vendredi 14 octobre 2016

Programme premier quadrimestre



 Voici notre programme pour le premier quadrimestre :

·         2,5 dossiers du manuel Edito B2 pendant cette période.

·         Évaluation initiale : Mois d’octobre 16

Expression écrite : vendredi 14
Maîtrise de la langue : lundi 17
Compréhension écrite : lundi 24
Expression orale évaluée en  classe

·         Lecture du livre La pièce montée de Blandine Le Callet.
Le travail personnel sur cette lecture (à faire au choix dans la liste proposée) devra être rendu avant le lundi 12 décembre.

·         Quatre rédactions (200/250 mots). Sujets et dates de remise :

Ø  Vos collègues sont de plus en plus nombreux à demander l’égalité totale de traitement entre les hommes et les femmes dans votre entreprise. Vous êtes le(a) délégué€ du personnel et vous avez eu une réunion préalable avec les employés où ils ont soulevés les sujets suivants d’inégalité (le recrutement, les salaires, les horaires, le déroulement de carrière). Vous écrivez à la direction pour relayer les avis de vos collègues et pour entamer le dialogue.
A faire en classe le 14 octobre


Ø  Exercice Nº A4 p 27 du livre de l’élève.
Date de remise maximum : Avant le lundi 14 novembre

Ø  Travail sur le livre de lecture La pièce montée de Blandine Le Callet Date de remise maximum : Avant le lundi 12 décembre

Ø  L’irruption de la vie privée dans le champ médiatique est actuellement général : la presse « people », l’actualité politique, l’image, la starisation…Les faits et gestes des personnages publics semblent susciter l’intérêt du public.
Répondez à la question : « Que pensez-vous de la surexposition médiatique de la sphère privée ? » Rédigez un texte construit et cohérent. Il s’agit ici de répondre à une question, donc de rédiger une réponse claire et argumentée. Vous pouvez : 
- développer votre point de vue,
- le justifier en l’illustrant d’exemples, éventuellement de citations,
Date de remise maximum : Avant le lundi 16 janvier

mardi 11 octobre 2016

Opinion Etrangers
A votre avis, quelle image les étrangers ont-ils de votre pays? Correspond-elle à la réalité?

D'abord, je pens qu'il y a encore beaucoup d'étrangers qui ont des images tres stéréotypées,  irreelles et meme negativ(f)es d'Espagne malheureusement comme par exemple :
Que l'Espagne est l'Andalousie, c'est a dire, qu'(e) en Espagne tout le monde aime ou qu'il(e) existe seulement le flamenco, les taureaux et le vin.
Que certaines zones touristiques espagnoles sont une "vrai paroisse" pour les "fetes".
Que les Espagnol(e)s sont faineants, irresponsables et qu'ils preferent les fetes, la sieste ou n'importe quoi a leur travail.
Que les Espagnol(e)s n'aiment pas les etrangers dont ils se méfient(sont mefiants).

Mais, par contre et heureusement, a ma connaissance il y a des etrangers qui ont une image plus reelle, ample et positive d'Espagne et d'autres qui ont change leur image de mon pays, parce qu'(e) ils ont su :
Que l'Espagne est une nation riche par ses differentes cultures, paysages... surtout pour les gens qui aiment le sport et la nature.
Que les Espagnol(e)s sont des personnes travailleuses (labo(u)rieuses), responsables et accueillantes.

Je ne te metspas de note pour l'instant car je ne sais pas si l'absence d'accents est due à un problème techniqueou pas.Tu mele diras.


Rédaction

À mon avis, la plupart des étrangers a une bonne image de mon pays car

quand ils vont en(de) vacances en Espagne, ils y trouvent qu´il fait du soleil et

que les Espagnols sont très sympathiques et aimables. En plus, pendant leurs

vacances, ils y trouvent une tranquillité qu´ils n´ont pas dans leur(s) pays.

Je pense que les étrangers sont étonnés de la grande sociabilité des Espagnols qui

(se) passent la plupart de leur temps (à contacter) avec leurs amis dans les bars ou les

discothèques. D´ailleurs, ils pensent que les Espagnols préfèrent (faire de) la  vie sociale que

rester seuls chez(-)eux.

Par ailleurs, il y a des étrangers qui ont une idée négative de l´Espagne car ils

considèrent que l´Espagne est un pays qui montre une société touchée par la pauvreté

et qui ne possède pas autant de moyens technologiques que les autres pays européens.afin

de créér un monde plus développé et moderne.

Bon travail. Finalement,  les accents sont là. 14/20

lundi 10 octobre 2016


Quelle image les étrangers ont-ils de votre pays? Correspond-elle à la réalité?

           Selon le pays où tu nais, les autres se feront une idée de toi, mais sûrement cette idée ne sera pas la correcte.                     

Il y a beaucoup de stéréotypes et chaque pays a les siens (s).

Sur les Espagnols existent beaucoup de clichés et certains ne sont pas exact(e)s.

Une des croyances les plus étendues, c´est qu'on n`aime pas travailler. On préfère faire la fête. D`un(e) côté, il est vrai(s) que notre culture méditerranéenne nous permet de passer plus de temps dans la rue. Mais d`un autre côté on dit que les Espagnols sont parmi les (un des) Européens qui travaillent le plus d`heures par an(née).

Les étrangers pensent aussi que tous les Espagnols adorent danser et chanter flamenco. À mon avis cela dépendra de chacun et il y a beaucoup de gens qui n´aiment pas ce type de musique.

On peut dire que chaque fois il y a moins de stéréotypes grâce au fait(à) que les gens voyagent plus et connaissent mieux les pays qu´ils visitent.

Bon travail 15/20

Rédaction: Quelle image les étrangers ont-ils de mon pays? Correspond-elle à la réalité?


A mon avis l’image que les étrangers ont de l’Espagne est assez variée. Elle dépend des connaissances réelles qu’ils ont de notre pays. Mais a priori, nombreux croyent (x) que l’Espagne est le pays de la siesta, du flamenco, des taureaux, du soleil, de la paella, la sangria et de la Fiesta. Ils croient aussi que nous sommes talentueux dans (en) certains sports : que nous avons de(s) bons joueurs de football, de(s) bons cyclistes et joueurs de tennis et de(s) bons pilotes d'automobiles (en automobilisme) et de motos. Certains trouvent que nous avons beaucoup avancé depuis (les derniers) 30 ans.
Peu(x) savent que l’Espagne est diverse et qu'(e) il y a 4 langues officielles et 17 communautés autonomes bien différentes les unes des autres. Il est vrai qu’il y a a des a priori propres de l’histoire qui sont bien enracinées. Grosso modo je pense que l’image que les étrangers ont de l’Espagne est assez juste.

17/20

L'opinion des étrangers

Je pense que les étrangers qui sont venus à Majorque sont de deux classes : d’un côté, il y a ceux qui sont venus d’un autre pays d’Europe parce que la climatologie ici est plus douce et chaude, plus méditerranéenne, que leur pays de naissance en Europe du nord, et, d’un autre côté, il y a les étrangers qui sont venus des pays d’Europe de l’est ou d’Amérique centrale ou du sud à la recherche d’une autre occasion pour travailler. Avant je pensais que les premiers(ères) croyaient que nous ne pourrions pas vivre sans eux et que leurs coutumes et leur culture était meilleurs que les nôtres, et que les seconds voulaient seulement gagner de l’argent pour l’envoyer à leur pays natal (de naissance). Mais, maintenant, je pense que toutes ces manières de voir le monde où ils vivent conforment la réalité de mon pays et le temps dira ce que nous serons dans le futur.

Ton expression estcorrecte mais attention, tu as fait un hors sujet. On te demandait quelle est l'opinion des étrangers sur ton pays, pas ton opinion sur les étrangers qui vivent dans ton pays.

13/20 

dimanche 9 octobre 2016

Rédaction

À votre avis, quelle image les étrangers ont-ils de votre pays ? Correspond-elle à la réalité ?

À mon avis l´image que les étrangers ont de nous dépend du niveau culturel  qu’ils ont et aussi d´ou ils nous regardent.

D´une part,  s’ils nous regardent du sud, surtout de l´Afrique,  ils nous voient comme l´entrée dans l´Europe, ils nous imaginent comme un pays sûr où on (se) peut vivre tranquille.

D´autre part s´ils nous regardent du nord ou du centre de l´Europe ils nous voient comme des fainéant(e)s qui ne veulent pas travailler, le pays de la «siesta «   ou de « mañana », une société sans ambitions ni buts.


Mais à mes yeux, l´Espagne, mon Espagne, parce qu´il y a (des) différentes Espagnes,  est un pays de (avec) liberté où on peut (veule) travailler et prospérer, c´est possible, un pays moderne et sûr mais avec un (quelque) problème archaïque comme la corruption. 

Bon travail  14/20


Rédaction étrangers

Dans le monde entier, les gens ont des opinions différentes sur chaque pays du monde, dans le cas de l’Espagne, je pense que les étrangers ont une mauvaise idée de (sur) notre pays.

Ils pensent que les Espagnols nous préférons la fête avant (que) le travail(le), qu'(e) on fait toujours la sieste et que nous sommes tout le temps très amicaux(l). Cette opinion, selon moi, est fausse.

Premièrement, tous les espagnols ne sont pas très amicaux(l) comme les gens le disent, c’est vrai que nous sommes gentils, mais il y en a certains qui ont un ma(o)uvais caractère comme partout dans le (au) monde. Deuxièmement, le stéréot(h)ype de la fête est faux, parce que c'est vrai qu'(e) on aime sortir, mais ça n'(c’)est pas seulement en (a l’)Espagne; ici, on travaille aussi dur que le reste des gens.

C’est pour ça que, à mon avis, les étrangers n'ont pas une bonne vision de (sur) notre réalité et de notre façon (forme) de vivre.


13,5/20

samedi 8 octobre 2016

Rédaction

À  votre avis, quelle image les étrangers ont-ils de votre pays ?

L’Espagne est un lieu que les gens d’autres pays aiment bien visiter, mais ils ont une image très
 stéréotypée de notre pays parce qu’il y a beaucoup de clichés(topiques) qui circulent et qui ne sont pas
 totalement réels (bien que certains le(en) soient ).

 D’abord ils pensent que nous ne travaillons pas aussi dur(e) que  les gens de leur(s) pays, que nous
 sommes paresseux(très  vagues) et que nous aimons plus faire la fête et dormir la sieste que travailler.

Les Espagnols, en particulier ceux du sud, ainsi (tels) que les Italiens  et leshabitants de toute (la région de) la Méditerranée
 ont un caractère plus ouvert et plus joyeux que les gens(t) du nord de l’Europe mais je crois qu’il s’agit
 d’une autre  manière de voir la vie, ici on travaille pour vivre, (pas) on ne vit pas pour travailler.

Notre pays est beaucoup mieux que les étrangers ne lepensent, mais c’est encore beaucoup plus de ce que
 nous croyons.

13,5/20





jeudi 12 mai 2016

Randonnée 14 mai

    Bonjour,

Samedi 14 mai on fera une excursion de Soller à Deyá à pied. Si vous voulez venir nous avons un rendez- vous  samedi à 8,45 h . dans le parking d' Anthonys  à Inca, après à 9,10h à Festival park  devant le magasin de meubles et à 9,30 h devant le restauran Ca'n Lluis à Soller pour commencer le randonnée, qui a une durée de 4-5 h. Après nous reviendrons en bus de Deyá à Soller. Allos-y!!
À samedi

mercredi 4 mai 2016

Avis au professeur

Albanne, aujourd´hui je ne pourrais pas venir au cours .Je  viens de laisser
l´hôpital car ma mère a été operée d´une jambe et elle est faible maintenant.
En plus, demain le 5 d'octobre je commençerai à travailler et quelques fois
je finirai de bosser jusqu´à le soir. Mais peut- être que je puisse venir quelque
jour si je ne  travaille pas .

De même, je voudrais savoir si je dois récupérer quelque partie du cours au juin ou non.
Merci beaucoup.

RANDO POUR LA CULTURE

Pour connaître cette belle initiative européenne, je vous invite à visiter leur site.

Pour ceux qui n'auraient pas pu venir en classe mais qui voudraient participer à notre excursion, en voici les détails importants :

Excursion à pied de Sóller à Deyà le SAMEDI 14 MAI

Rendez-vous à 9H30 au parking du restaurant Can Lluis de Sóller (juste après la station-service).

Il faut porter des chaussures de sport et aussi son pique-nique, nous déjeunerons en route.

Retour ensuite de Deyà à Sóller en bus de ligne.

lundi 2 mai 2016

Lundi 2 mai

Bonsoir á tous,

On a fait,
Les pages 78 et 79 du livre, Nous avons parlé des thèmes décrits dans ces pages.

À faire,

Du cahier d'exercices:
- Page 65 exer, 6 et le lexique.
- Page 66 exer, 1,2,et 3.

Bonsoir et à mercredi.


dimanche 1 mai 2016

Le village évanoui

Dresser une fiche chronologique des conséquences de l'isolement classées par catégories (économiques, sociologiques, pratiques, bancaires...)

Conséquences pratiques

Les voitures tombent en panne à (au bout de) cinq kilomètres du village.

Les téléphones, les ordinateurs, Internet  arrêtent de fonctionner pour (se) communiquer avec l'extérieur (dehors).

On ne peut pas abandonner la ville et impossibilité que personne n'y entre : le distributeur de journ(e)aux, le livreur de la supérétte, l'infirmière, le facteur...

Personne ne peut (pas) aller travailler en dehors de Câtillon et les enfants ne peuvent pas aller à l'école.

Ils se trouvent (restent) sans entreprise de pompes funèbres, sans structure officielle de justice.

Conséquences économiques

Il n'y a plus d'approvisionnement de marchandises et de(u) pain.

On doit prioriser l'utilisation du fuel pour le réserver (dédier) à l'agriculture.On visite toutes les fermes pour réquisitionner de (organiser) la nourriture pour le (du) village et mettre des volontaires à travailler et faire rendre à la terre le plus de fruits possibles.

Ils doivent apprendre l'autarcie, recentrer leur (sa) consommation sur les produits du cru. Ils se sont mis à cultiver.On recycle et on répare (repaire) tout. Les textiles et les objets qui(e) hier partaient à la poubelle prennent à(au) présent une valeur immense.

Les travaux manuels  prennent beaucoup d'importance face aux intellectuels.

M.  Duval crée une distillerie.

Conséquences bancaires

Les habitants vont à la banque pour (au banc à) retirer leur argent.

La réserve des coffres a(vait) fondu.

Le distributeur automatique de bi(t)llets est (était) vide.

On ne peut (pouvait) pas faire d'(des) operations interbancaires.

(Ni entrait ni sortait aucun centime du canton.) Aucun centime n'entre ni ne sort du canton. On ne peut (pouvait) toucher ni l'argent des salaires ni des prestations sociales.

Conséquences sociologiques

La surprise,  la(e) stupeur et après la nervosité (le nerveur) et la peur des habitants.

La nouvelle manière de s'organiser pour pouvoir survivre  des habitants avec le maire et le conseil municipal pour delimiter le problème,  trouver des solutions, prendre des décisions sur la nourriture , les urgences, les difficultés médicales, l'école pour les enfants, le rationnement , la coordination et l'organisation de la production agricole. IL AURAIT MIEUX FALLU FAIRE DES PHRASES ICI.

L'inclusion des maires des communes environnantes situées à l'intérieur du périmètre dans le conseil municipal.

Les principes fondamentaux qui sont remis en question (se mettent en jeu) : la liberté individuelle, de commerce, la justice, la solidarité, l'instinct de survie et la protection des sien(ne)s.

Une nouvelle forme de relation sociale: les cafès sont (étaient) bondés, l'église est pleine.

Le besoin  des Châtillonnais de parcourir le canton, d'explorer leur environnement qu'ils ne connaissaient plus (pas).

Les paysans sont considérés désormais  comme des messies. L'avenir du village est (était) dans leurs champs.

L'orgueuil de se débrouiller seuls en recourant le moins possible  à leurs coupons de rationnement.

Le chômage était un problème, certains Châtillonnais s'offraient aux fermes en échange d'un peu de nourriture, un autre organisait un système scolaire, d'autres se trouvaient désorientés.

L'apparition (de apparaître) (La parution, de paraître, par exemple la parution d'un livre) des groupes de sauvageons qui battaient la campagne et se réunissaient dans les fermes à l'abandon.

Les nouvelles relations entre les hommes et les femmes célibataires pour les choses du coeur et du sexe.

Les familles se reagroupaient pour partager le chauffage.

Le maire transforma la salle communale en centre d'accueil pour les habitants privés de chauffage.

L'expédition organisée pour explorer une sortie du village  après un hiver(n) dur.

Le refus (La négation) de Jean-Claude Verviers de (à) contribuer à la nourriture des habitants moins favorisés et la déclaration d'indépendance du ranch(e).Il recrute les meilleurs (mieux) travailleurs de la ville et après des femmes pour son pla(i)n de natalité et laisse le village sans les personnes les plus précieuses(x). Deux communautés se formèrent à l'intérieur du canton et Verviers devi(e)nt un leader  capable d'avoir un projet pour l'avenir, même pour leChâtillonnais de l'autre coté qui écoutent toutes ses opinions. Châtillon se rapprochait d'une nouvelle organisation sociale, de type semi-féodal avec un seigneur obscur vivant dans son ranch et une population fascinée.

Le procès populaire sans justice officielle contre Navolli et la peine capitale.

Le père Delapierre reçoit  des demandes d'ordenations des jeunes .

La naissance des cultes nouveaux: le culte au soleil.

La multiplication des cas de dépression, des crises d'angoisse et de l'alcoolisme.

Inauguration d'un monastère et l'isolement des nouveaux jeunes religieux.

Pendant (Depuis) deux ans les Châtillonnais prennent toutes les libertés avec le droit de proprieté.

La mort de Verviers et la fin du ranch faute d'un leader capable de continuer le projet de son fondateur.

Les ex- ranchers retrouvent un village décati, sale, fatigué.

Une sorte de dépression généralisée s'empara de Châtillon. Ils ne trouvaient pas le sens de continuer, ils se sentaient sous (un) séquestre et on abandonnent à la dégradation du village. la population diminuait à la moitié.?

Finalement on trouve un passage et devant la possibilité de sortir sans savoir si on pour(d)ra revenir (retourner)  les habitants de Châtillon ont des réactions diverses de telle manière qu'on crée(nt) deux factions les feuilles volantes (familles en partance) et les racines( hostiles à l'exil).

Et finalement la lutte du père Delapierre qui décide de partir avec une arme dans sa poche.

14/20 Bon travail de recherche et de synthèse.










Le village évanoui

Quelles sont les théories mises en avant par les habitants pour expliquer ce phénomène?

Les théories qui expliquent ce phénomène du point de vue des habitants de Châtillon sont diverses :

- Une tempête magnétique, qui expliquerait à la fois le déreglement des moteurs et les dérangements du téléphone.

- Le camion-citerne qui la veille (que la vieille) avait traversé le centre du village et qui contiendrait (porterait) des produits dangereux et qui aurait (qu'il avait) laissé s'échapper des gaz  responsables du désordre actuel.

- Les jeunes suggerèrent qu'il s'agissait d'un test grandeur nature organisé par le gouvernement ou par l'armée, pour évaluer la capacité des Français à faire face aux catastrophes.

- Une invention d'un animateur de télévision.

- Les(a) prémisses d'une attaque venue de l'étranger.

- L'annonce d'autres calamités.

- Les Châtillonais ont commis une faute qu'ils paient actuellement (au présent). Un châtiment de Dieu.

13/20

mardi 26 avril 2016

Lundi 25 avril

Bonsoir à tous,
 Hier, on a fait le texte à trous de Milan, aussi on va parler du voyage et des expériences que Jaime Serra a vecu cet hiver, et en plus on va parler de l'excursion de fin de cours qui se fera samedi 14 mai. Il s'agit d'une randonnée de Soller jusqu'à Deia.À cause de cela lundi 9 mai il n'y aura pas du cours
 À demain

jeudi 14 avril 2016

mercredi 13 avril



Bonjour mes collègues,
Hier, on a commencé le cours par la page 76, pour pratiquer la lecture.
D'abord on a lu le texte d'Auroville et on a posé des questions sur le vocabulaire qu'on ne connaissait pas. Puis on a fait l'activité 1 de la page 77. On a suivi avec ce même sujet en regardant un vidéo à Youtube: «Auroville une expérience remarquable». À la fin de ce vidéo, on en a parlé et on a profité pour faire un peu d'expression orale.

Devoirs:
Il faut faire les pages 80 et 81 du livre COMPRÉHENSION DE L'ÉCRIT (Toutes les deux pages pour rendre à la fin du mois).

Bon week-end et à lundi!

mardi 12 avril 2016

Lundi 11 avril



Bonsoir,

Aujourd'hui, on a lu le texte de la page 74 du livre et après on a fait les activités 2, 3 et 4 de la même page pour apprendre à faire un développement descriptif, avec l’aide de l’encadré page 75.

Après, on a suivi avec la lecture de la page 76.

Pour le prochain jour, il faut faire les activités suivantes du cahier d’exercices:
page 63: activité 1
page 64: activités 2, 3, 4 et 5.

Albane nous a rendu aussi un texte à trous: «Mexico, l’eau devient une denrée rare». Nous devons le faire pour lundi prochain.

À mercredi.

vendredi 8 avril 2016

Vendredi 8 avril

Bonsoir,

On a fait:

-La page 72 du livre "Imaginer la Ville".
-La page 73 " Les tours".
-Les exercices qui sont dans le marge droite de la page 73.
.La compréhension orale de la même page.

À faire:

-Du cahier d' apprentissage , page 57 ,l' exercice  5  et de la page 59 les exercices 2,3 et 4. l'exercice 3 on doit faire dans une feuille pour le remettre à Albane, celui qui s'agit des arguments pour et contre la vaccination contre la grippe.

Bon week.end à tous. À lundi
                                               

jeudi 7 avril 2016

Lundi 4 et Mercredi 6 avril

Bonjour à tous,

Lundi 4 avril on a corrigé le texte de La Particule en mettand les verbes qui étaient à l'infinitif dans le temps correspondant et après on a fait une expression orale à propos de l'obésité et la nourriture "bio".

Mercredi 6 avril on a lu la pag 70 du livre et on a fait les exercices 1 et 3 ( a et b).On a aussi lu le vocabulaire des sciences de la pag. 71, après nous avons fait une compréhension orale, celle de la pag 71 du livre.

Nous avons  parlé de notre avenir comme des élèves d' avancé 2.

Attention!!!! Vendredi prochain il y aura du cours à l'heure et à la salle d' habitude.

À demain , bonne journée

lundi 21 mars 2016

Sacs pour les réfugiés



Bonjour, Albane,

Est-ce que tu vas apporter des sacs pour les réfugiés aujourd’hui ? Je voudrais en parrainer un. Je voulais te la demander la semaine dernière, mais je l’ai oublié.

Mercie !

mercredi 16 mars 2016

assistance à classe

Bonjour Albane. Aujourd'hui je ne peux pas assister à classe parce que j'ai évaluations.

dimanche 13 mars 2016

ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"



Relevez dans le livre les effets et différentes étapes de la sécession de la ferme Verviers.

Jean-Claude Verviers avait construit peu à peu une ferme qui comptait, au moment où le phénomène est arrivé, parmi les plus prospères de la région.
À cause du tempérament réservé et de la rigidité en affaires de son propriétaire, personne ne l'aimait guère.
D'abord, Jean-Claude n'a pas été (était pas) touché par les angoisses des Châtillonnais sensibles, à qui la réduction du monde faisait reconsidérer le sens de leur présence sur Terre.
En quelque sorte, il vivait déjà en reclus avant l'arrivée de cette nouvelle situation d'isolement du village. Et il aimait cette vie. On peut le constater en lisant l'extrait suivant: «Châtillon était son univers, la colline d'en face son horizon, pourquoi s'interroger sur ce qu'il y avait au-delà? Que Paris, Londres et l'Amérique aient disparu, quelle importance!» «En son for intérieur, il jugeait stupide de chercher ailleurs une herbe plus verte.»
Il s'intéressait plus à sa ferme qu'au village. Son souci pour le monde extérieur s'étendait presque à Châtillon même. (page 92-93)
Et ce jusqu'au moment où il a reçu la visite du maire d'Ouilliers, Patrick Tellier, venu pour faire le point sur la situation des exploitations agricoles.
À partir de ce moment-là, il a eu (avait) la puce à l'oreille. Il a soupçonné (soupçonna) que sa ferme et ses produits étaient susceptibles (en risque) d'être réquisitionnés pour  être partagés (les partager).
Voici le point culminant qui a bouleversé son attitude et sa relation avec les autres. Ce fait a été (fut) déterminant pour commencer la sécession de la ferme.
À partir de ce moment-la il s'est mobilisé (se mobilisa) pour construire des barrières frontalières, fusionner «l'exploitation de son voisin Schmitz et la sienne, et former un nouveau pays pour proclamer son indépendance politique» (page 104).
Ils ont ensuite créé (On avait crée) une nouvelle organisation sociale autour du ranch(ge), très semblable (pareille) à celle d'une société féodale, dont Verviers symbolisait le seigneur tout puissant placé au (dans le) sommet. Cette nouvelle population était devenue le seul exemple de progrès et l'unique espoir pour surmonter la situation à laquelle les châtillonnais étaient soumis. Depuis le moment où ils sont restés enfermés, toute sorte de communication avec l'extérieur a cessé, et la même chose avec les provisions et les marchandises qu'on recevait chaque jour au village. Ces faits ont causé beaucoup de problèmes dans un village trop dépendant des relations commerciales avec d'autres villes pour son approvisionnement.
Par contre, chez Mr. Verviers, on pouvait disposer de tous les produits basiques dont on avait besoin pour subsister. Là, on produit ce dont on a (avait) besoin. Enfin, la ferme était devenue un petit oasis au milieu du désert.
Mais contrairement au cas de Jean-Claude Verviers, il y avait des personnes qui ne supportaient pas d'être privés du contact avec l'extérieur. Ces personnes pour qui le seul monde qu'ils avaient était à travers les écrans et les téléphones. Or, ce monde ayant disparu, il ne leur restait rien.
L(C)es faits qu'on nous raconte dans cette histoire, ils font que les choses aient une valeur qu'elles n'avaient pas auparavant. On estime de nouveau d'autres façons de vie antérieures, avec plus de ressources naturelles et sans autant de progrès technologiques.

Le ranch(ge) Verviers, cependant, n'a pas survécu (ne survécut pas) longtemps à la mort de son (du) fondateur. Et comme cette mort a été accidentelle (fut à cause d'un accident), on n'avait pas préparé sa succession. Arriva donc ce qui était le plus possible qu'il arrivât : l'implosion.

Bon travail 16/20

ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"


Relevez et développez les arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la nourriture. (p 39-44)

Le village se trouve dans une situation d'incertitude et au bout du désordre social. Il faut prendre des décisions déterminantes et, surtout, en ce qui concerne les (aux) besoins les plus basiques.
En rapport à la répartition de la nourriture, l'argument principal que R. Pithrier expose est que personne ne peut être accusé d'imprévoyance.
Il défend une répartition équitable des marchandises. À son avis, pour faire une répartition juste, on devrait partager la nourriture parmi les familles, en proportion du nombre de membres.
Malgré ses arguments, il y a des personnes qui pensent (opinent) de façon différente (à lui), comme par exemple, Mr. Bavier, qui dit qu'«il n'y a qu'à laisser faire le marché. Si les prix vont flamber, c'est un risque à prendre.» Mais Pithrier (leur) réfute leurs arguments en affirmant que cette proposition n'est pas tenable. «Ce serait la prime aux plus riches» -dit il.
D'autres, comme Ancel Bernet, le traitent de communiste. Et il se défend: «Il ne s'agit pas de communisme, mais de justice.»
Finalement, il a posé un exemple ou comparaison pour «enfoncer le clou», celui dont on devait faire les valises sans savoir la destination.

Voilà, en retournant à l'argument principal, tout le monde est d'accord: «On n'imaginait jamais que le village serait coupé du monde. Alors, si ce n'est pas de leur faute, il serait injuste de leur en faire payer les conséquences».

Développement un peu court mais bien écrit  14/20

lundi 7 mars 2016

Bernard Quiriny, Le village Évanoui

Relevez et développez les arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la nourriture. (p 39 à 44) 300 mots
Dans des circonstances spéciales, on doit (se doivent) prendre des mesures (réponses) spéciales ; c’est l'argument utilisé par Raphaël Pithrier devant (avant) la crise produite à Châtillon. Et à Châtillon sont arrivés (passé) des événements (très) extraordinaires, le reste du monde a disparu et cela veut dire qu’il n’y aura(it) désormais ni de communications, ni de(s) fournitures, ni toute autre chose qui pourrait venir de l’extérieur. Et par conséquent, des mesures singulières doivent(devraient) être prises ; comme le défend le maire: «Il ne faut donc pas seulement réfléchir à nos besoins immédiats, mais aussi au futur». Dans ce contexte, Raphaël Pithrier propose la répartition équitable des marchandises, de partager la nourriture entre(parmi) les familles, en proportion du nombre de membres. Cette proposition a été qualifiée de (comme) communiste, parce que cette mesure vise la distribution de nourriture parmi la population et donc de collectiviser les nécessités mais dans ce cas c’est une mesure nécessaire pour assurer l’alimentation de toutes les personne(é)s indépendamment de si il a(avait) plus ou moins de(s) marchandises. C’est une bonne réaction avant un problème qui nécessite une solution urgente, pour assurer une situation ponctuelle ; mais si cette situation continue on devrait (aurait de) disposer de plus d’initiatives pour reconstituer les stocks. Réellement cette décision a provoqué la contestation des personnes qui ont beaucoup de réserves chez eux (dans leurs maisons), c’est normal; mais la pire des injustices, c’est le fait de laisser la distribution de nourriture essentielle pour vivre au hasard. Il y a des moments où il est essentiel de prendre des décisions qui favorisent (bénéficient) l’intérêt général par rapport au (à le) particulier, et ce moment-là, selon Raphaël Pithrier c’est le bon moment. Sûrement, si nous nous trouvons dans la situation des personnes qui ont l’armoire pleine, nous aussi froncerons les sourcils, et pourtant le bien commun est bien au-dessus des droits personnels surtout lorsque surviennent des situations exceptionnelles qui menacent l'avenir de la communauté.
13/20
Faites un récit sur le concept de l’isolement tel qu’il est décrit dans le livre. Dans le livre écrit par Bernard Quiriny, Le village Évanoui, l’isolement a une importance fondamentale, en ce sens toute l’argumentation de cet écrit tourne autour de l’isolement. Certainement, le confinement de toute la population d’une région a-t-il des (unes) implications sérieuses comme nous avons pu le voir fréquemment pendant l’histoire. Mais Quiriny, parle de différents isolés(ats) à la marge du confinement, isolement géographique et physique; il parle d’autres ostracismes pas moins importants. L’écrivain relate comment il y a des personnes qui vivent toujours détoures du monde extérieur; parce qu'ils n’ont pas besoin de sortir pour vivre. C’est le(s) cas des gens qui ne nécessitent pas de grands espaces pour se sentir bien. Au contraire, (À l’envers) ils doivent habiter un petit espace qu'(i) ils peuvent contrôler pour se sentir en sécurité. Mais savoir qu’ils ont une limitation matérielle, cela (il) fait que les gens réagissent très différemment. Certains vivent encore comme avant, rien n’a (pas) changé pour eux (ils); leurs frontières n’ont pas changé donc leur(son) conception du monde (c’)est la même. Et pourtant, il y a d'autres personnes qui ne quittent jamais (e jamais ils quittent) la région, et maintenant elles se sentent dépassées parce qu’elles(ils) ne peuvent sortir; il est vraiment surprenant de voir comment des informations qui, en principe, ne doivent pas nous (nous avons pas d’)affecter peuvent changer nos vies. Dans le sens contraire, il y a les personnes qui toujours sont dehors et qui(e) désormais sont confinées dans la région de Châtillon. Il est étonnant de voir(e) comment des personnes comme Jérémie Mathieu peuvent se transformer et devenir indispensables pour la communauté. Évidemment pour la plupart des gens pour qui Châtillon n’était qu'(e) une petite partie de leur monde, ils se sont sentis (sentaient) désorientés et beaucoup ont souffert de dépression sévère. Aussi Bernard Quiriny a décrit des personnes qui(e) quand Chântillon n’avait pas de frontières (ils) vivaient toujours isolés, après l'(du) événement ils sont devenus des repères de la population. On peut dire qu’il y a beaucoup de formes d’isolement, autant que de personnes et leur situation personnelle ; mais le plus fort confinement c’est celui(le) que nous portons en nous-mêmes.
14/20
 

Présentation du maire Sylvestre Agnelet :
Sylvestre Agnelet, était le maire de Châtillon-en-Bierre, petite village de mille habitants situé au centre de la France. Il ne se serait jamais imaginé, quand il a (avait) été élu, l’implication que lui signifierait sa nomination. Angelet avait été élu maire(rie), sûrement pas depuis longtemps, et il était une personne ouverte et sensible; probablement (il) appartenait-il à un partie de gauche. Cette situation lui imprimait un caractère dialoguant et de proximité, très important pour sa (son) responsabilité. Après l'incident qui a eu lieu dans son village, il a joué un rôle clé entre (parmi) l’angoisse et l’euphorie : l’angoisse parce qu’il était le garant de tout ce qui(e) touche à sa(on) municipalité et l’euphorie pour être précisément la plus haute autorité, à ce moment-là (dans ce moment), du territoire communal. Mais la situation qui existe dans Châtillon(,) n’est pas normale et les faits montrent qu’il n'a ni l'expérience ni la capacité de contrôler cette situation. C’est vrai, que la situation, que les citoyens doivent vivre, s’allonge dans le temps mais le maire Angelet n’a(vait) pas été capable (de) d'organiser fermement la nouvelle vie pour les citoyens du village. C’est pour cela(ça), que certains citoyens se sont rebellés contre l'autorité et ont procédé à un schisme dans le petit village. Ces faits ont produit une séparation réelle qui est seulement résolue avec la mort du fermier Verviers. Alors, Angelet (c’)est uniquement l’image de l‘autorité, mais il n’est pas le référent de la population; il n'a (pas) apporté aux habitants de Chatillon ni l’illusion, ni les projets pour construire une nouvelle forme de vivre pour tous les citoyens (de Châtillon) en fonction de la nouvelle situation à laquelle ils devront faire face. Et pourtant, Angelet n’a(i) pas abandonné son obligation il avait appris que le pouvoir bien compris(,) n’est pas autre chose qu'(e) une obligation de service aux autres.

13/20

L’expérience libertaire de la ferme Verviers
Dans le livre Le Village Evanoui de Bernard Quiriny, il décrit une expérience libertaire dans les (aux) fermes de Jean-Claude Verviers et Paul Schmitz. Mais cette initiative libertaire a son origine dans une décision totalement antagoniste, le refus de (à) partager l'utilisation de sa ferme et aussi ses réserves avec la population de Châtillon, qu’ils considèrent comme un vol. L'un comme l'autre pensent que leurs terres, leurs granges et tout ce qu’ils y ont dedans (il) leur appartient et par conséquent qu'ils sont les seuls qui peuvent décider ce qui peut être fait sur leur (son)  propriété. Ils sont contre toute forme de communisme ; leurs réserves ils les ont générées eux (ils) avec leur travail et donc ils sont les uniques propriétaires et pourtant ils ne refusent pas d’aider (a) qui (lui) le leur demande mais ils décideront comment, qui et quand l'aide. Par contre ils ont décidé de mettre en commun leurs fermes, de les fermer, privatiser le chemin communal qui(e) les séparait; pour faire une exploitation plus compétitive. Ils ont recherché des machines pour faire de la farine, des chevaux et d'autres choses ; ils ont recruté une douzaine de travailleurs du village donc ils ne se méfiaient pas des immigres et petit à petit ils ont transformé la ferme en une véritable exploitation artisanale. C’est vrai que l’entreprise a été une révolution pour la commune, ce qui est la solution recherchée pour assurer l'avenir de la population du canton et qui a impliqué l'embauche de nombreux travailleurs mais il n’est pas la meilleure solution si nous parlons de démocratie et d'égalité. Leur (Son) entreprise a été fomentée avec la personne de Verviers (à qui) qu'ils considèrent comme un demi-dieu, et qu'(à qui) écoutent aveuglément; les travailleurs sont traités comme au Moyen Age, les femmes sont traitées comme des esclaves sexuelles et la société ne se soucie que de ses membres. Vraiment cette expérience n’est pas autre chose qu’un moyen de protéger des actifs de ses promoteurs, tout le contraire d’une procédé libertaire.

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vendredi 4 mars 2016

Qu'est-ce qu'on bon livre?

   Qu'est-ce qu'un bon livre?

   C'est une question à laquelle il est difficile de(à) répondre car elle est subjective et personnelle.
   Il y a des gens qui croient que les meilleurs livres sont les plus vendus même s'ils sont mal écrits.
   Néanmoins, il y en a d'autres qui pensent qu'un bon livre doit être bien écrit.
   À mon avis, un bon livre est celui qui ne me laisse pas indifférente, que j'apprécie (qui me fait jouir NON jouir = follar) comme lectrice indépendamment de comment il est(soit) écrit.
   D'abord, quand je lis un livre je veux m'amuser, me distraire et passer un bon moment (temps).
   De plus, j'aime les livres qui sont capables de (me) faire naître en moi des émotions, de me faire rêver, réfléchir et me tenir en haleine jusqu'à la fin.
   En premier lieu, un bon livre c'est le livre qui nous décrit une histoire qui nous plonge dans un monde nouveau et nous fait exciter l'imagination. Par exemple, les trois tomes du(de "le) Seigneur des Anneaux" nous plonge dans un monde nouveau et surnaturel où l'histoire a un sens car elle nous fait une magnifique réflexion littéraire sur le Bien et le Mal.
   Par contre, il y a certain(e)s ouvrages où le plus important ce n'est pas l'histoire. Ils nous permettent de nous plonger dans la peau du personnage, ce qui nous faire dévorer le livre et nous n'avons pas envie de les finir.
   Bref, chaque personne a une opinion qui sera différente des autres personnes à l'heure de juger la qualité du livre car elle dépend des caractéristiques du lecteur ou lectrice (âge, sexe, éducation, moeurs, culture...)


Bon travail Maria 14/20