argument principal, tout le monde est d'accord: «On n'imaginait jamais que le village serait coupé du monde. Alors, si ce n'est pas de leur faute, il serait injuste de leur en faire payer les conséquences».

Développement un peu court mais bien écrit  14/20

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