Réécrivez comme un récit journalistique qui
présenterait l’alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant dans les pages 69, 70 et deux premières lignes p
71.
Aujourd’hui nous
vivons dans une société de consommation dans laquelle les consommateurs sont
incités à dépenser des biens constamment. Pas seulement des aliments, mais
aussi des électroménager(ère)s, des ampoules, des jouets, etc., qui semblent avoir une
vie très courte. Mais ça n’a pas toujours été ainsi. Il fut un temps où rien n’était
jamais gâché. Pendant la plus grande partie (plupart) du XXème siècle on profitait de tout, aussi bien
dans la cuisine qu’à la campagne.
Avec un poulet,
par exemple, une famille mangeait trois jours, cuisiné ou assaisonné(e) à chaque
fois d’une façon différente. On connaissait bien les trucs de ce qu’on appelle la «cuisine
maison», celle d’autrefois, avec laquelle on profitait d(l)es restes pour cuisiner(sortir) un nouveau plat (une nouvelle
assiette). On employait toutes les partiess des animaux, même la graisse de porc, qu'on utilisait comme pâte à tartiner. Le pain dur était aussi très habituel :
on le mangeait mou, humide et élastique avec du beurre ou du(de la) lait, mais on
ne le jetait jamais.
On parle d’une
époque de carences et de pénuries, d’une époque où les gens gardaient tout, les
bouteilles, les bocaux, les boîtes, etc., car tout pouvait resservir un jour.
En effet, les maisons de campagne d’autrefois recyclaient tout ce dont les gens
de la ville ne voulaient plus : meubles, outils de cuisine, etc. Tout
avait une deuxième opportunité, et une troisième et une quatrième... On gardait
même l’eau de vaisselle, à une époque où la conscience écologique n’était pas une mode, mais un vrai(s) besoin.
Bon travail 16/20
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