Marie au mariage de sa soeur
Marie était la soeur aînée de Bérengère. Sa soeur Laurence s'est mariée à vingt-cinq ans, Bérengère se mariait à vingt-six et Marie en avait déjà vingt-huit ans et elle était la seule qui restait célibataire. Pour cela elle avait l'impression que toute la famille la regardait avec un air de pitié.Elle avait un travail qui l'appassionait, elle était scientifique, cela était son priorité, cependant sa famille n'était pas intereée à son travail, selon Marie , le seule chose qui comptait pour eux était le fric.
Elle était la brevis galeuse, ses deux soeurs avaient herité l'élégance de leur mère mais selon sa famille Marie était ronde et elle n'avait pas de goût pour s'habiller. Pour aller au mariage elle a acheté une petite robe noire et un chapeau superbé, tout pour être charmante, mais malgré tout quand elle est arrivée à l'église, elle a souffert les commentaires de sa mère about son tenue et son chapeau et elle s'est sentie humillée.
Après la cérémonie Bérengère lui a presenté la soeur de son mari , Agnès, qui d'abord lui a fait un compliment sur son chapeau, ce qui a influencé l'instauration d'un climat favorable entre elles. Agnès lui a racontée qu'elle avait aussi désespéré sa famille puisque elle était avocat mais l'avait laissé tomber pour s'engager dans un organisme humanitaire. Marie était une personne très vulnerable mais après avoir rencontré une personne qui d'un certe point de vue lui ressemblait elle a decidé que ne l'atteindrait rien et quand la fête était à son apogée Agnès a invité á Marie à dancer et elle a trouvé que c'était le moment de dire oui. Auparavant Marie avait dancé avec des femmes mais jamais devant sa famille,Elles sont devenues face à face et en fermant les yeux Marie a posé ses lèvres sur celles d' Agnès qui a repondu au baiser. C'était le moment de se montrer comme elle était réellement et en plus d'être fière de cela.
À la fin le mariage de sa soeur que d'abord elle pensait qui l'ennuierait il avait été fantastique pour elle, le fait de connaître Agnès l'a rendue heureuse.
Vous êtes maintenant dans le cycle Avancé, FÉLICITATIONS ! Ce blog vous est destiné. Vous y trouverez des activités spécialement conçues pour vous. Si vous désirez d'autres rubriques, d'autres activités..., n'hésitez pas à me le dire. Cet espace est aussi le vôtre, vous pouvez y collaborer par des photos, des textes ou toute autre chose, n'hésitez pas à le faire. Il vous servira aussi parfois pour "poster" des rédactions ou tout autre activité à faire à la maison.
Affichage des articles dont le libellé est Red Montse Aranda. Afficher tous les articles
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samedi 26 novembre 2016
samedi 8 octobre 2016
Rédaction
À votre avis, quelle image les étrangers ont-ils
de votre pays ?
L’Espagne est un
lieu que les gens d’autres pays aiment bien visiter, mais ils ont une image
très
stéréotypée de notre pays parce qu’il y a beaucoup de clichés(topiques) qui circulent et qui ne sont pas
totalement réels (bien que certains le(en) soient ).
D’abord ils pensent que nous ne travaillons pas aussi dur(e) que les gens de leur(s) pays, que nous
sommes paresseux(très vagues) et que nous aimons plus faire la fête et dormir la sieste que travailler.
stéréotypée de notre pays parce qu’il y a beaucoup de clichés(topiques) qui circulent et qui ne sont pas
totalement réels (bien que certains le(en) soient ).
D’abord ils pensent que nous ne travaillons pas aussi dur(e) que les gens de leur(s) pays, que nous
sommes paresseux(très vagues) et que nous aimons plus faire la fête et dormir la sieste que travailler.
Les Espagnols, en particulier ceux du sud, ainsi (tels) que les Italiens et leshabitants de toute (la région de) la Méditerranée
ont un caractère plus ouvert et plus joyeux que les gens(t) du nord de l’Europe mais je crois qu’il s’agit
d’une autre manière de voir la vie, ici on travaille pour vivre, (pas) on ne vit pas pour travailler.
Notre pays est beaucoup mieux que les étrangers ne lepensent, mais c’est encore beaucoup plus de ce que
nous croyons.
ont un caractère plus ouvert et plus joyeux que les gens(t) du nord de l’Europe mais je crois qu’il s’agit
d’une autre manière de voir la vie, ici on travaille pour vivre, (pas) on ne vit pas pour travailler.
Notre pays est beaucoup mieux que les étrangers ne lepensent, mais c’est encore beaucoup plus de ce que
nous croyons.
13,5/20
mercredi 25 novembre 2015
Rédaction , Mémé 4
Ode à ma grand- mère,
J’ai seulement connu une grand-mère, la mère
de ma mère. Elle s’appelait Maria et je lui dois mon premier prénom (à elle). Mon(L’)autre
grand- mère est morte avant(s de) ma(on) naissance et je ne l’ai pas connue.
Ma grand-mère a été une femme dure car elle était mère de six enfants, ma mère
était la cinquième, et son mari était mort pendant(dans) la guerre civile. Après toute
sa vie elle a porté des habits de deuil comme d’ habitude en (dans) ce temps-là. Elle a dû, en
plus de s’occuper de ses enfants, (que) se mettre à travailler pour les
élever et sa(la) vie (le) a été difficile.
Mon oncle , le fils aîné, est parti au Pays
Basque pour travailler et il achetait du(e) poisson qu’il envoyait à sa mère pour qu'elle le vende (le vendre) dans le village où elle habitait.
Elle était comme(nt) je l’ai déjà dit, une femme dure mais aussi très
affectueuse, tranquille et sereine, tous ses enfants étaient très fiers d’elle
et tous l’aimaient beaucoup. Je ne me rappelle (pas d’)aucune réprimande que
j’aie(s) reçu d’elle.
Malgré le fait que je me souvienne(s) d’elle comme d'une personne âgée, elle avait seulement
onze ans de plus que moi quand elle est morte et(y) elle est morte (va mourir) entourée de tous
ses enfants et ses petits- enfants ; tous nous l’avons aimée et je sais que ma
mère a ressenti sa perte pendant longtemps (beaucoup d’années).
Moi , je suis grand- mère et je voudrais que
mon petit-enfant aime(ait) sa grand - mère, au moins autant que (, comme) j’aimais la mienne,
Attention aux structures qui amènent le subjonctif et aux comparatifs. 13/20
Attention aux structures qui amènent le subjonctif et aux comparatifs. 13/20
mardi 24 novembre 2015
Rédaction .Mémé 3
L'humidité
Dans ce livre, l'humidité a un rôle de premier plan (protagoniste) parce que la description de l'ambiance(t) où se développe la vie de P. Torreton pendant son enfance fait que nous pouv(i)ons sentir et presque toucher (tâtonner) l'humidité.
La ferme de Mémé était située en Normandie, sur (dans) la côte Atlantique de la France et par conséquent le climat est très pluvieux et la température n'est pas extrême mais par l' effet de l' humidité il fait très (trop de froid à l' hiver et trop de chaleur en (à l') été.
La maison de Mémé était pauvre , il y avait toujours une odeur de chambre humide, en plus il y avait une mauvaise isolation. Comme(nt) P. Torreton dit , c´était une maison classée "Z". Pendant tout le temps la pluie frappait les petit carreaux et il y avait des bassines dans (outre) la maison. Quand le carrelage était lavé l' humidité résistait pendant des jours.
L' endroit de la maison où le plus d'humidité se concentrait était la salle de bains, elle avait une moiteur constamment, le plastique marbré qu'il y avait se soulevait.
Pour le même motif ils mangeaient le pain mou, humide et élastique. Le pain était mou et le beurre si dur qu'on (i) ne (se) pouvait pas l'éte(i)ndre sur le pain.
Malgré tout cela , P. Torreton dit qu' il aime la(e) pluie.
Attention aux accords Montse. 13/20
Dans ce livre, l'humidité a un rôle de premier plan (protagoniste) parce que la description de l'ambiance(t) où se développe la vie de P. Torreton pendant son enfance fait que nous pouv(i)ons sentir et presque toucher (tâtonner) l'humidité.
La ferme de Mémé était située en Normandie, sur (dans) la côte Atlantique de la France et par conséquent le climat est très pluvieux et la température n'est pas extrême mais par l' effet de l' humidité il fait très (trop de froid à l' hiver et trop de chaleur en (à l') été.
La maison de Mémé était pauvre , il y avait toujours une odeur de chambre humide, en plus il y avait une mauvaise isolation. Comme(nt) P. Torreton dit , c´était une maison classée "Z". Pendant tout le temps la pluie frappait les petit carreaux et il y avait des bassines dans (outre) la maison. Quand le carrelage était lavé l' humidité résistait pendant des jours.
L' endroit de la maison où le plus d'humidité se concentrait était la salle de bains, elle avait une moiteur constamment, le plastique marbré qu'il y avait se soulevait.
Pour le même motif ils mangeaient le pain mou, humide et élastique. Le pain était mou et le beurre si dur qu'on (i) ne (se) pouvait pas l'éte(i)ndre sur le pain.
Malgré tout cela , P. Torreton dit qu' il aime la(e) pluie.
Attention aux accords Montse. 13/20
jeudi 19 novembre 2015
Mémé , Redaction 2
L'enfance de Philippe Torreton
Après des semaines d' hôpital les parents de P. T. l' ont confié à sa grand-mère, (à) Mémé, pour se remettre d' une maladie. Il a(vait) donc grandi chez Mémé qui vivait dans (était) une petite ferme normande. De ce temps-là il a des souvenirs un peu épuisant(e)s comme(nt) les apnées de Mémé qui l'inquiétaient (dont lui faisaient être inquiet) ; il l'écoutait dormir et respirer pendant la nuit (les nuits), il se considérait comme(nt) le gardien de nuit de Mémé. Après (de) chaque apnée il attendait qu' elle recommence(çait) à respirer à nouveau (une autre fois) d' une manière normale. Il était heureux de vivre (en vivant) à la campagne où il a appris les mots, les habitudes .... etc. Pour lui être à la ferme fut un vrai plaisir.
Plus tard il a recommencé à vivre avec ses parents , mais toutes les vacances de Noël, de Pâques, les mois d'été (mes Juillets, mes Aoûts) et tous les week- ends il allait chez Mémé.
Au collège, Philippe a fabriqué une pelle à poussière et il l' a offerte à Mémé comment preuve de que son petit-fils savait travailler avec ses mains et aussi de qu' il n' avait pas employé d'(l') argent pour lui faire un cadeau(x). Il a été fier(ère) d' avoir appris à être loin de la société de consommation citadine.
À la ferme on (y) fallait aider et en plus il voulait prouver à sa grand- mère qu'il pouvait être utile et faire(te) un travail de paysan. Philippe et son frère travaillaient à la campagne et leur grand -mère allait avec un panier et leur(s) apportait du pain , du fromage, du cidre.... pour le casse-croûte (se nourrir). Quelquefois il conduisait aussi un tracteur orange. Cette vie domestique avait pour lui un goût de liberté.
Dans la ferme de Mémé il était Robinson Crusoe.
Tu as bien lu le livre. Bonne analyse 13,5/20
Après des semaines d' hôpital les parents de P. T. l' ont confié à sa grand-mère, (à) Mémé, pour se remettre d' une maladie. Il a(vait) donc grandi chez Mémé qui vivait dans (était) une petite ferme normande. De ce temps-là il a des souvenirs un peu épuisant(e)s comme(nt) les apnées de Mémé qui l'inquiétaient (dont lui faisaient être inquiet) ; il l'écoutait dormir et respirer pendant la nuit (les nuits), il se considérait comme(nt) le gardien de nuit de Mémé. Après (de) chaque apnée il attendait qu' elle recommence(çait) à respirer à nouveau (une autre fois) d' une manière normale. Il était heureux de vivre (en vivant) à la campagne où il a appris les mots, les habitudes .... etc. Pour lui être à la ferme fut un vrai plaisir.
Plus tard il a recommencé à vivre avec ses parents , mais toutes les vacances de Noël, de Pâques, les mois d'été (mes Juillets, mes Aoûts) et tous les week- ends il allait chez Mémé.
Au collège, Philippe a fabriqué une pelle à poussière et il l' a offerte à Mémé comment preuve de que son petit-fils savait travailler avec ses mains et aussi de qu' il n' avait pas employé d'(l') argent pour lui faire un cadeau(x). Il a été fier(ère) d' avoir appris à être loin de la société de consommation citadine.
À la ferme on (y) fallait aider et en plus il voulait prouver à sa grand- mère qu'il pouvait être utile et faire(te) un travail de paysan. Philippe et son frère travaillaient à la campagne et leur grand -mère allait avec un panier et leur(s) apportait du pain , du fromage, du cidre.... pour le casse-croûte (se nourrir). Quelquefois il conduisait aussi un tracteur orange. Cette vie domestique avait pour lui un goût de liberté.
Dans la ferme de Mémé il était Robinson Crusoe.
Tu as bien lu le livre. Bonne analyse 13,5/20
samedi 14 novembre 2015
Mémé , Rédaction nº 1
Fiche schématique sur Mémé,
- Mémé c' est le nom affectueux par lequel P. Torreton appelait sa grand- mère.
- Son prénom était Denise et son nom de jeune fille (famille) était Gosselin. Après , quand elle s 'est mariée, elle a changé son nom pour D. Dehors et à partir de son deuxième mariage elle s´est appelée D. Porte.
-Elle est née en Normandie en 1914 et elle vivait à (en) Triqueville , dans le canton de Pont- Audemer.
-André était (fut) son frère aîné et son frère cadet, qui s' appelait Bernard(t), est mort pendant (dans) la guerre. Ce fait a été une des souffrances de sa vie.
- Son premier mari, Lucien , était (a été) faible, il était (un) buveur et après (d') avoir eu trois enfants ils (s)ont divorcé(s). Leur divorce a été la cause d' une difficile situation parce qu' elle restait toute seule avec trois filles, Lucette, Colette et Claudine. Après, elle s' est remariée avec M. Porte qui était un homme veuf avec cinq enfants et dont la cadette (en plus la fille petite) , Annette , était handicapée. Du mariage avec M. Porte est né Alain qui a été le trait d' union de ses deux familles. Ce(t) petit enfant était si beau et si doux que ses petits-enfants (fils) appelaient (à) Mémé, " Mémé Alain ".
- Mémé habitait dans une ferme et elle avait une vieille chienne, Folette, et une grande cage pleine de perruches vert et bleu.
- Tout le temps, (l') hiver comme (l') été elle portait une blouse imprimée, cadeaux de Noël de ses filles.
- Mémé est décedée en 2005, quand P. Torreton avait quarante ans, à l' hôpital de Pont- Audemer.
- Elle était (fut) une petite femme (et) seule face au monde qui a mené (porté) une dure vie de labeur où " elle ne restait pas sans rien faire", mais cependant elle aimait les histoir(i)es d' amour
- Mémé c' est le nom affectueux par lequel P. Torreton appelait sa grand- mère.
- Son prénom était Denise et son nom de jeune fille (famille) était Gosselin. Après , quand elle s 'est mariée, elle a changé son nom pour D. Dehors et à partir de son deuxième mariage elle s´est appelée D. Porte.
-Elle est née en Normandie en 1914 et elle vivait à (en) Triqueville , dans le canton de Pont- Audemer.
-André était (fut) son frère aîné et son frère cadet, qui s' appelait Bernard(t), est mort pendant (dans) la guerre. Ce fait a été une des souffrances de sa vie.
- Son premier mari, Lucien , était (a été) faible, il était (un) buveur et après (d') avoir eu trois enfants ils (s)ont divorcé(s). Leur divorce a été la cause d' une difficile situation parce qu' elle restait toute seule avec trois filles, Lucette, Colette et Claudine. Après, elle s' est remariée avec M. Porte qui était un homme veuf avec cinq enfants et dont la cadette (en plus la fille petite) , Annette , était handicapée. Du mariage avec M. Porte est né Alain qui a été le trait d' union de ses deux familles. Ce(t) petit enfant était si beau et si doux que ses petits-enfants (fils) appelaient (à) Mémé, " Mémé Alain ".
- Mémé habitait dans une ferme et elle avait une vieille chienne, Folette, et une grande cage pleine de perruches vert et bleu.
- Tout le temps, (l') hiver comme (l') été elle portait une blouse imprimée, cadeaux de Noël de ses filles.
- Mémé est décedée en 2005, quand P. Torreton avait quarante ans, à l' hôpital de Pont- Audemer.
- Elle était (fut) une petite femme (et) seule face au monde qui a mené (porté) une dure vie de labeur où " elle ne restait pas sans rien faire", mais cependant elle aimait les histoir(i)es d' amour
Libellés :
Livres de lecture obligatoire,
Red Montse Aranda
dimanche 25 octobre 2015
Conte africain
Comme par miracle, il a trouvé(trouva) une plante dont l(s)es fruits avaient un bon goût. Il s'était( est) rendu compte que son premier problème était la nourriture. Il a cherché des baies, des racines, de nouveaux fruits qu' il ne connaissait pas jusqu'alors et qui l' aideraient à ne pas souffrir de la faim.
Le deuxième problème qu'il a éprouvé(trouvé va être) était la nuit avec ses sons menaçants et l' obscurité qui(e) allait en augmentant(tion).....il a pensé qu'il (e) cour(r)ait le risque de mourir , d'être devoré par un (quelque) animal sauvage. En plus il a senti le(de) froid, il a dû (eu que) se mettre à chercher une caverne où s'abriter et ainsi se protéger du froid et des dangers. De cette manière-là il (y) avait déjà resolu les deux problèmes principaux, la nourriture et la protection.
Quand il commençait (a commencé) à mener (porter) une vie paisible un jour, tout à coup, un groupe de chasseurs est apparu (sont apparus) et ils ont voulu qu'il parte(it) avec ceux. Alors il a pensé : les personnes que j'aimais (e voulais) m' ont abandonné, maintenant je suis heureux, si je pars avec ceux-ci vers un endroit " civilisé" pourrai-je être heureux ou bien dans quelque temps (moment) souffrirai-je aussi l'abandon et la solitude?........
Récit bien construit et cohérent. Attention aux structures. 14/20
Comme par miracle, il trouva une plante dont les fruits eurent un bon goût. Il fut se rendre compte que son premier problème était la nourriture. Il chercha des baies, des racines, de nouveaux fruits qu'il ne connut pas jusqu' alors et qui l' aidèrent à ne pas souffrir de la faim.
Le deuxième problème qu' il éprouva fut la nuit avec ses sons menaçants et l' obscurité alla en augmentant.... il pensa qu`il courrait le risque de mourir, d' être devoré par un animal sauvage. En plus il sentit le froid, il dut se mettre à chercher une caverneoù s' abriter et ainsi se protéger du froid et des dangers. De cette manière-là il resolut les deux problèmes principaux, la nourriture et la protection.
Bien que les premiers jours il fut desolé, à mesure que le temps passa sa valeur reprit et il devint plus vaillant et corageux.
Il trouva un ruisseau où il y avait des poissons qu' il commença à pêcher. Un autre jour il fit un feu, ce qu' il avait appris à faire dans le lieu où il vécut avec ses oncles; grâce à cela il ainsi put se chauffer et cuisiner.
Quand il commença à mener une vie paisible un jour, tout à coup, un groupe de chasseurs apparut et ils voulurent qu' il parte avec ceux. Alors il pensa : les personnes que je aima m' ont abandonné, maintenant je suis heureux, si je parts avec ceux-ci vers un endroit "civilicé" pourrai-je être heureux ou bien dans quelque temps souffrirai -je aussi l' abandon et la solitude?
Le deuxième problème qu'il a éprouvé(trouvé va être) était la nuit avec ses sons menaçants et l' obscurité qui(e) allait en augmentant(tion).....il a pensé qu'il (e) cour(r)ait le risque de mourir , d'être devoré par un (quelque) animal sauvage. En plus il a senti le(de) froid, il a dû (eu que) se mettre à chercher une caverne où s'abriter et ainsi se protéger du froid et des dangers. De cette manière-là il (y) avait déjà resolu les deux problèmes principaux, la nourriture et la protection.
Bien que les premiers jours il ait(avait) été désolé, à mesure que le temps passait sa valeur reprennait et il devenait plus vaillant et courageux.
Il a aussi trouvé un ruisseau où il y avait des poissons qu'il a commencé à pêcher. Un autre jour il a fait un feu, ce qu'il avait appris à faire (il en avait apprendu à mettre) dans le lieu où il avait vécu avec ses oncles ; grâce à (avec) cela il a ainsi (déjá) pu se chauffer et cuisiner.Quand il commençait (a commencé) à mener (porter) une vie paisible un jour, tout à coup, un groupe de chasseurs est apparu (sont apparus) et ils ont voulu qu'il parte(it) avec ceux. Alors il a pensé : les personnes que j'aimais (e voulais) m' ont abandonné, maintenant je suis heureux, si je pars avec ceux-ci vers un endroit " civilisé" pourrai-je être heureux ou bien dans quelque temps (moment) souffrirai-je aussi l'abandon et la solitude?........
Récit bien construit et cohérent. Attention aux structures. 14/20
Comme par miracle, il trouva une plante dont les fruits eurent un bon goût. Il fut se rendre compte que son premier problème était la nourriture. Il chercha des baies, des racines, de nouveaux fruits qu'il ne connut pas jusqu' alors et qui l' aidèrent à ne pas souffrir de la faim.
Le deuxième problème qu' il éprouva fut la nuit avec ses sons menaçants et l' obscurité alla en augmentant.... il pensa qu`il courrait le risque de mourir, d' être devoré par un animal sauvage. En plus il sentit le froid, il dut se mettre à chercher une caverneoù s' abriter et ainsi se protéger du froid et des dangers. De cette manière-là il resolut les deux problèmes principaux, la nourriture et la protection.
Bien que les premiers jours il fut desolé, à mesure que le temps passa sa valeur reprit et il devint plus vaillant et corageux.
Il trouva un ruisseau où il y avait des poissons qu' il commença à pêcher. Un autre jour il fit un feu, ce qu' il avait appris à faire dans le lieu où il vécut avec ses oncles; grâce à cela il ainsi put se chauffer et cuisiner.
Quand il commença à mener une vie paisible un jour, tout à coup, un groupe de chasseurs apparut et ils voulurent qu' il parte avec ceux. Alors il pensa : les personnes que je aima m' ont abandonné, maintenant je suis heureux, si je parts avec ceux-ci vers un endroit "civilicé" pourrai-je être heureux ou bien dans quelque temps souffrirai -je aussi l' abandon et la solitude?
mardi 20 octobre 2015
La parole aux lecteurs
De no(u)s jours la politique s'est convertie en un grand spectacle et par conséquent la vie des hommes politiques fait (forme) partie du show.
Un homme politique a reçu la commande de traiter le bien public parce que les gen(t)s ont (une) confiance en lui, parce qu' ils (lui) voient sa façon d'être dans sa vie privée.
J' ai toujours pensé que les hommes publics devraient avoir une transparence totale dans leur vie privée et leur patrimoine et qu'ils doivent mener (porter) une vie privée discrète de telle façon (forme) que s'ils font le contraire , s'ìls mènent (portent) une vie scandaleuse , ils s'exposent à des critiques (sont exposés que les critiques apparaissent).
13/20
13/20
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