dimanche 1 mai 2016

Le village évanoui

Dresser une fiche chronologique des conséquences de l'isolement classées par catégories (économiques, sociologiques, pratiques, bancaires...)

Conséquences pratiques

Les voitures tombent en panne à (au bout de) cinq kilomètres du village.

Les téléphones, les ordinateurs, Internet  arrêtent de fonctionner pour (se) communiquer avec l'extérieur (dehors).

On ne peut pas abandonner la ville et impossibilité que personne n'y entre : le distributeur de journ(e)aux, le livreur de la supérétte, l'infirmière, le facteur...

Personne ne peut (pas) aller travailler en dehors de Câtillon et les enfants ne peuvent pas aller à l'école.

Ils se trouvent (restent) sans entreprise de pompes funèbres, sans structure officielle de justice.

Conséquences économiques

Il n'y a plus d'approvisionnement de marchandises et de(u) pain.

On doit prioriser l'utilisation du fuel pour le réserver (dédier) à l'agriculture.On visite toutes les fermes pour réquisitionner de (organiser) la nourriture pour le (du) village et mettre des volontaires à travailler et faire rendre à la terre le plus de fruits possibles.

Ils doivent apprendre l'autarcie, recentrer leur (sa) consommation sur les produits du cru. Ils se sont mis à cultiver.On recycle et on répare (repaire) tout. Les textiles et les objets qui(e) hier partaient à la poubelle prennent à(au) présent une valeur immense.

Les travaux manuels  prennent beaucoup d'importance face aux intellectuels.

M.  Duval crée une distillerie.

Conséquences bancaires

Les habitants vont à la banque pour (au banc à) retirer leur argent.

La réserve des coffres a(vait) fondu.

Le distributeur automatique de bi(t)llets est (était) vide.

On ne peut (pouvait) pas faire d'(des) operations interbancaires.

(Ni entrait ni sortait aucun centime du canton.) Aucun centime n'entre ni ne sort du canton. On ne peut (pouvait) toucher ni l'argent des salaires ni des prestations sociales.

Conséquences sociologiques

La surprise,  la(e) stupeur et après la nervosité (le nerveur) et la peur des habitants.

La nouvelle manière de s'organiser pour pouvoir survivre  des habitants avec le maire et le conseil municipal pour delimiter le problème,  trouver des solutions, prendre des décisions sur la nourriture , les urgences, les difficultés médicales, l'école pour les enfants, le rationnement , la coordination et l'organisation de la production agricole. IL AURAIT MIEUX FALLU FAIRE DES PHRASES ICI.

L'inclusion des maires des communes environnantes situées à l'intérieur du périmètre dans le conseil municipal.

Les principes fondamentaux qui sont remis en question (se mettent en jeu) : la liberté individuelle, de commerce, la justice, la solidarité, l'instinct de survie et la protection des sien(ne)s.

Une nouvelle forme de relation sociale: les cafès sont (étaient) bondés, l'église est pleine.

Le besoin  des Châtillonnais de parcourir le canton, d'explorer leur environnement qu'ils ne connaissaient plus (pas).

Les paysans sont considérés désormais  comme des messies. L'avenir du village est (était) dans leurs champs.

L'orgueuil de se débrouiller seuls en recourant le moins possible  à leurs coupons de rationnement.

Le chômage était un problème, certains Châtillonnais s'offraient aux fermes en échange d'un peu de nourriture, un autre organisait un système scolaire, d'autres se trouvaient désorientés.

L'apparition (de apparaître) (La parution, de paraître, par exemple la parution d'un livre) des groupes de sauvageons qui battaient la campagne et se réunissaient dans les fermes à l'abandon.

Les nouvelles relations entre les hommes et les femmes célibataires pour les choses du coeur et du sexe.

Les familles se reagroupaient pour partager le chauffage.

Le maire transforma la salle communale en centre d'accueil pour les habitants privés de chauffage.

L'expédition organisée pour explorer une sortie du village  après un hiver(n) dur.

Le refus (La négation) de Jean-Claude Verviers de (à) contribuer à la nourriture des habitants moins favorisés et la déclaration d'indépendance du ranch(e).Il recrute les meilleurs (mieux) travailleurs de la ville et après des femmes pour son pla(i)n de natalité et laisse le village sans les personnes les plus précieuses(x). Deux communautés se formèrent à l'intérieur du canton et Verviers devi(e)nt un leader  capable d'avoir un projet pour l'avenir, même pour leChâtillonnais de l'autre coté qui écoutent toutes ses opinions. Châtillon se rapprochait d'une nouvelle organisation sociale, de type semi-féodal avec un seigneur obscur vivant dans son ranch et une population fascinée.

Le procès populaire sans justice officielle contre Navolli et la peine capitale.

Le père Delapierre reçoit  des demandes d'ordenations des jeunes .

La naissance des cultes nouveaux: le culte au soleil.

La multiplication des cas de dépression, des crises d'angoisse et de l'alcoolisme.

Inauguration d'un monastère et l'isolement des nouveaux jeunes religieux.

Pendant (Depuis) deux ans les Châtillonnais prennent toutes les libertés avec le droit de proprieté.

La mort de Verviers et la fin du ranch faute d'un leader capable de continuer le projet de son fondateur.

Les ex- ranchers retrouvent un village décati, sale, fatigué.

Une sorte de dépression généralisée s'empara de Châtillon. Ils ne trouvaient pas le sens de continuer, ils se sentaient sous (un) séquestre et on abandonnent à la dégradation du village. la population diminuait à la moitié.?

Finalement on trouve un passage et devant la possibilité de sortir sans savoir si on pour(d)ra revenir (retourner)  les habitants de Châtillon ont des réactions diverses de telle manière qu'on crée(nt) deux factions les feuilles volantes (familles en partance) et les racines( hostiles à l'exil).

Et finalement la lutte du père Delapierre qui décide de partir avec une arme dans sa poche.

14/20 Bon travail de recherche et de synthèse.










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