Bonsoir à tous,
Hier, on a fait le texte à trous de Milan, aussi on va parler du voyage et des expériences que Jaime Serra a vecu cet hiver, et en plus on va
parler de l'excursion de fin de cours qui se fera samedi 14 mai. Il s'agit d'une randonnée de Soller jusqu'à Deia.À cause de cela lundi 9 mai il
n'y aura pas du cours
À demain
Vous êtes maintenant dans le cycle Avancé, FÉLICITATIONS ! Ce blog vous est destiné. Vous y trouverez des activités spécialement conçues pour vous. Si vous désirez d'autres rubriques, d'autres activités..., n'hésitez pas à me le dire. Cet espace est aussi le vôtre, vous pouvez y collaborer par des photos, des textes ou toute autre chose, n'hésitez pas à le faire. Il vous servira aussi parfois pour "poster" des rédactions ou tout autre activité à faire à la maison.
mardi 26 avril 2016
jeudi 14 avril 2016
mercredi 13 avril
Bonjour
mes collègues,
Hier,
on a commencé le cours par la page 76, pour pratiquer la lecture.
D'abord
on a lu le texte d'Auroville et on a posé des questions sur le
vocabulaire qu'on ne connaissait pas. Puis on a fait l'activité 1 de
la page 77. On a suivi avec ce même sujet en regardant un vidéo à
Youtube: «Auroville une
expérience remarquable». À la
fin de ce vidéo, on en a parlé et on a profité pour faire un peu
d'expression orale.
Devoirs:
Il faut
faire les pages 80 et 81 du livre COMPRÉHENSION DE L'ÉCRIT
(Toutes les deux pages pour rendre à la fin du mois).
Bon week-end et à lundi!
mardi 12 avril 2016
Lundi 11 avril
Bonsoir,
Aujourd'hui, on a lu le texte de la page 74 du livre et après on a fait les activités 2, 3 et 4 de la même page pour apprendre à faire un développement descriptif, avec l’aide de l’encadré page 75.
Après,
on a suivi avec la lecture de la page 76.
Pour le prochain jour, il faut faire les activités suivantes du cahier d’exercices:
page
63: activité 1
page
64: activités 2, 3, 4 et 5.
Albane
nous a rendu aussi un texte à trous: «Mexico, l’eau devient
une denrée rare». Nous devons le faire pour lundi prochain.
À mercredi.
vendredi 8 avril 2016
Vendredi 8 avril
Bonsoir,
On a fait:
-La page 72 du livre "Imaginer la Ville".
-La page 73 " Les tours".
-Les exercices qui sont dans le marge droite de la page 73.
.La compréhension orale de la même page.
À faire:
-Du cahier d' apprentissage , page 57 ,l' exercice 5 et de la page 59 les exercices 2,3 et 4. l'exercice 3 on doit faire dans une feuille pour le remettre à Albane, celui qui s'agit des arguments pour et contre la vaccination contre la grippe.
Bon week.end à tous. À lundi
On a fait:
-La page 72 du livre "Imaginer la Ville".
-La page 73 " Les tours".
-Les exercices qui sont dans le marge droite de la page 73.
.La compréhension orale de la même page.
À faire:
-Du cahier d' apprentissage , page 57 ,l' exercice 5 et de la page 59 les exercices 2,3 et 4. l'exercice 3 on doit faire dans une feuille pour le remettre à Albane, celui qui s'agit des arguments pour et contre la vaccination contre la grippe.
Bon week.end à tous. À lundi
jeudi 7 avril 2016
Lundi 4 et Mercredi 6 avril
Bonjour à tous,
Lundi 4 avril on a corrigé le texte de La Particule en mettand les verbes qui étaient à l'infinitif dans le temps correspondant et après on a fait une expression orale à propos de l'obésité et la nourriture "bio".
Mercredi 6 avril on a lu la pag 70 du livre et on a fait les exercices 1 et 3 ( a et b).On a aussi lu le vocabulaire des sciences de la pag. 71, après nous avons fait une compréhension orale, celle de la pag 71 du livre.
Nous avons parlé de notre avenir comme des élèves d' avancé 2.
Attention!!!! Vendredi prochain il y aura du cours à l'heure et à la salle d' habitude.
À demain , bonne journée
Lundi 4 avril on a corrigé le texte de La Particule en mettand les verbes qui étaient à l'infinitif dans le temps correspondant et après on a fait une expression orale à propos de l'obésité et la nourriture "bio".
Mercredi 6 avril on a lu la pag 70 du livre et on a fait les exercices 1 et 3 ( a et b).On a aussi lu le vocabulaire des sciences de la pag. 71, après nous avons fait une compréhension orale, celle de la pag 71 du livre.
Nous avons parlé de notre avenir comme des élèves d' avancé 2.
Attention!!!! Vendredi prochain il y aura du cours à l'heure et à la salle d' habitude.
À demain , bonne journée
lundi 21 mars 2016
Sacs pour les réfugiés
Bonjour, Albane,
Est-ce que tu vas apporter des sacs pour les réfugiés aujourd’hui ? Je
voudrais en parrainer un. Je voulais te la demander la semaine dernière, mais
je l’ai oublié.
Mercie !
mercredi 16 mars 2016
assistance à classe
Bonjour Albane. Aujourd'hui je ne peux pas assister à classe parce que j'ai évaluations.
dimanche 13 mars 2016
ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"
Relevez
dans le livre les effets et différentes étapes de la sécession de
la ferme Verviers.
Jean-Claude Verviers avait
construit peu à peu une ferme qui comptait, au moment où le
phénomène est arrivé, parmi les plus prospères de la région.
À cause du tempérament
réservé et de la rigidité en affaires de son propriétaire, personne
ne l'aimait guère.
D'abord, Jean-Claude n'a pas été (était
pas) touché par les angoisses des Châtillonnais sensibles, à qui la
réduction du monde faisait reconsidérer le sens de leur présence
sur Terre.
En quelque sorte, il vivait
déjà en reclus avant l'arrivée de cette nouvelle situation
d'isolement du village. Et il aimait cette vie. On peut le constater
en lisant l'extrait suivant: «Châtillon était son univers, la
colline d'en face son horizon, pourquoi s'interroger sur ce qu'il y
avait au-delà? Que Paris, Londres et l'Amérique aient disparu,
quelle importance!» «En son for intérieur, il jugeait stupide de
chercher ailleurs une herbe plus verte.»
Il s'intéressait plus à sa
ferme qu'au village. Son souci pour le monde extérieur s'étendait
presque à Châtillon même. (page 92-93)
Et ce jusqu'au moment où il a reçu
la visite du maire d'Ouilliers, Patrick Tellier, venu pour faire le point
sur la situation des exploitations agricoles.
À partir de ce moment-là, il a eu (avait) la puce à l'oreille. Il a soupçonné (soupçonna) que sa ferme et ses
produits étaient susceptibles (en risque) d'être réquisitionnés pour être partagés (les
partager).
Voici le point culminant qui a
bouleversé son attitude et sa relation avec les autres. Ce fait a été (fut) déterminant pour commencer la sécession de la ferme.
À partir de ce moment-la il s'est mobilisé (se mobilisa) pour construire des barrières frontalières, fusionner
«l'exploitation de son voisin Schmitz et la sienne, et former un
nouveau pays pour proclamer son indépendance politique» (page 104).
Ils ont ensuite créé (On avait crée) une nouvelle
organisation sociale autour du ranch(ge), très semblable (pareille) à celle d'une
société féodale, dont Verviers symbolisait le seigneur tout puissant
placé au (dans le) sommet. Cette nouvelle population était devenue le
seul exemple de progrès et l'unique espoir pour surmonter la
situation à laquelle les châtillonnais étaient soumis. Depuis le
moment où ils sont restés enfermés, toute sorte de communication
avec l'extérieur a cessé, et la même chose avec les provisions et
les marchandises qu'on recevait chaque jour au village. Ces faits ont
causé beaucoup de problèmes dans un village trop dépendant des
relations commerciales avec d'autres villes pour son
approvisionnement.
Par contre, chez Mr. Verviers,
on pouvait disposer de tous les produits basiques dont on avait
besoin pour subsister. Là, on produit ce dont on a (avait) besoin. Enfin, la ferme était devenue un petit oasis au milieu du désert.
Mais
contrairement au cas de Jean-Claude Verviers, il y avait des personnes
qui ne supportaient pas d'être privés du contact avec l'extérieur.
Ces personnes pour qui le seul monde qu'ils avaient était à travers les
écrans et les téléphones. Or, ce monde ayant disparu, il ne leur
restait rien.
L(C)es
faits qu'on nous raconte dans cette histoire, ils font que les choses
aient une valeur qu'elles n'avaient pas auparavant. On estime de nouveau
d'autres façons de vie antérieures, avec plus de ressources
naturelles et sans autant de progrès technologiques.
Le ranch(ge) Verviers, cependant, n'a pas survécu (ne survécut pas) longtemps à la mort de son (du) fondateur. Et comme cette mort a été accidentelle (fut à cause d'un accident), on n'avait
pas préparé sa succession. Arriva donc ce qui était le plus
possible qu'il arrivât : l'implosion.
Bon travail 16/20
Bon travail 16/20
Libellés :
Livres de lecture obligatoire,
RED Jordi
ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"
Relevez et développez les
arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la
nourriture. (p 39-44)
Le village se trouve dans une
situation d'incertitude et au bout du désordre social. Il faut
prendre des décisions déterminantes et, surtout, en ce qui concerne les (aux) besoins les plus basiques.
En rapport à la répartition
de la nourriture, l'argument principal que R. Pithrier expose est que
personne ne peut être accusé d'imprévoyance.
Il défend une répartition
équitable des marchandises. À son avis, pour faire une répartition
juste, on devrait partager la nourriture parmi les familles, en
proportion du nombre de membres.
Malgré ses arguments, il y a
des personnes qui pensent (opinent) de façon différente (à lui), comme par
exemple, Mr. Bavier, qui dit qu'«il n'y a qu'à laisser faire le
marché. Si les prix vont flamber, c'est un risque à prendre.» Mais
Pithrier (leur) réfute leurs arguments en affirmant que cette proposition n'est pas
tenable. «Ce serait la prime aux plus riches» -dit il.
D'autres, comme Ancel Bernet,
le traitent de communiste. Et il se défend: «Il ne s'agit pas de
communisme, mais de justice.»
Finalement, il a posé un
exemple ou comparaison pour «enfoncer le clou», celui dont on
devait faire les valises sans savoir la destination.
Voilà,
en retournant à l'argument principal, tout le monde est d'accord:
«On n'imaginait jamais que le village serait coupé du
monde. Alors, si ce n'est pas de leur faute, il serait injuste de
leur en faire payer les conséquences».
Développement un peu court mais bien écrit 14/20
Développement un peu court mais bien écrit 14/20
Libellés :
Livres de lecture obligatoire,
RED Jordi
lundi 7 mars 2016
Bernard Quiriny, Le village Évanoui
Relevez et développez les arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la nourriture. (p 39 à 44) 300 mots
Dans des circonstances spéciales, on doit (se doivent) prendre des mesures (réponses) spéciales ; c’est l'argument utilisé par Raphaël Pithrier devant (avant) la crise produite à Châtillon. Et à Châtillon sont arrivés (passé) des événements (très) extraordinaires, le reste du monde a disparu et cela veut dire qu’il n’y aura(it) désormais ni de communications, ni de(s) fournitures, ni toute autre chose qui pourrait venir de l’extérieur. Et par conséquent, des mesures singulières doivent(devraient) être prises ; comme le défend le maire: «Il ne faut donc pas seulement réfléchir à nos besoins immédiats, mais aussi au futur». Dans ce contexte, Raphaël Pithrier propose la répartition équitable des marchandises, de partager la nourriture entre(parmi) les familles, en proportion du nombre de membres. Cette proposition a été qualifiée de (comme) communiste, parce que cette mesure vise la distribution de nourriture parmi la population et donc de collectiviser les nécessités mais dans ce cas c’est une mesure nécessaire pour assurer l’alimentation de toutes les personne(é)s indépendamment de si il a(avait) plus ou moins de(s) marchandises. C’est une bonne réaction avant un problème qui nécessite une solution urgente, pour assurer une situation ponctuelle ; mais si cette situation continue on devrait (aurait de) disposer de plus d’initiatives pour reconstituer les stocks. Réellement cette décision a provoqué la contestation des personnes qui ont beaucoup de réserves chez eux (dans leurs maisons), c’est normal; mais la pire des injustices, c’est le fait de laisser la distribution de nourriture essentielle pour vivre au hasard. Il y a des moments où il est essentiel de prendre des décisions qui favorisent (bénéficient) l’intérêt général par rapport au (à le) particulier, et ce moment-là, selon Raphaël Pithrier c’est le bon moment. Sûrement, si nous nous trouvons dans la situation des personnes qui ont l’armoire pleine, nous aussi froncerons les sourcils, et pourtant le bien commun est bien au-dessus des droits personnels surtout lorsque surviennent des situations exceptionnelles qui menacent l'avenir de la communauté.
13/20
Faites un récit sur le concept de l’isolement tel qu’il est décrit dans le livre. Dans le livre écrit par Bernard Quiriny, Le village Évanoui, l’isolement a une importance fondamentale, en ce sens toute l’argumentation de cet écrit tourne autour de l’isolement. Certainement, le confinement de toute la population d’une région a-t-il des (unes) implications sérieuses comme nous avons pu le voir fréquemment pendant l’histoire. Mais Quiriny, parle de différents isolés(ats) à la marge du confinement, isolement géographique et physique; il parle d’autres ostracismes pas moins importants. L’écrivain relate comment il y a des personnes qui vivent toujours détournées du monde extérieur; parce qu'ils n’ont pas besoin de sortir pour vivre. C’est le(s) cas des gens qui ne nécessitent pas de grands espaces pour se sentir bien. Au contraire, (À l’envers) ils doivent habiter un petit espace qu'(i) ils peuvent contrôler pour se sentir en sécurité. Mais savoir qu’ils ont une limitation matérielle, cela (il) fait que les gens réagissent très différemment. Certains vivent encore comme avant, rien n’a (pas) changé pour eux (ils); leurs frontières n’ont pas changé donc leur(son) conception du monde (c’)est la même. Et pourtant, il y a d'autres personnes qui ne quittent jamais (e jamais ils quittent) la région, et maintenant elles se sentent dépassées parce qu’elles(ils) ne peuvent sortir; il est vraiment surprenant de voir comment des informations qui, en principe, ne doivent pas nous (nous avons pas d’)affecter peuvent changer nos vies. Dans le sens contraire, il y a les personnes qui toujours sont dehors et qui(e) désormais sont confinées dans la région de Châtillon. Il est étonnant de voir(e) comment des personnes comme Jérémie Mathieu peuvent se transformer et devenir indispensables pour la communauté. Évidemment pour la plupart des gens pour qui Châtillon n’était qu'(e) une petite partie de leur monde, ils se sont sentis (sentaient) désorientés et beaucoup ont souffert de dépression sévère. Aussi Bernard Quiriny a décrit des personnes qui(e) quand Chântillon n’avait pas de frontières (ils) vivaient toujours isolés, après l'(du) événement ils sont devenus des repères de la population. On peut dire qu’il y a beaucoup de formes d’isolement, autant que de personnes et leur situation personnelle ; mais le plus fort confinement c’est celui(le) que nous portons en nous-mêmes.
14/20
Présentation du maire Sylvestre Agnelet :
Sylvestre Agnelet, était le maire de Châtillon-en-Bierre, petite village de mille habitants situé au centre de la France. Il ne se serait jamais imaginé, quand il a (avait) été élu, l’implication que lui signifierait sa nomination. Angelet avait été élu maire(rie), sûrement pas depuis longtemps, et il était une personne ouverte et sensible; probablement (il) appartenait-il à un partie de gauche. Cette situation lui imprimait un caractère dialoguant et de proximité, très important pour sa (son) responsabilité. Après l'incident qui a eu lieu dans son village, il a joué un rôle clé entre (parmi) l’angoisse et l’euphorie : l’angoisse parce qu’il était le garant de tout ce qui(e) touche à sa(on) municipalité et l’euphorie pour être précisément la plus haute autorité, à ce moment-là (dans ce moment), du territoire communal. Mais la situation qui existe dans Châtillon(,) n’est pas normale et les faits montrent qu’il n'a ni l'expérience ni la capacité de contrôler cette situation. C’est vrai, que la situation, que les citoyens doivent vivre, s’allonge dans le temps mais le maire Angelet n’a(vait) pas été capable (de) d'organiser fermement la nouvelle vie pour les citoyens du village. C’est pour cela(ça), que certains citoyens se sont rebellés contre l'autorité et ont procédé à un schisme dans le petit village. Ces faits ont produit une séparation réelle qui est seulement résolue avec la mort du fermier Verviers. Alors, Angelet (c’)est uniquement l’image de l‘autorité, mais il n’est pas le référent de la population; il n'a (pas) apporté aux habitants de Chatillon ni l’illusion, ni les projets pour construire une nouvelle forme de vivre pour tous les citoyens (de Châtillon) en fonction de la nouvelle situation à laquelle ils devront faire face. Et pourtant, Angelet n’a(i) pas abandonné son obligation ; il avait appris que le pouvoir bien compris(,) n’est pas autre chose qu'(e) une obligation de service aux autres.
13/20
L’expérience libertaire de la ferme Verviers
Dans le livre Le Village Evanoui de Bernard Quiriny, il décrit une expérience libertaire dans les (aux) fermes de Jean-Claude Verviers et Paul Schmitz. Mais cette initiative libertaire a son origine dans une décision totalement antagoniste, le refus de (à) partager l'utilisation de sa ferme et aussi ses réserves avec la population de Châtillon, qu’ils considèrent comme un vol. L'un comme l'autre pensent que leurs terres, leurs granges et tout ce qu’ils y ont dedans (il) leur appartient et par conséquent qu'ils sont les seuls qui peuvent décider ce qui peut être fait sur leur (son) propriété. Ils sont contre toute forme de communisme ; leurs réserves ils les ont générées eux (ils) avec leur travail et donc ils sont les uniques propriétaires et pourtant ils ne refusent pas d’aider (a) qui (lui) le leur demande mais ils décideront comment, qui et quand l'aide. Par contre ils ont décidé de mettre en commun leurs fermes, de les fermer, privatiser le chemin communal qui(e) les séparait; pour faire une exploitation plus compétitive. Ils ont recherché des machines pour faire de la farine, des chevaux et d'autres choses ; ils ont recruté une douzaine de travailleurs du village donc ils ne se méfiaient pas des immigres et petit à petit ils ont transformé la ferme en une véritable exploitation artisanale. C’est vrai que l’entreprise a été une révolution pour la commune, ce qui est la solution recherchée pour assurer l'avenir de la population du canton et qui a impliqué l'embauche de nombreux travailleurs mais il n’est pas la meilleure solution si nous parlons de démocratie et d'égalité. Leur (Son) entreprise a été fomentée avec la personne de Verviers (à qui) qu'ils considèrent comme un demi-dieu, et qu'(à qui) écoutent aveuglément; les travailleurs sont traités comme au Moyen Age, les femmes sont traitées comme des esclaves sexuelles et la société ne se soucie que de ses membres. Vraiment cette expérience n’est pas autre chose qu’un moyen de protéger des actifs de ses promoteurs, tout le contraire d’une procédé libertaire.
15/20
Dans des circonstances spéciales, on doit (se doivent) prendre des mesures (réponses) spéciales ; c’est l'argument utilisé par Raphaël Pithrier devant (avant) la crise produite à Châtillon. Et à Châtillon sont arrivés (passé) des événements (très) extraordinaires, le reste du monde a disparu et cela veut dire qu’il n’y aura(it) désormais ni de communications, ni de(s) fournitures, ni toute autre chose qui pourrait venir de l’extérieur. Et par conséquent, des mesures singulières doivent(devraient) être prises ; comme le défend le maire: «Il ne faut donc pas seulement réfléchir à nos besoins immédiats, mais aussi au futur». Dans ce contexte, Raphaël Pithrier propose la répartition équitable des marchandises, de partager la nourriture entre(parmi) les familles, en proportion du nombre de membres. Cette proposition a été qualifiée de (comme) communiste, parce que cette mesure vise la distribution de nourriture parmi la population et donc de collectiviser les nécessités mais dans ce cas c’est une mesure nécessaire pour assurer l’alimentation de toutes les personne(é)s indépendamment de si il a(avait) plus ou moins de(s) marchandises. C’est une bonne réaction avant un problème qui nécessite une solution urgente, pour assurer une situation ponctuelle ; mais si cette situation continue on devrait (aurait de) disposer de plus d’initiatives pour reconstituer les stocks. Réellement cette décision a provoqué la contestation des personnes qui ont beaucoup de réserves chez eux (dans leurs maisons), c’est normal; mais la pire des injustices, c’est le fait de laisser la distribution de nourriture essentielle pour vivre au hasard. Il y a des moments où il est essentiel de prendre des décisions qui favorisent (bénéficient) l’intérêt général par rapport au (à le) particulier, et ce moment-là, selon Raphaël Pithrier c’est le bon moment. Sûrement, si nous nous trouvons dans la situation des personnes qui ont l’armoire pleine, nous aussi froncerons les sourcils, et pourtant le bien commun est bien au-dessus des droits personnels surtout lorsque surviennent des situations exceptionnelles qui menacent l'avenir de la communauté.
13/20
Faites un récit sur le concept de l’isolement tel qu’il est décrit dans le livre. Dans le livre écrit par Bernard Quiriny, Le village Évanoui, l’isolement a une importance fondamentale, en ce sens toute l’argumentation de cet écrit tourne autour de l’isolement. Certainement, le confinement de toute la population d’une région a-t-il des (unes) implications sérieuses comme nous avons pu le voir fréquemment pendant l’histoire. Mais Quiriny, parle de différents isolés(ats) à la marge du confinement, isolement géographique et physique; il parle d’autres ostracismes pas moins importants. L’écrivain relate comment il y a des personnes qui vivent toujours détournées du monde extérieur; parce qu'ils n’ont pas besoin de sortir pour vivre. C’est le(s) cas des gens qui ne nécessitent pas de grands espaces pour se sentir bien. Au contraire, (À l’envers) ils doivent habiter un petit espace qu'(i) ils peuvent contrôler pour se sentir en sécurité. Mais savoir qu’ils ont une limitation matérielle, cela (il) fait que les gens réagissent très différemment. Certains vivent encore comme avant, rien n’a (pas) changé pour eux (ils); leurs frontières n’ont pas changé donc leur(son) conception du monde (c’)est la même. Et pourtant, il y a d'autres personnes qui ne quittent jamais (e jamais ils quittent) la région, et maintenant elles se sentent dépassées parce qu’elles(ils) ne peuvent sortir; il est vraiment surprenant de voir comment des informations qui, en principe, ne doivent pas nous (nous avons pas d’)affecter peuvent changer nos vies. Dans le sens contraire, il y a les personnes qui toujours sont dehors et qui(e) désormais sont confinées dans la région de Châtillon. Il est étonnant de voir(e) comment des personnes comme Jérémie Mathieu peuvent se transformer et devenir indispensables pour la communauté. Évidemment pour la plupart des gens pour qui Châtillon n’était qu'(e) une petite partie de leur monde, ils se sont sentis (sentaient) désorientés et beaucoup ont souffert de dépression sévère. Aussi Bernard Quiriny a décrit des personnes qui(e) quand Chântillon n’avait pas de frontières (ils) vivaient toujours isolés, après l'(du) événement ils sont devenus des repères de la population. On peut dire qu’il y a beaucoup de formes d’isolement, autant que de personnes et leur situation personnelle ; mais le plus fort confinement c’est celui(le) que nous portons en nous-mêmes.
14/20
Présentation du maire Sylvestre Agnelet :
Sylvestre Agnelet, était le maire de Châtillon-en-Bierre, petite village de mille habitants situé au centre de la France. Il ne se serait jamais imaginé, quand il a (avait) été élu, l’implication que lui signifierait sa nomination. Angelet avait été élu maire(rie), sûrement pas depuis longtemps, et il était une personne ouverte et sensible; probablement (il) appartenait-il à un partie de gauche. Cette situation lui imprimait un caractère dialoguant et de proximité, très important pour sa (son) responsabilité. Après l'incident qui a eu lieu dans son village, il a joué un rôle clé entre (parmi) l’angoisse et l’euphorie : l’angoisse parce qu’il était le garant de tout ce qui(e) touche à sa(on) municipalité et l’euphorie pour être précisément la plus haute autorité, à ce moment-là (dans ce moment), du territoire communal. Mais la situation qui existe dans Châtillon(,) n’est pas normale et les faits montrent qu’il n'a ni l'expérience ni la capacité de contrôler cette situation. C’est vrai, que la situation, que les citoyens doivent vivre, s’allonge dans le temps mais le maire Angelet n’a(vait) pas été capable (de) d'organiser fermement la nouvelle vie pour les citoyens du village. C’est pour cela(ça), que certains citoyens se sont rebellés contre l'autorité et ont procédé à un schisme dans le petit village. Ces faits ont produit une séparation réelle qui est seulement résolue avec la mort du fermier Verviers. Alors, Angelet (c’)est uniquement l’image de l‘autorité, mais il n’est pas le référent de la population; il n'a (pas) apporté aux habitants de Chatillon ni l’illusion, ni les projets pour construire une nouvelle forme de vivre pour tous les citoyens (de Châtillon) en fonction de la nouvelle situation à laquelle ils devront faire face. Et pourtant, Angelet n’a(i) pas abandonné son obligation ; il avait appris que le pouvoir bien compris(,) n’est pas autre chose qu'(e) une obligation de service aux autres.
13/20
L’expérience libertaire de la ferme Verviers
Dans le livre Le Village Evanoui de Bernard Quiriny, il décrit une expérience libertaire dans les (aux) fermes de Jean-Claude Verviers et Paul Schmitz. Mais cette initiative libertaire a son origine dans une décision totalement antagoniste, le refus de (à) partager l'utilisation de sa ferme et aussi ses réserves avec la population de Châtillon, qu’ils considèrent comme un vol. L'un comme l'autre pensent que leurs terres, leurs granges et tout ce qu’ils y ont dedans (il) leur appartient et par conséquent qu'ils sont les seuls qui peuvent décider ce qui peut être fait sur leur (son) propriété. Ils sont contre toute forme de communisme ; leurs réserves ils les ont générées eux (ils) avec leur travail et donc ils sont les uniques propriétaires et pourtant ils ne refusent pas d’aider (a) qui (lui) le leur demande mais ils décideront comment, qui et quand l'aide. Par contre ils ont décidé de mettre en commun leurs fermes, de les fermer, privatiser le chemin communal qui(e) les séparait; pour faire une exploitation plus compétitive. Ils ont recherché des machines pour faire de la farine, des chevaux et d'autres choses ; ils ont recruté une douzaine de travailleurs du village donc ils ne se méfiaient pas des immigres et petit à petit ils ont transformé la ferme en une véritable exploitation artisanale. C’est vrai que l’entreprise a été une révolution pour la commune, ce qui est la solution recherchée pour assurer l'avenir de la population du canton et qui a impliqué l'embauche de nombreux travailleurs mais il n’est pas la meilleure solution si nous parlons de démocratie et d'égalité. Leur (Son) entreprise a été fomentée avec la personne de Verviers (à qui) qu'ils considèrent comme un demi-dieu, et qu'(à qui) écoutent aveuglément; les travailleurs sont traités comme au Moyen Age, les femmes sont traitées comme des esclaves sexuelles et la société ne se soucie que de ses membres. Vraiment cette expérience n’est pas autre chose qu’un moyen de protéger des actifs de ses promoteurs, tout le contraire d’une procédé libertaire.
15/20
vendredi 4 mars 2016
Qu'est-ce qu'on bon livre?
Qu'est-ce qu'un bon livre?
C'est une question à laquelle il est difficile de(à) répondre car elle est subjective et personnelle.
Il y a des gens qui croient que les meilleurs livres sont les plus vendus même s'ils sont mal écrits.
Néanmoins, il y en a d'autres qui pensent qu'un bon livre doit être bien écrit.
À mon avis, un bon livre est celui qui ne me laisse pas indifférente, que j'apprécie (qui me fait jouir NON jouir = follar) comme lectrice indépendamment de comment il est(soit) écrit.
D'abord, quand je lis un livre je veux m'amuser, me distraire et passer un bon moment (temps).
De plus, j'aime les livres qui sont capables de (me) faire naître en moi des émotions, de me faire rêver, réfléchir et me tenir en haleine jusqu'à la fin.
En premier lieu, un bon livre c'est le livre qui nous décrit une histoire qui nous plonge dans un monde nouveau et nous fait exciter l'imagination. Par exemple, les trois tomes du(de "le) Seigneur des Anneaux" nous plonge dans un monde nouveau et surnaturel où l'histoire a un sens car elle nous fait une magnifique réflexion littéraire sur le Bien et le Mal.
Par contre, il y a certain(e)s ouvrages où le plus important ce n'est pas l'histoire. Ils nous permettent de nous plonger dans la peau du personnage, ce qui nous faire dévorer le livre et nous n'avons pas envie de les finir.
Bref, chaque personne a une opinion qui sera différente des autres personnes à l'heure de juger la qualité du livre car elle dépend des caractéristiques du lecteur ou lectrice (âge, sexe, éducation, moeurs, culture...)
Bon travail Maria 14/20
C'est une question à laquelle il est difficile de(à) répondre car elle est subjective et personnelle.
Il y a des gens qui croient que les meilleurs livres sont les plus vendus même s'ils sont mal écrits.
Néanmoins, il y en a d'autres qui pensent qu'un bon livre doit être bien écrit.
À mon avis, un bon livre est celui qui ne me laisse pas indifférente, que j'apprécie (qui me fait jouir NON jouir = follar) comme lectrice indépendamment de comment il est(soit) écrit.
D'abord, quand je lis un livre je veux m'amuser, me distraire et passer un bon moment (temps).
De plus, j'aime les livres qui sont capables de (me) faire naître en moi des émotions, de me faire rêver, réfléchir et me tenir en haleine jusqu'à la fin.
En premier lieu, un bon livre c'est le livre qui nous décrit une histoire qui nous plonge dans un monde nouveau et nous fait exciter l'imagination. Par exemple, les trois tomes du(de "le) Seigneur des Anneaux" nous plonge dans un monde nouveau et surnaturel où l'histoire a un sens car elle nous fait une magnifique réflexion littéraire sur le Bien et le Mal.
Par contre, il y a certain(e)s ouvrages où le plus important ce n'est pas l'histoire. Ils nous permettent de nous plonger dans la peau du personnage, ce qui nous faire dévorer le livre et nous n'avons pas envie de les finir.
Bref, chaque personne a une opinion qui sera différente des autres personnes à l'heure de juger la qualité du livre car elle dépend des caractéristiques du lecteur ou lectrice (âge, sexe, éducation, moeurs, culture...)
Bon travail Maria 14/20
mardi 23 février 2016
AGENDA ONLINE 22/2
Bonjour,
Hier nous avons lu les textes de la page 68-69, nous avons parler sur les limits de la science et on a fait l´exercise 3 de la page 69.
À faire, du cahier, le nº 5 et 6 de la page 52.
À mercredi
Hier nous avons lu les textes de la page 68-69, nous avons parler sur les limits de la science et on a fait l´exercise 3 de la page 69.
À faire, du cahier, le nº 5 et 6 de la page 52.
À mercredi
lundi 22 février 2016
Cours de conversation
Pendant le deuxième quadrimestre, c'est à dire jusqu'à la fin mai, en plus des heures de cours habituelles, à partir du 19 février, vous pouvez, si vous le désirez, assister à des cours de conversation les vendredis lectifs suivants :
Pour toute information, adressez-vous à votre professeur.
La professeure Olivia Médaule assurera auss, au retour des vancances de Pâques, des cours de conversation de 16h à 17h le lundi ou le mardi suivant un calendrier qui sera publié ultérieurement.
JOUR
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VENDREDIS LECTIFS 2ème Quadrimestre
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19/02 et 18/03
16h – 17h
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Ghilène Hazem avec le groupe d’Intermedi 2 Salle 201
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11/03
17h-18h
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Olivia Médaule avec le groupe d'Avançat 1 Salle 201
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08/04
16h – 17h
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Olivia Médaule avec le groupe de Bàsic 2 Salle 201
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15/01
18h-19h
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Olivia Médaule avec le groupe d'Intermedi 1 Salle 201
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29/01
16h-17h
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Olivia Médaule avec le groupe de Bàsic 2 Salle 201
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Pour toute information, adressez-vous à votre professeur.
La professeure Olivia Médaule assurera auss, au retour des vancances de Pâques, des cours de conversation de 16h à 17h le lundi ou le mardi suivant un calendrier qui sera publié ultérieurement.
jeudi 18 février 2016
Mercredi, 17 Fevrier 2016
Bonjour,
Hier, mercredi nous avons vu les différences entre les verbes transitifs et les verbes intransitifs et les compléments qu'ils admettent .Après nous avons fait des exercices en substituant le COD et le COI par pronoms.
Par finir nous avons fait une expression orale sur l'égalité entre les hommes et les femmes .
À faire,
Il y a de plusieurs redactions à faire. Courage!!!
À Lundi et bon week-end
Hier, mercredi nous avons vu les différences entre les verbes transitifs et les verbes intransitifs et les compléments qu'ils admettent .Après nous avons fait des exercices en substituant le COD et le COI par pronoms.
Par finir nous avons fait une expression orale sur l'égalité entre les hommes et les femmes .
À faire,
Il y a de plusieurs redactions à faire. Courage!!!
À Lundi et bon week-end
lundi 1 février 2016
lundi 25 janvier 2016
Lundi 25 janvier 2016
Bonjour Albanne, je suis desolée parce que j'ai la voiture en panne et aujourd'hui je ne pourrai pas venir . Salutations.
dimanche 17 janvier 2016
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
Faites un récit sur l’importance de l’humidité dans ce livre. (200 mots)
L’humidité est un des éléments essentiels dans le livre écrit par Philippe Torrenton, intitulé Mémé.
Tout autour (l’entour) de cette oeuvre a une relation avec l'(a) humidité; sûrement Torrenton souhaitait(ez) obtenir une atmosphère pleine de tendresse où les souvenirs prendraient(prisent) un profil(é) plus intime.
Dans ce sens l’humidité de la région de Normandie où vivait la grand-mère de l’écrivain(ture), lui a (servait) parfaitement servi pour créer cette sensation.
De cette manière(éré), l’auteur du récit rejoint la description du paysage où il passé sa(on) jeunesse, caractérisé par l'(a) humidité, avec la description de sa grand-mère et de petits détails de sa vie pour nous donner un profil intimiste.
Dans les premières pages du livre Torreton fait l'éloge de la pluie et il dit que grâce à Mémé il aime la pluie, comme si elle était la responsable(chargée) de la pluie et attaché? un poème sur la pluie.
Un roman(ce) qui met en évidence c(l)e que la pluie signifie pour lui, espérance, tendresse, qui fait du bien aux rêves, permettant plus à la vie à l'intérieur de la maison; c’est-à-dire favorise la relation de famille.
Alors l’humidité a été le pivot qu(’)a fait que la relation de Torreton avec sa grand-mère a été plus intense, il a adoré (a) sa grand-mère et le coupable était l'(a) humidité.
Bonne analyse littéraire Xavi
14/20
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
La description de son enfance, réalité ou nostalgie ?
Avec le temps, tous nous avons tendance à idéaliser ce que nous avons vécu, tout(s) le temps passé (antérieur) est toujours meilleur que celui d'(l’)aujourd’hui. Sûrement parce que nous étions plus jeunes et nous avions avec nous, les membres les plus proches de notre famille (nos familiers plus prochains). Philippe Torreton, dans ce livre; s'est (-il) rappelé beaucoup des sensations qu’il a vécues dans son enfance. Dans ce livre, il exprime ses premières sensations dans la maison de sa(on) grand-mère, Mémé. Nous pouvons voir(e), comment il ouvrait ses y(j)eux à la vie dans un petit village dans la campagne (au champagne) de la Normandie. Sûrement, deux des aspect(e)s (faits) saillants de cette oeuvre sont l'(a) idéalisation de la figure de sa grand-mère et l'embellissement du(e) lieu où(ont) elle habitait(ée). Torreton donne dans le récit une image réellement tendre de Mémé et montre(é) sa grand force intérieure. Elle est une personne normale, elle n'a rien à mettre en évidence; mais c’est ça c(l)e que Torrenton a mis en valeur. Sa naturalité, sa lutte de tous les jours pour vivre, pour pouvoir se nourrir (faire possible sa nourriture) avec peu de ressources. Torreton met en évidence cet effort(ce) d’une femme pour subvenir aux besoins de (maintenir) sa(on) famille et lui (donne aussi et) ajoute également un degré de sensibilité et de tendresse qui devient un modèle de rôle. Torreton obtient aussi qu’une petite ville sans rien qui la distingue (à distinguer) que l'humidité régnante, d(r)evienne (en) un lieu plein de nostalgie et de charme. Certainement, l’auteur de ce récit essaie d'idéaliser sa(on) jeunes(u)se, sa grand-mère et les lieux où(que) il a vécus et lui donne un point de tendresse. Pourtant, à mon avis cette description est empreinte/pleine de nostalgie. Pour l’auteur la priorité n’est pas de décrire la réalité; sinon un rappel des images et sensations qu'(e) il y a dans la(son) mémoire de sa(on) jeunesse et tout c(l)e qui(e) enveloppait le monde de sa grand-mère.
Très belle et très fine analyse. 13,5/20
Attention Xavi, tu pourrais facilement supprimer des erreurs telles que :
- erreurs sur le genre du déterminant d'un nom (son jeunesse...)
- erreurs de déterminant (la humidité)
- erreurs d'accord substantif/adjectif (l'humidité régnant)
- tout le que
- que/qui
Avec le temps, tous nous avons tendance à idéaliser ce que nous avons vécu, tout(s) le temps passé (antérieur) est toujours meilleur que celui d'(l’)aujourd’hui. Sûrement parce que nous étions plus jeunes et nous avions avec nous, les membres les plus proches de notre famille (nos familiers plus prochains). Philippe Torreton, dans ce livre; s'est (-il) rappelé beaucoup des sensations qu’il a vécues dans son enfance. Dans ce livre, il exprime ses premières sensations dans la maison de sa(on) grand-mère, Mémé. Nous pouvons voir(e), comment il ouvrait ses y(j)eux à la vie dans un petit village dans la campagne (au champagne) de la Normandie. Sûrement, deux des aspect(e)s (faits) saillants de cette oeuvre sont l'(a) idéalisation de la figure de sa grand-mère et l'embellissement du(e) lieu où(ont) elle habitait(ée). Torreton donne dans le récit une image réellement tendre de Mémé et montre(é) sa grand force intérieure. Elle est une personne normale, elle n'a rien à mettre en évidence; mais c’est ça c(l)e que Torrenton a mis en valeur. Sa naturalité, sa lutte de tous les jours pour vivre, pour pouvoir se nourrir (faire possible sa nourriture) avec peu de ressources. Torreton met en évidence cet effort(ce) d’une femme pour subvenir aux besoins de (maintenir) sa(on) famille et lui (donne aussi et) ajoute également un degré de sensibilité et de tendresse qui devient un modèle de rôle. Torreton obtient aussi qu’une petite ville sans rien qui la distingue (à distinguer) que l'humidité régnante, d(r)evienne (en) un lieu plein de nostalgie et de charme. Certainement, l’auteur de ce récit essaie d'idéaliser sa(on) jeunes(u)se, sa grand-mère et les lieux où(que) il a vécus et lui donne un point de tendresse. Pourtant, à mon avis cette description est empreinte/pleine de nostalgie. Pour l’auteur la priorité n’est pas de décrire la réalité; sinon un rappel des images et sensations qu'(e) il y a dans la(son) mémoire de sa(on) jeunesse et tout c(l)e qui(e) enveloppait le monde de sa grand-mère.
Très belle et très fine analyse. 13,5/20
Attention Xavi, tu pourrais facilement supprimer des erreurs telles que :
- erreurs sur le genre du déterminant d'un nom (son jeunesse...)
- erreurs de déterminant (la humidité)
- erreurs d'accord substantif/adjectif (l'humidité régnant)
- tout le que
- que/qui
L'alimentation et le recyclage dans les campagnes
Réécrivez comme un récit journalistique qui présenterait l’alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant les pages 69, 70 et deux premières lignes p 71.
Dans son livre Mémé, Philippe Torreton a décrit parfaitement comment à l’époque de sa grand-mère les gens étaient réellement conscients de la nécessité de protéger l'environnement. Et tout ça, sans avoir nécessité de grandes campagnes publicitaires.
Au XX siècle, la consommation alimentaire des personnes qui(e) comme Mémé, vivaient dans la campagne, était basée fondamentalement sur leur(a) propre production.
Très peu(,) de son alimentation provenait des magasins, le lait de la crémière, les légumes chez la sœur de la crémière et quelques autres choses occasionnellement.
Cette façon(forme) de vivre, très différente de celle(l’)aujourd’hui, était la(e) plus propre et la plus durable (soutenable).
Dans le monde actuel(le), tout est très diffèrent, la surconsommation, la vulnérabilité de l'(u) environnement. C’est une autre façon(forme) de vivre, très opposée à celles des gens qui(e) comme Mémé vivaient dans l’équilibre avec l’environnement et elle est à l'origine de la destruction progressive.
Tout était simple dans la vie de Mémé comme des autres personnes (gens), qui(e) vivaient en plein(e) équilibre avec la nature, pas de (rien) de pollution, pas de (rien) déchets.
Nous pouvons affirmer, en(avec) toute sécurité, qu'au (e dans le) temps de Mémé, il n’y avait pas de trou dans la couche d’ozone, ou les îles de plastique ou (de) la pollution de l'environnement. Aucun pays n’interdit la conduite de véhicules au moment des (sur les) niveaux élevés de pollution ; la période dans laquelle vécut Mémé (ce) fut un moment de stabilité dans laquelle les gens passaient sans laisser de séquelles qu'ils auraient pu (de lesquelles se) regretter.
J'aime beaucoup ta façon d'écrire. Tu pourrais très facilement supprimer de nombreuses erreurs de langue.
14/20
mercredi 13 janvier 2016
L'alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant.
L'alimentation pendant les années 70 (soixante-dix) était très différente de l'alimentation (que l')actuelle. Elle était plus simple.
Mémé se nourrissait de tout ce que son potager lui donnait et des animaux qu'elle avait dans la ferme.
Tous les légumes(vegetaux) venaient (ont vient) de son potager . Il y avait des moutons, des poulets, des vaches et des dindons dans la ferme. Elle achetait à peine quelques produits : (À peine peu des produits on les achetait. Elle achetait) de la crème chez la cremière et quelques (des) légumes qu'elle ne produisait pas elle-même chez la soeur de la cremière.
Auparavant les produits pour se nourrir provenaient de la région ou des alentours .
Il n' y avait pas de supermarché.
Rien n'était gâché, jamais. Chez Mémé un poulet leur faisait trois jours ou trois repas.
Avec le frigo vide ils mangeaient bien. Elle avait une arme secrète: la soupe au riz. Du riz cuit à saturation dans du lait entier. Il n'y avait pas besoin de Nutella, ils mangeaient de la pâte à tartiner de Vémé qui(e c')était de la graisse de porc et quand il n'y avait pas de porc ils se nourrissaient de l'écume de la gelée de groseilles.
À la campagne on recyclait tout ce qu'(i )on pouvait. Dans une ferme on y trouvait de tout mais rafistolé, pas neuf. Avant de faire quelque chose il fallait(ut) réparer l'outil, parfois il fallait(ut) savoir le fabriquer.
Mémé gardait l'eau de vaisselle (à) afin de la réutiliser. Elle employait plusiers fois un sac en plastique et elle lui trouvait toujours une utilité.
Bref, grâce à ce recyclage elle s'est assurée que la terre puisse servir encore à s(l)a descendance sans que celle-ci soit (être) obligée de la décontaminer.
Bonne analyse Maria. Attention toutefois à des erreurs de langues fossilisées et des erreurs de concordance des temps, il faut réussir à les supprimer. Courage !!!
13/20
Mémé se nourrissait de tout ce que son potager lui donnait et des animaux qu'elle avait dans la ferme.
Tous les légumes(vegetaux) venaient (ont vient) de son potager . Il y avait des moutons, des poulets, des vaches et des dindons dans la ferme. Elle achetait à peine quelques produits : (À peine peu des produits on les achetait. Elle achetait) de la crème chez la cremière et quelques (des) légumes qu'elle ne produisait pas elle-même chez la soeur de la cremière.
Auparavant les produits pour se nourrir provenaient de la région ou des alentours .
Il n' y avait pas de supermarché.
Rien n'était gâché, jamais. Chez Mémé un poulet leur faisait trois jours ou trois repas.
Avec le frigo vide ils mangeaient bien. Elle avait une arme secrète: la soupe au riz. Du riz cuit à saturation dans du lait entier. Il n'y avait pas besoin de Nutella, ils mangeaient de la pâte à tartiner de Vémé qui(e c')était de la graisse de porc et quand il n'y avait pas de porc ils se nourrissaient de l'écume de la gelée de groseilles.
À la campagne on recyclait tout ce qu'(i )on pouvait. Dans une ferme on y trouvait de tout mais rafistolé, pas neuf. Avant de faire quelque chose il fallait(ut) réparer l'outil, parfois il fallait(ut) savoir le fabriquer.
Mémé gardait l'eau de vaisselle (à) afin de la réutiliser. Elle employait plusiers fois un sac en plastique et elle lui trouvait toujours une utilité.
Bref, grâce à ce recyclage elle s'est assurée que la terre puisse servir encore à s(l)a descendance sans que celle-ci soit (être) obligée de la décontaminer.
Bonne analyse Maria. Attention toutefois à des erreurs de langues fossilisées et des erreurs de concordance des temps, il faut réussir à les supprimer. Courage !!!
13/20
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