lundi 11 janvier 2016

Ode à mon grand-père

Ode à mon grand-père

Le premier souvenir que j´ai de toi c´est quand mes parent nous amenaient (portaient a) mon frère et (a) moi à Pollença pour (à) dormir le(s) samedi(s)  pour qu'(e) ils puissent (pouvaient) sortir (à) dîner dans un restaurant.
Toi tu me lisais le même livre chaque semaine, les contes de Popeye, avec ta patience caractéristique, ça c´est le seul livre que j´ai chez moi après l'avoir récupéré de ta maison.
J´aimais énormément ces histoires de la guerre civile espagnole que tu me contais, surtout l´anecdote de ton aventure de Madrid à Saragosse sur ta moto  et ton séjour dans le bureau du capitaine.
(Tu que) Quand(t) j´ai grandi, je me suis rendu compte que tu me contais seulement les histoires amusantes du temps que tu avais passé là-bas, aucune histoire triste ou macabre,  et le fait(e) que tu ne m´aies(avais) jamais dit de quel côté tu avais lutté, ça montre ta bonté et cela m´a enseigné que pardonner est la manière d´affronter certains (selon quel(le)s) problèmes.
J´admire ta bonté ; je crois que tu étais la meilleure personne (la plus bonne) que j´ai jamais connue

J´aimais observer le respect avec lequel mes oncles, tantes et cousins et parents te traitaient, ça m´a beaucoup touché . J´aimerais que mes enfants et petits-enfants (grand-enfants) me traitent(aient ) avec le même respect, et qu’ils puissent (pourraient) avoir un souvenir de moi, la moitié de ce que ( duquel) j´ai de toi.

12/20

Très beua texte Alejandro mais attention aux erreurs de langue (subjonctif, accents, relatifs)

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