Relevez et développez les
arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la
nourriture. (p 39-44)
Le village se trouve dans une
situation d'incertitude et au bout du désordre social. Il faut
prendre des décisions déterminantes et, surtout, en ce qui concerne les (aux) besoins les plus basiques.
En rapport à la répartition
de la nourriture, l'argument principal que R. Pithrier expose est que
personne ne peut être accusé d'imprévoyance.
Il défend une répartition
équitable des marchandises. À son avis, pour faire une répartition
juste, on devrait partager la nourriture parmi les familles, en
proportion du nombre de membres.
Malgré ses arguments, il y a
des personnes qui pensent (opinent) de façon différente (à lui), comme par
exemple, Mr. Bavier, qui dit qu'«il n'y a qu'à laisser faire le
marché. Si les prix vont flamber, c'est un risque à prendre.» Mais
Pithrier (leur) réfute leurs arguments en affirmant que cette proposition n'est pas
tenable. «Ce serait la prime aux plus riches» -dit il.
D'autres, comme Ancel Bernet,
le traitent de communiste. Et il se défend: «Il ne s'agit pas de
communisme, mais de justice.»
Finalement, il a posé un
exemple ou comparaison pour «enfoncer le clou», celui dont on
devait faire les valises sans savoir la destination.
Voilà,
en retournant à l'argument principal, tout le monde est d'accord:
«On n'imaginait jamais que le village serait coupé du
monde. Alors, si ce n'est pas de leur faute, il serait injuste de
leur en faire payer les conséquences».
Développement un peu court mais bien écrit 14/20
Développement un peu court mais bien écrit 14/20
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