Ode à mon
grand-père
Le premier souvenir
que j´ai de toi c´est quand mes parent nous amenaient (portaient a) mon frère et (a) moi à
Pollença pour (à) dormir le(s) samedi(s) pour qu'(e) ils puissent (pouvaient) sortir (à) dîner dans un
restaurant.
Toi tu me lisais
le même livre chaque semaine, les contes de Popeye, avec ta patience
caractéristique, ça c´est le seul livre que j´ai chez moi après l'avoir récupéré de ta
maison.
J´aimais
énormément ces histoires de la guerre civile espagnole que tu me contais, surtout
l´anecdote de ton aventure de Madrid à Saragosse sur ta moto et ton séjour dans le bureau du capitaine.
(Tu que) Quand(t) j´ai
grandi, je me suis rendu compte que tu
me contais seulement les histoires amusantes du temps que tu avais passé là-bas, aucune histoire triste ou macabre,
et le fait(e) que tu ne m´aies(avais) jamais dit de quel côté tu avais lutté, ça
montre ta bonté et cela m´a enseigné que pardonner est la manière d´affronter certains (selon
quel(le)s) problèmes.
J´admire ta bonté ; je crois que tu étais la meilleure personne (la plus bonne) que j´ai jamais connue.
J´aimais observer le respect avec lequel mes oncles, tantes et cousins et
parents te traitaient, ça m´a beaucoup touché . J´aimerais que mes enfants et petits-enfants (grand-enfants) me traitent(aient ) avec le même respect, et qu’ils puissent (pourraient) avoir un
souvenir de moi, la moitié de ce que ( duquel) j´ai de toi.
12/20
Très beua texte Alejandro mais attention aux erreurs de langue (subjonctif, accents, relatifs)
12/20
Très beua texte Alejandro mais attention aux erreurs de langue (subjonctif, accents, relatifs)
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