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dimanche 13 mars 2016

ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"



Relevez dans le livre les effets et différentes étapes de la sécession de la ferme Verviers.

Jean-Claude Verviers avait construit peu à peu une ferme qui comptait, au moment où le phénomène est arrivé, parmi les plus prospères de la région.
À cause du tempérament réservé et de la rigidité en affaires de son propriétaire, personne ne l'aimait guère.
D'abord, Jean-Claude n'a pas été (était pas) touché par les angoisses des Châtillonnais sensibles, à qui la réduction du monde faisait reconsidérer le sens de leur présence sur Terre.
En quelque sorte, il vivait déjà en reclus avant l'arrivée de cette nouvelle situation d'isolement du village. Et il aimait cette vie. On peut le constater en lisant l'extrait suivant: «Châtillon était son univers, la colline d'en face son horizon, pourquoi s'interroger sur ce qu'il y avait au-delà? Que Paris, Londres et l'Amérique aient disparu, quelle importance!» «En son for intérieur, il jugeait stupide de chercher ailleurs une herbe plus verte.»
Il s'intéressait plus à sa ferme qu'au village. Son souci pour le monde extérieur s'étendait presque à Châtillon même. (page 92-93)
Et ce jusqu'au moment où il a reçu la visite du maire d'Ouilliers, Patrick Tellier, venu pour faire le point sur la situation des exploitations agricoles.
À partir de ce moment-là, il a eu (avait) la puce à l'oreille. Il a soupçonné (soupçonna) que sa ferme et ses produits étaient susceptibles (en risque) d'être réquisitionnés pour  être partagés (les partager).
Voici le point culminant qui a bouleversé son attitude et sa relation avec les autres. Ce fait a été (fut) déterminant pour commencer la sécession de la ferme.
À partir de ce moment-la il s'est mobilisé (se mobilisa) pour construire des barrières frontalières, fusionner «l'exploitation de son voisin Schmitz et la sienne, et former un nouveau pays pour proclamer son indépendance politique» (page 104).
Ils ont ensuite créé (On avait crée) une nouvelle organisation sociale autour du ranch(ge), très semblable (pareille) à celle d'une société féodale, dont Verviers symbolisait le seigneur tout puissant placé au (dans le) sommet. Cette nouvelle population était devenue le seul exemple de progrès et l'unique espoir pour surmonter la situation à laquelle les châtillonnais étaient soumis. Depuis le moment où ils sont restés enfermés, toute sorte de communication avec l'extérieur a cessé, et la même chose avec les provisions et les marchandises qu'on recevait chaque jour au village. Ces faits ont causé beaucoup de problèmes dans un village trop dépendant des relations commerciales avec d'autres villes pour son approvisionnement.
Par contre, chez Mr. Verviers, on pouvait disposer de tous les produits basiques dont on avait besoin pour subsister. Là, on produit ce dont on a (avait) besoin. Enfin, la ferme était devenue un petit oasis au milieu du désert.
Mais contrairement au cas de Jean-Claude Verviers, il y avait des personnes qui ne supportaient pas d'être privés du contact avec l'extérieur. Ces personnes pour qui le seul monde qu'ils avaient était à travers les écrans et les téléphones. Or, ce monde ayant disparu, il ne leur restait rien.
L(C)es faits qu'on nous raconte dans cette histoire, ils font que les choses aient une valeur qu'elles n'avaient pas auparavant. On estime de nouveau d'autres façons de vie antérieures, avec plus de ressources naturelles et sans autant de progrès technologiques.

Le ranch(ge) Verviers, cependant, n'a pas survécu (ne survécut pas) longtemps à la mort de son (du) fondateur. Et comme cette mort a été accidentelle (fut à cause d'un accident), on n'avait pas préparé sa succession. Arriva donc ce qui était le plus possible qu'il arrivât : l'implosion.

Bon travail 16/20

ACTIVITÉS DE LECTURE SUR LE LIVRE "LE VILLAGE ÉVANOUI"


Relevez et développez les arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la nourriture. (p 39-44)

Le village se trouve dans une situation d'incertitude et au bout du désordre social. Il faut prendre des décisions déterminantes et, surtout, en ce qui concerne les (aux) besoins les plus basiques.
En rapport à la répartition de la nourriture, l'argument principal que R. Pithrier expose est que personne ne peut être accusé d'imprévoyance.
Il défend une répartition équitable des marchandises. À son avis, pour faire une répartition juste, on devrait partager la nourriture parmi les familles, en proportion du nombre de membres.
Malgré ses arguments, il y a des personnes qui pensent (opinent) de façon différente (à lui), comme par exemple, Mr. Bavier, qui dit qu'«il n'y a qu'à laisser faire le marché. Si les prix vont flamber, c'est un risque à prendre.» Mais Pithrier (leur) réfute leurs arguments en affirmant que cette proposition n'est pas tenable. «Ce serait la prime aux plus riches» -dit il.
D'autres, comme Ancel Bernet, le traitent de communiste. Et il se défend: «Il ne s'agit pas de communisme, mais de justice.»
Finalement, il a posé un exemple ou comparaison pour «enfoncer le clou», celui dont on devait faire les valises sans savoir la destination.

Voilà, en retournant à l'argument principal, tout le monde est d'accord: «On n'imaginait jamais que le village serait coupé du monde. Alors, si ce n'est pas de leur faute, il serait injuste de leur en faire payer les conséquences».

Développement un peu court mais bien écrit  14/20

dimanche 10 janvier 2016

La grand-mère de Philippe Torreton

 
La grand-mère de Philippe Torreton

Mémé, c'est comme cela que Philippe Torreton appelle sa grand-mère. C'est un mot que l'on n'utilise jamais aujourd'hui. Mais pour lui c'est sa mémé et il l'emploie dans le sens familial(e).
C'est une femme qui est née en 1914, un siècle avant la publication de l’œuvre que l'auteur -son petit-fils- a écrit pour lui rendre un bel hommage.
Elle vivait dans une bicoque humide du côté de Pont-Audemer, à Triqueville.
Son enfance a été très dure, car elle a vécu les pénuries et les malheurs de la guerre et de l'invasion germanique, (la) cause pour laquelle elle a perdu son père et son frère.
Quand elle grandit, à sa majorité(turité), elle s'est mariée deux fois dont la première à Paris -elle est seulement allée deux fois dans(à) cette ville au cours(large) de sa vie-.
Du premier mariage avec Lucien Lehoc, elle a eu trois enfants. Plus tard ils (se s)ont divorcé(s) et, un an après son divorce, elle s'est remariée avec Marie-René Porte. Celui-ci était un homme veuf avec cinq enfants dont la mère était(est) morte à cause d'une maladie. Denise s'est chargée de tous les enfants(fils) et, en plus, avec ce deuxième mari, le «pépé» de l'auteur de l’œuvre, Denise a eu un autre enfant (en commun). Plus tard il s'est tué à Solex et il s'est fait enterrer près de sa première femme. Alors elle est restée veuve.
Elle a quitté la ferme, là où elle sentait la pomme à cidre, donnait des prénoms de filles à ses vaches, tutoyait ses poules et ses picots, afin de travailler en usine, et permettre ainsi à ses filles de poursuivre leurs études.
Elle souhaitait la ville de Paris pour ses enfants parce qu'elle veut dire liberté. C'était en 1995, Denise avait 80 ans passés, quand pour la première fois de sa vie, elle est montée (montait) dans le train Corail qui la conduirait à Paris pour la (par) deuxième fois dans sa vie, pour venir applaudir à la Comédie-Française son petit-fils dans «le Barbier de Séville».
Mémé est décédée en 2005, à l'hôpital de Pont-Audemer.

Bon travail Jordi.         15/20

La description de son enfance, réalité ou nostalgie?



La description de son enfance, réalité ou nostalgie?

Il(C')est vrai qu'on ne perçoit pas les choses qui nous(lui) arrivent de la même façon dans les différentes étapes de la vie. À mesure qu'on grandit, on connaît plus de choses et on a plus d'expérience. En définitive(f), la réalité change parce qu'on mûrit(e).
On peut apprécier une maturation de la relation entre l'auteur et Mémé dans l’œuvre. Par exemple, avec le sujet de la mort. D'abord, quand l'auteur était un "gars", un enfant, il craignait la mort de sa grand-mère. Par contre, à la fin du livre, il décrit la mort de Mémé comme une libération et il est relativement content. Il tombe dans cet aspect. (page 139): «Tu peux y aller Mémé. Lâche l'affaire. Tu peux partir en vacances pour la première fois de ta vie».
D'autre part, ce n'est pas possible de se souvenir de tout. On se souvient de ce qui nous(lui) a frappé le plus, de ce qui est le plus significatif pour nous(lui) et on efface ce qui n'est pas très important.
Alors, en retournant à la question qui nous occupe, est-ce qu'il s'agit de la réalité ou de la nostalgie quand on fait une description de son enfance? À mon avis c'est une question très subjective. Je crois que quand on décrit son enfance, et même Philippe Torreton, on décrit ce qui(e) pour nous(lui) (c')est la réalité à(en) ce moment-là.
Mais il(c')est vrai qu'il y a toujours une composante nostalgique pour la tristesse ou la mélancolie qu'on sent à cause de quelque chose qu'on a perdu et qu'on ne récupérera plus.

Bon travail et bonne analyse Jordi.  16/20

Fiche schématique avec toutes les informations dont on dispose sur la grand-mère de Philippe Torreton

      Fiche schématique avec toutes les informations dont on dispose sur la grand-mère de Philippe Torreton
 
Données biographiques et liens familiaux(les).
  • Elle est née en Normandie en 1914 (on pourrait dire un siècle avant la publication de ce livre) et elle vivait à Triqueville.
  • Elle s'est mariée deux fois dont la première à Paris:
    - Du premier mari, qui s'appellait(e) Lucien Lehoc, elle a(s'est) divorcé(e) après avoir eu trois enfants. Il est mort sept ans avant le second mari.
    - Le deuxième mari, qui s'appellait(e) Marie-René Porte, était un homme veuf avec cinq enfants dont la mère était(est) morte à cause d'une maladie. Mémé s'est mariée avec lui un an après son divorce avec le premier, et ils ont eu un enfant ensemble(en commun) qui s'appelait Alain.
       Ce deuxième mari est le pépé de l'auteur du livre. Il s'est tué à Solex (page 114) et il s'est fait enterrer près de sa première femme (page 100).
  • Elle a quitté la ferme afin de travailler en usine, et permettre ainsi à ses filles de poursuivre leurs études (page 49).
  • La vie de Mémé se sera déroulée au cours d'une période d'inventions sans précédent dans l'histoire de la humanité (page 78).
  • Son frère aîné s'appelait André Grosselin. Il est mort (meurt) aussi avant mémé.
  • Mémé est décédée en 2005, à l'hôpital de Pont- Audemer.

Données curieuses et d'autres informations sur elle.
  • Elle a les yeux gris (page 48). C'est la seule information sur ses(leurs)  traits physiques que l'auteur nous apporte dans le livre.
  • Elle avait toujours quelque chose qui faisait du bien = Les remèdes de grand-mère: «Mémé Samu» (page 31).
  • Mémé aimait les fleurs (page 36).
  • Elle est allée deux fois à Paris (page 41).
  • Elle aurait aimé faire de la musique (page 48).
  • Elle souhaitait la ville de Paris pour ses enfants parce qu'elle veut dire liberté (page 44-45).
  • Elle n'était pas avare. Elle était très généreuse avec les siens (page 50: Tu n'étais pas avare…).
  • Elle n'est pas pour le capitalisme et la consommation. Mais tout au contraire (page 51,53: «Elle tire profit de tout…). Dans son monde, toute dépense d'énergie devait être liée à une activité laborieuse (page 93).
  • Elle n'aimait pas du tout (rien) la politique. Elle n'en parlait jamais (page 55).
  • Elle n'aimait pas les bises (page 68).
  • Dans la ferme de Mémé (page71):
    - on y trouve de tout mais rafistolé;
    - avant de faire quelque chose il faut réparer l’outil.
  • Mémé gardait tout, «...car tout pouvait resservir un jour» (page 74).
  • Elle avait une voiture, une Renault 4L (page 84).
  • Les dates de péremption ne servaient à rien chez Mémé (page 85).
  • Comme curiosité: elle ronflait quand elle dormait.
  • Je crois qu'elle aimait bien lire pour ce qu'on peut lire (a lu) à(dans) la page 16 «Surement un cadeau France Loisirs pour une commande de beaux livres», et dans la page 23 «On y trouvait toute la saga des ''ois(s)eaux se cachent pour mourir'' en gros livres France Loisirs...».
  • Elle n'était pas superstitieuse ni religieuse «Pas besoin de corbeille dispendieuse posée sur la table, ni de croix chrétienne tracée sur la croûte,...noir».
  • Mémé aimait bien les histoires d'amour. En plus, on sait que pour les lire, elle s'asseyait près de la fenêtre. Elle lisait sérieusement, le journal d'un jour lui faisait la semaine.
Un travail parfait avec beaucoup de recherches.     17/20

Mémé. L’importance de l’humidité dans le livre.

 
L’importance de l’humidité dans le livre

L'humidité (c')est un élément (une qualité) qui est toujours présent(e) dans le contexte où l'auteur situe tous les souvenirs de son enfance. C'est à dire, en (à la) Normandie, en particulier dans la maison de Denise Porte.
(Page 11-12: «Nous étions au bout de la maison, côté ouest, celui qui reçoit la Normandie pluvieuse en pleine face, une étrave de bateau. Ma chambre était si petite que les cloques d'humidité du papier peint empiétaient vraiment sur le volume disponible, juste, la place pour un édredon glacé, un placard et une machine à coudre à pédale. Quatre murs mouillés ceinturaient mon lit, les forces du dehors les avaient repoussés jusqu'à ses abords immédiats, il fallait se faufiler pour aller dormir, pieds de profil et torse de face en évitant de toucher la sueur froide des murs.»
Page 13: «...l'odeur d'une chambre humide,...»)
Elle est la raison pour laquelle beaucoup de choses sont tellement comme elles sont dans l'endroit où est placée la maison de Mémé. On la perçoit par tous les sens. À travers (de) l'odeur, le (du) froid, la (du) couleur verte, (de) la pluie… (Voir poème de la page 14-15: «Ta pluie fait fumer la terre...»). Voilà, si l'on perçoit, on sent, on vit. Et surtout, on met en rapport des faits, des images, des expériences qu'on a vécues avec des sensations.
Grâce à ces sensations en rapport à l'humidité, Philippe Torreton se souvient de beaucoup de choses en rapport avec (à) sa grand-mère et avec la (au) période de sa vie qu'il a partagée avec elle, parce qu'il s'en souvient bien (des petits détails que lui évoque cette qualité climatologique du terrain) et peut-être est-elle (, elle soit) celle qui lui inspire la plupart de ses souvenirs.

14/20

mardi 10 novembre 2015

Tâche 2. Conte africain: Attention aux orphelins

Tâche 2. Conte africain: Attention aux orphelins

Autrefois, dans le village de Gani-Gawané, les orphelins étaient rejetés et abandonnés. Selon cette triste habitude, une année, à l'approche de la saison des pluies, le petit Adamou fut emmené dans une brousse lointaine parce que personne ne voulait plus s'occuper de lui: un de ses oncles qui l'avait recueilli après la mort de ses parents et l'avait élevé presque dix ans, mourut lui aussi et sa veuve avait beaucoup de mal à élever ses propres enfants. Le chef du village à qui elle avait fait appel décida donc d'abandonner le petit Adamou.
Ainsi l'enfant se retrouva-t-il seul, parmi les animaux sauvages, à des lieues du village le plus proche. Comme par miracle, il a trouvé…
...une petite cabane (à boîte') au milieu de la(u) brousse.
Il s'est approché pour l'inspecter. Ce qui(e) l'(lui) intéressait le plus était de savoir s'il y habitait quelqu'un et s'il pouvait (s')en profiter.
Cette trouvaille pouv(rr)ait(-elle) être vitale pour sa survie.
D'abord il l'a contourée (entourée) en cherchant un(quelque) espace qui lui permettrait de regarder à l'intérieur et voilà, il y avait deux fenêtres, mais elles avaient des grilles et derrière, à une distance inaccessible pour lui, les vitres étaient si sales qu'il ne pouvait pas distinguer les différents objets de l'intérieur avec clarté.
Alors, il a décidé d'y entrer. Il s'est placé devant la porte et il a frappé avec son poing. Personne ne lui a répondu et il(on) n'a (pas) écouté aucun bruit. Il a essayé d'ouvrir mais elle était verrouillée. Alors il a décidé de la forcer. Finalement, quand il a réussi à y entrer, il a trouvé beaucoup d'objets qui(e) pouvaient lui être utiles pour survivre (une machette, une hache pour couper du bois, des pièges pour chasser, deux fusils avec leurs munitions, des cordes, des outils pour cuisiner…) et surtout, le plus important, un nouveau foyer pour se mettre à l'abri pendant un temps.
Il a trouvé aussi d'autres choses très curieuses qui (lui) ont attiré son(l')attention. Et cinq semaines plus tard, il a fait une découverte très «mystérieuse» à l'intérieur de la cheminée.
Il y avait caché un coffre fort qui empêchait la fumée de sortir . C'est comme (pour) ça qu'il l'a découvert. Il a essayé de l'ouvrir en utilisant tout son génie. Enfin, il a trouvé la solution à ses problèmes…

(258 mots)                                                15/20

 Texte au Passé simple 
 
Il s' approcha pour l'inspecter. Ce qui l'intéressait le plus était de savoir s'il y habitait quelqu'un et s'il pouvait en profiter.
Cette trouvaille pouvait être vitale pour sa survie.
D'abord il la contourna en cherchant un espace qui lui permettrait de regarder à l'intérieur et voilà, il y avait deux fenêtres, mais elles avaient des grilles et derrière, à une distance inaccessible pour lui, les vitres étaient si sales qu'il ne pouvait pas distinguer les différents objets de l'intérieur avec clarté.
Alors, il décida d'y entrer. Il se plaça devant la porte et il frappa avec son poing. Personne ne lui répondit et il n'écouta aucun bruit. Il essaya d'ouvrir mais elle était verrouillée. Alors il décida de la forcer. Finalement, quand il réussit à y entrer, il trouva beaucoup d'objets qui pouvaient lui être utiles pour survivre (une machette, une hache pour couper du bois, des pièges pour chasser, deux fusils avec leurs munitions, des cordes, des outils pour cuisiner…) et surtout, le plus important, un nouveau foyer pour se mettre à l'abri pendant un temps.
Il trouva aussi d'autres choses très curieuses qui attirèrent son attention. Et cinq semaines plus tard, il fut une découverte très «mystérieuse» à l'intérieur de la cheminée.
Il y avait caché un coffre fort qui empêchait la fumée de sortir. C'est comme ça qu'il le découvrit. Il essaya de l'ouvrir en utilisant tout son génie. Enfin, il trouva la solution à ses problèmes…