mardi 12 janvier 2016

Activités sur Mémé de Philippe Torreton



Réécrivez comme un récit journalistique qui présenterait l’alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant dans les pages 69, 70 et deux premières lignes p 71.


Aujourd’hui nous vivons dans une société de consommation dans laquelle les consommateurs sont incités à dépenser des biens constamment. Pas seulement des aliments, mais aussi des électroménager(ère)s, des ampoules, des jouets, etc., qui semblent avoir une vie très courte. Mais ça n’a pas toujours été ainsi. Il fut un temps où rien n’était jamais gâché. Pendant la plus grande partie (plupart) du XXème siècle on profitait de tout, aussi bien dans la cuisine qu’à la campagne.


Avec un poulet, par exemple, une famille mangeait trois jours, cuisiné ou assaisonné(e) à chaque fois d’une façon différente. On connaissait bien les trucs de ce qu’on appelle la «cuisine maison», celle d’autrefois, avec laquelle on profitait d(l)es restes pour cuisiner(sortir) un nouveau plat (une nouvelle assiette). On employait toutes les partiess des animaux, même la graisse de porc, qu'on utilisait comme pâte à tartiner. Le pain dur était aussi très habituel : on le mangeait mou, humide et élastique avec du beurre ou du(de la) lait, mais on ne le jetait jamais.


On parle d’une époque de carences et de pénuries, d’une époque où les gens gardaient tout, les bouteilles, les bocaux, les boîtes, etc., car tout pouvait resservir un jour. En effet, les maisons de campagne d’autrefois recyclaient tout ce dont les gens de la ville ne voulaient plus : meubles, outils de cuisine, etc. Tout avait une deuxième opportunité, et une troisième et une quatrième... On gardait même l’eau de vaisselle, à une époque où la conscience écologique n’était pas une mode, mais un vrai(s) besoin.


Bon travail   16/20

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