Relevez et développez les arguments de R. Pithrier pour justifier la répartition de la nourriture. (p 39 à 44) 300 mots
Dans des circonstances spéciales, on doit (se doivent) prendre des mesures (réponses) spéciales ; c’est l'argument utilisé par Raphaël Pithrier devant (avant) la crise produite à Châtillon.
Et à Châtillon sont arrivés (passé) des événements (très) extraordinaires, le reste du monde a disparu et cela veut dire qu’il n’y aura(it) désormais ni de communications, ni de(s) fournitures, ni toute autre chose qui pourrait venir de l’extérieur.
Et par conséquent, des mesures singulières doivent(devraient) être prises ; comme le défend le maire: «Il ne faut donc pas seulement réfléchir à nos besoins immédiats, mais aussi au futur».
Dans ce contexte, Raphaël Pithrier propose la répartition équitable des marchandises, de partager la nourriture entre(parmi) les familles, en proportion du nombre de membres. Cette proposition a été qualifiée de (comme) communiste, parce que cette mesure vise la distribution de nourriture parmi la population et donc de collectiviser les nécessités mais dans ce cas c’est une mesure nécessaire pour assurer l’alimentation de toutes les personne(é)s indépendamment de si il a(avait) plus ou moins de(s) marchandises.
C’est une bonne réaction avant un problème qui nécessite une solution urgente, pour assurer une situation ponctuelle ; mais si cette situation continue on devrait (aurait de) disposer de plus d’initiatives pour reconstituer les stocks.
Réellement cette décision a provoqué la contestation des personnes qui ont beaucoup de réserves chez eux (dans leurs maisons), c’est normal; mais la pire des injustices, c’est le fait de laisser la distribution de nourriture essentielle pour vivre au hasard.
Il y a des moments où il est essentiel de prendre des décisions qui favorisent (bénéficient) l’intérêt général par rapport au (à le) particulier, et ce moment-là, selon Raphaël Pithrier c’est le bon moment.
Sûrement, si nous nous trouvons dans la situation des personnes qui ont l’armoire pleine, nous aussi froncerons les sourcils, et pourtant le bien commun est bien au-dessus des droits personnels surtout lorsque surviennent des situations exceptionnelles qui menacent l'avenir de la communauté.
13/20
Faites un récit sur le concept de l’isolement tel qu’il est décrit dans le livre.
Dans le livre écrit par Bernard Quiriny, Le village Évanoui, l’isolement a une importance fondamentale, en ce sens toute l’argumentation de cet écrit tourne autour de l’isolement.
Certainement, le confinement de toute la population d’une région a-t-il des (unes) implications sérieuses comme nous avons pu le voir fréquemment pendant l’histoire.
Mais Quiriny, parle de différents isolés(ats) à la marge du confinement, isolement géographique et physique; il parle d’autres ostracismes pas moins importants.
L’écrivain relate comment il y a des personnes qui vivent toujours détournées du monde extérieur; parce qu'ils n’ont pas besoin de sortir pour vivre. C’est le(s) cas des gens qui ne nécessitent pas de grands espaces pour se sentir bien. Au contraire, (À l’envers) ils doivent habiter un petit espace qu'(i) ils peuvent contrôler pour se sentir en sécurité.
Mais savoir qu’ils ont une limitation matérielle, cela (il) fait que les gens réagissent très différemment. Certains vivent encore comme avant, rien n’a (pas) changé pour eux (ils); leurs frontières n’ont pas changé donc leur(son) conception du monde (c’)est la même.
Et pourtant, il y a d'autres personnes qui ne quittent jamais (e jamais ils quittent) la région, et maintenant elles se sentent dépassées parce qu’elles(ils) ne peuvent sortir; il est vraiment surprenant de voir comment des informations qui, en principe, ne doivent pas nous (nous avons pas d’)affecter peuvent changer nos vies.
Dans le sens contraire, il y a les personnes qui toujours sont dehors et qui(e) désormais sont confinées dans la région de Châtillon. Il est étonnant de voir(e) comment des personnes comme Jérémie Mathieu peuvent se transformer et devenir indispensables pour la communauté. Évidemment pour la plupart des gens pour qui Châtillon n’était qu'(e) une petite partie de leur monde, ils se sont sentis (sentaient) désorientés et beaucoup ont souffert de dépression sévère.
Aussi Bernard Quiriny a décrit des personnes qui(e) quand Chântillon n’avait pas de frontières (ils) vivaient toujours isolés, après l'(du) événement ils sont devenus des repères de la population.
On peut dire qu’il y a beaucoup de formes d’isolement, autant que de personnes et leur situation personnelle ; mais le plus fort confinement c’est celui(le) que nous portons en nous-mêmes.
14/20
Présentation du maire Sylvestre Agnelet :
Sylvestre Agnelet, était le maire de Châtillon-en-Bierre, petite village de mille habitants situé au centre de la France. Il ne se serait jamais imaginé, quand il a (avait) été élu, l’implication que lui signifierait sa nomination.
Angelet avait été élu maire(rie), sûrement pas depuis longtemps, et il était une personne ouverte et sensible; probablement (il) appartenait-il à un partie de gauche. Cette situation lui imprimait un caractère dialoguant et de proximité, très important pour sa (son) responsabilité.
Après l'incident qui a eu lieu dans son village, il a joué un rôle clé entre (parmi) l’angoisse et l’euphorie : l’angoisse parce qu’il était le garant de tout ce qui(e) touche à sa(on) municipalité et l’euphorie pour être précisément la plus haute autorité, à ce moment-là (dans ce moment), du territoire communal.
Mais la situation qui existe dans Châtillon(,) n’est pas normale et les faits montrent qu’il n'a ni l'expérience ni la capacité de contrôler cette situation.
C’est vrai, que la situation, que les citoyens doivent vivre, s’allonge dans le temps mais le maire Angelet n’a(vait) pas été capable (de) d'organiser fermement la nouvelle vie pour les citoyens du village.
C’est pour cela(ça), que certains citoyens se sont rebellés contre l'autorité et ont procédé à un schisme dans le petit village.
Ces faits ont produit une séparation réelle qui est seulement résolue avec la mort du fermier Verviers.
Alors, Angelet (c’)est uniquement l’image de l‘autorité, mais il n’est pas le référent de la population; il n'a (pas) apporté aux habitants de Chatillon ni l’illusion, ni les projets pour construire une nouvelle forme de vivre pour tous les citoyens (de Châtillon) en fonction de la nouvelle situation à laquelle ils devront faire face.
Et pourtant, Angelet n’a(i) pas abandonné son obligation ; il avait appris que le pouvoir bien compris(,) n’est pas autre chose qu'(e) une obligation de service aux autres.
13/20
L’expérience libertaire de la ferme Verviers
Dans le livre Le Village Evanoui de Bernard Quiriny, il décrit une expérience libertaire dans les (aux) fermes de Jean-Claude Verviers et Paul Schmitz.
Mais cette initiative libertaire a son origine dans une décision totalement antagoniste, le refus de (à) partager l'utilisation de sa ferme et aussi ses réserves avec la population de Châtillon, qu’ils considèrent comme un vol.
L'un comme l'autre pensent que leurs terres, leurs granges et tout ce qu’ils y ont dedans (il) leur appartient et par conséquent qu'ils sont les seuls qui peuvent décider ce qui peut être fait sur leur (son) propriété.
Ils sont contre toute forme de communisme ; leurs réserves ils les ont générées eux (ils) avec leur travail et donc ils sont les uniques propriétaires et pourtant ils ne refusent pas d’aider (a) qui (lui) le leur demande mais ils décideront comment, qui et quand l'aide.
Par contre ils ont décidé de mettre en commun leurs fermes, de les fermer, privatiser le chemin communal qui(e) les séparait; pour faire une exploitation plus compétitive.
Ils ont recherché des machines pour faire de la farine, des chevaux et d'autres choses ; ils ont recruté une douzaine de travailleurs du village donc ils ne se méfiaient pas des immigres et petit à petit ils ont transformé la ferme en une véritable exploitation artisanale.
C’est vrai que l’entreprise a été une révolution pour la commune, ce qui est la solution recherchée pour assurer l'avenir de la population du canton et qui a impliqué l'embauche de nombreux travailleurs mais il n’est pas la meilleure solution si nous parlons de démocratie et d'égalité. Leur (Son) entreprise a été fomentée avec la personne de Verviers (à qui) qu'ils considèrent comme un demi-dieu, et qu'(à qui) écoutent aveuglément; les travailleurs sont traités comme au Moyen Age, les femmes sont traitées comme des esclaves sexuelles et la société ne se soucie que de ses membres.
Vraiment cette expérience n’est pas autre chose qu’un moyen de protéger des actifs de ses promoteurs, tout le contraire d’une procédé libertaire.
15/20
Vous êtes maintenant dans le cycle Avancé, FÉLICITATIONS ! Ce blog vous est destiné. Vous y trouverez des activités spécialement conçues pour vous. Si vous désirez d'autres rubriques, d'autres activités..., n'hésitez pas à me le dire. Cet espace est aussi le vôtre, vous pouvez y collaborer par des photos, des textes ou toute autre chose, n'hésitez pas à le faire. Il vous servira aussi parfois pour "poster" des rédactions ou tout autre activité à faire à la maison.
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lundi 7 mars 2016
dimanche 17 janvier 2016
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
Faites un récit sur l’importance de l’humidité dans ce livre. (200 mots)
L’humidité est un des éléments essentiels dans le livre écrit par Philippe Torrenton, intitulé Mémé.
Tout autour (l’entour) de cette oeuvre a une relation avec l'(a) humidité; sûrement Torrenton souhaitait(ez) obtenir une atmosphère pleine de tendresse où les souvenirs prendraient(prisent) un profil(é) plus intime.
Dans ce sens l’humidité de la région de Normandie où vivait la grand-mère de l’écrivain(ture), lui a (servait) parfaitement servi pour créer cette sensation.
De cette manière(éré), l’auteur du récit rejoint la description du paysage où il passé sa(on) jeunesse, caractérisé par l'(a) humidité, avec la description de sa grand-mère et de petits détails de sa vie pour nous donner un profil intimiste.
Dans les premières pages du livre Torreton fait l'éloge de la pluie et il dit que grâce à Mémé il aime la pluie, comme si elle était la responsable(chargée) de la pluie et attaché? un poème sur la pluie.
Un roman(ce) qui met en évidence c(l)e que la pluie signifie pour lui, espérance, tendresse, qui fait du bien aux rêves, permettant plus à la vie à l'intérieur de la maison; c’est-à-dire favorise la relation de famille.
Alors l’humidité a été le pivot qu(’)a fait que la relation de Torreton avec sa grand-mère a été plus intense, il a adoré (a) sa grand-mère et le coupable était l'(a) humidité.
Bonne analyse littéraire Xavi
14/20
Activités sur Mémé de Philippe Torreton
La description de son enfance, réalité ou nostalgie ?
Avec le temps, tous nous avons tendance à idéaliser ce que nous avons vécu, tout(s) le temps passé (antérieur) est toujours meilleur que celui d'(l’)aujourd’hui. Sûrement parce que nous étions plus jeunes et nous avions avec nous, les membres les plus proches de notre famille (nos familiers plus prochains). Philippe Torreton, dans ce livre; s'est (-il) rappelé beaucoup des sensations qu’il a vécues dans son enfance. Dans ce livre, il exprime ses premières sensations dans la maison de sa(on) grand-mère, Mémé. Nous pouvons voir(e), comment il ouvrait ses y(j)eux à la vie dans un petit village dans la campagne (au champagne) de la Normandie. Sûrement, deux des aspect(e)s (faits) saillants de cette oeuvre sont l'(a) idéalisation de la figure de sa grand-mère et l'embellissement du(e) lieu où(ont) elle habitait(ée). Torreton donne dans le récit une image réellement tendre de Mémé et montre(é) sa grand force intérieure. Elle est une personne normale, elle n'a rien à mettre en évidence; mais c’est ça c(l)e que Torrenton a mis en valeur. Sa naturalité, sa lutte de tous les jours pour vivre, pour pouvoir se nourrir (faire possible sa nourriture) avec peu de ressources. Torreton met en évidence cet effort(ce) d’une femme pour subvenir aux besoins de (maintenir) sa(on) famille et lui (donne aussi et) ajoute également un degré de sensibilité et de tendresse qui devient un modèle de rôle. Torreton obtient aussi qu’une petite ville sans rien qui la distingue (à distinguer) que l'humidité régnante, d(r)evienne (en) un lieu plein de nostalgie et de charme. Certainement, l’auteur de ce récit essaie d'idéaliser sa(on) jeunes(u)se, sa grand-mère et les lieux où(que) il a vécus et lui donne un point de tendresse. Pourtant, à mon avis cette description est empreinte/pleine de nostalgie. Pour l’auteur la priorité n’est pas de décrire la réalité; sinon un rappel des images et sensations qu'(e) il y a dans la(son) mémoire de sa(on) jeunesse et tout c(l)e qui(e) enveloppait le monde de sa grand-mère.
Très belle et très fine analyse. 13,5/20
Attention Xavi, tu pourrais facilement supprimer des erreurs telles que :
- erreurs sur le genre du déterminant d'un nom (son jeunesse...)
- erreurs de déterminant (la humidité)
- erreurs d'accord substantif/adjectif (l'humidité régnant)
- tout le que
- que/qui
Avec le temps, tous nous avons tendance à idéaliser ce que nous avons vécu, tout(s) le temps passé (antérieur) est toujours meilleur que celui d'(l’)aujourd’hui. Sûrement parce que nous étions plus jeunes et nous avions avec nous, les membres les plus proches de notre famille (nos familiers plus prochains). Philippe Torreton, dans ce livre; s'est (-il) rappelé beaucoup des sensations qu’il a vécues dans son enfance. Dans ce livre, il exprime ses premières sensations dans la maison de sa(on) grand-mère, Mémé. Nous pouvons voir(e), comment il ouvrait ses y(j)eux à la vie dans un petit village dans la campagne (au champagne) de la Normandie. Sûrement, deux des aspect(e)s (faits) saillants de cette oeuvre sont l'(a) idéalisation de la figure de sa grand-mère et l'embellissement du(e) lieu où(ont) elle habitait(ée). Torreton donne dans le récit une image réellement tendre de Mémé et montre(é) sa grand force intérieure. Elle est une personne normale, elle n'a rien à mettre en évidence; mais c’est ça c(l)e que Torrenton a mis en valeur. Sa naturalité, sa lutte de tous les jours pour vivre, pour pouvoir se nourrir (faire possible sa nourriture) avec peu de ressources. Torreton met en évidence cet effort(ce) d’une femme pour subvenir aux besoins de (maintenir) sa(on) famille et lui (donne aussi et) ajoute également un degré de sensibilité et de tendresse qui devient un modèle de rôle. Torreton obtient aussi qu’une petite ville sans rien qui la distingue (à distinguer) que l'humidité régnante, d(r)evienne (en) un lieu plein de nostalgie et de charme. Certainement, l’auteur de ce récit essaie d'idéaliser sa(on) jeunes(u)se, sa grand-mère et les lieux où(que) il a vécus et lui donne un point de tendresse. Pourtant, à mon avis cette description est empreinte/pleine de nostalgie. Pour l’auteur la priorité n’est pas de décrire la réalité; sinon un rappel des images et sensations qu'(e) il y a dans la(son) mémoire de sa(on) jeunesse et tout c(l)e qui(e) enveloppait le monde de sa grand-mère.
Très belle et très fine analyse. 13,5/20
Attention Xavi, tu pourrais facilement supprimer des erreurs telles que :
- erreurs sur le genre du déterminant d'un nom (son jeunesse...)
- erreurs de déterminant (la humidité)
- erreurs d'accord substantif/adjectif (l'humidité régnant)
- tout le que
- que/qui
L'alimentation et le recyclage dans les campagnes
Réécrivez comme un récit journalistique qui présenterait l’alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant les pages 69, 70 et deux premières lignes p 71.
Dans son livre Mémé, Philippe Torreton a décrit parfaitement comment à l’époque de sa grand-mère les gens étaient réellement conscients de la nécessité de protéger l'environnement. Et tout ça, sans avoir nécessité de grandes campagnes publicitaires.
Au XX siècle, la consommation alimentaire des personnes qui(e) comme Mémé, vivaient dans la campagne, était basée fondamentalement sur leur(a) propre production.
Très peu(,) de son alimentation provenait des magasins, le lait de la crémière, les légumes chez la sœur de la crémière et quelques autres choses occasionnellement.
Cette façon(forme) de vivre, très différente de celle(l’)aujourd’hui, était la(e) plus propre et la plus durable (soutenable).
Dans le monde actuel(le), tout est très diffèrent, la surconsommation, la vulnérabilité de l'(u) environnement. C’est une autre façon(forme) de vivre, très opposée à celles des gens qui(e) comme Mémé vivaient dans l’équilibre avec l’environnement et elle est à l'origine de la destruction progressive.
Tout était simple dans la vie de Mémé comme des autres personnes (gens), qui(e) vivaient en plein(e) équilibre avec la nature, pas de (rien) de pollution, pas de (rien) déchets.
Nous pouvons affirmer, en(avec) toute sécurité, qu'au (e dans le) temps de Mémé, il n’y avait pas de trou dans la couche d’ozone, ou les îles de plastique ou (de) la pollution de l'environnement. Aucun pays n’interdit la conduite de véhicules au moment des (sur les) niveaux élevés de pollution ; la période dans laquelle vécut Mémé (ce) fut un moment de stabilité dans laquelle les gens passaient sans laisser de séquelles qu'ils auraient pu (de lesquelles se) regretter.
J'aime beaucoup ta façon d'écrire. Tu pourrais très facilement supprimer de nombreuses erreurs de langue.
14/20
dimanche 15 novembre 2015
la parole aux lecteurs
La parole aux lecteurs.
Monsieur le Directeur, / Madame la Directrice,
A mon avis, la situation actuelle dans laquelle tout le monde peut faire une critique de nos hommes ou femmes politiques est initialement positive. Mais quand cette critique est totalement destructive et utilise(é) la vie privée de nos politiciens pour détruire le système démocratique où nous vivons (; dans ce cas,) je pense que l’état doit établir des procédures pour protéger nos (les nôtres) institutions démocratiques et par conséquent (conséquemment à) nos représentants politiques.
Il(C’)est vrai que les politiciens doivent conserver (ont de garder) des attitudes inattaquables, mais ça ne peut pas représenter qu’ils ne puiss(euv)ent pas vivre avec normalité et vivre d’accord avec leurs (les siens) convictions religieuses, sexuelles ou sociales. Personne n’a (pas) le droit d’utiliser la vie personnelle d’un citoyen(ne), y compris (inclusse) si il ou elle est célèbre (fameuse), politicien, etc. pour l’attaqu(ch)er; dans ce cas l’administration judiciaire(eux) doit intervenir pour les protéger.
13/20
Monsieur le Directeur, / Madame la Directrice,
A mon avis, la situation actuelle dans laquelle tout le monde peut faire une critique de nos hommes ou femmes politiques est initialement positive. Mais quand cette critique est totalement destructive et utilise(é) la vie privée de nos politiciens pour détruire le système démocratique où nous vivons (; dans ce cas,) je pense que l’état doit établir des procédures pour protéger nos (les nôtres) institutions démocratiques et par conséquent (conséquemment à) nos représentants politiques.
Il(C’)est vrai que les politiciens doivent conserver (ont de garder) des attitudes inattaquables, mais ça ne peut pas représenter qu’ils ne puiss(euv)ent pas vivre avec normalité et vivre d’accord avec leurs (les siens) convictions religieuses, sexuelles ou sociales. Personne n’a (pas) le droit d’utiliser la vie personnelle d’un citoyen(ne), y compris (inclusse) si il ou elle est célèbre (fameuse), politicien, etc. pour l’attaqu(ch)er; dans ce cas l’administration judiciaire(eux) doit intervenir pour les protéger.
13/20
mardi 10 novembre 2015
Un conte africain
Attention aux orphelins
Autrefois, dans le village de Gani-Gawané, les orphelins étaient rejetés et abandonnés. Selon cette triste habitude, une année, à l'approche de la saison des pluies, le petit Adamou fut emmené dans une brousse lointaine parce que personne ne voulait plus s'occuper de lui : un de ses oncles qui l'avait recueilli après la mort de ses parents et l'avait élevé presque dix ans, mourut lui aussi et sa veuve avait beaucoup de mal à élever ses propres enfants. Le chef du village à qui elle avait fait appel décida donc d'abandonner le petit Adamou. Ainsi l'enfant se retrouva-t-il seul, parmi les animaux sauvages, à des lieues du village le plus proche.
Comme par miracle, il a trouvé… Un médecin qui est(a) venu en(a) Afrique pour faire des recherches sur (investiguer) une maladie contagieuse. Il faisait partie (formait part) d’une équipe de chercheurs (’investigateurs) européens financés par l'(e) UNESCO pour trouver un(e) vaccin(e) pour une maladie(affection). Le médecin lui a (’avait) demandé où il vivait et Adamou lui a répondu(avait dit) qu’il ne savait pas. La(e) surprise du médecin a été (est) grande, mais il (h)a pensé qu’il ne pouvait pas laisser (à) Adamou tout seul dans la savane africaine avec les animaux sauvages. Jean Fournier, un jeune médecin belge a décidé de chercher le village d’Adamou, mais (depuis longtemps de après une longue route en (avec sa(on)) voiture ils n’ont pas trouvé le petit village et la nuit et la(e) faim ont fait font nécessaire de s’arrêter pour passer la nuit. Adamou et Jean ont préparé le campement et ils ont fait un feu pour faire le dîner. Jean était très heureux, parce que Adamou l’avait aidé et qu'il était (est) très ingénieux(se), tout le contraire de (que) Jean. Durant le repas, Adamou lui avait raconté (à Jean) comment le chef de sa(on) tribu avait(ha) décidé de l'(lui) abandonner dans une brousse lointaine de son village à cause du manque de nourriture (manger) pour alimenter sa(la nutrition de son) famille. Jean lui a demandé s’il voulait aller avec lui(-il) à l’hôpital où il allait (à) travailler et où ils pourraient trouver une(quelque) solution. Le matin, ils se sont levés très tôt, ils ont pris le petit déjeuner et ils ont (ar)rangé leurs bagages et ils sont partis pour (sorti jusqu’au) Mombassa où était l’hôpital où Jean devait(oit) travailler pour (par) 6 mois. Huit heures après, ils sont arrivés à l’hôpital où (n) les camarades les(ui) ont reçu et leur(ui) ont préparé leurs chambres pour dormir.
Attention Xavi, la plupart de tes erreurs proviennent de la concordance des temps ou du régime des verbes (avec quelques prépositions ils fonctionnent ou s'il n'y en a pas). 13/20
Autrefois, dans le village de Gani-Gawané, les orphelins étaient rejetés et abandonnés. Selon cette triste habitude, une année, à l'approche de la saison des pluies, le petit Adamou fut emmené dans une brousse lointaine parce que personne ne voulait plus s'occuper de lui : un de ses oncles qui l'avait recueilli après la mort de ses parents et l'avait élevé presque dix ans, mourut lui aussi et sa veuve avait beaucoup de mal à élever ses propres enfants. Le chef du village à qui elle avait fait appel décida donc d'abandonner le petit Adamou. Ainsi l'enfant se retrouva-t-il seul, parmi les animaux sauvages, à des lieues du village le plus proche.
Comme par miracle, il a trouvé… Un médecin qui est(a) venu en(a) Afrique pour faire des recherches sur (investiguer) une maladie contagieuse. Il faisait partie (formait part) d’une équipe de chercheurs (’investigateurs) européens financés par l'(e) UNESCO pour trouver un(e) vaccin(e) pour une maladie(affection). Le médecin lui a (’avait) demandé où il vivait et Adamou lui a répondu(avait dit) qu’il ne savait pas. La(e) surprise du médecin a été (est) grande, mais il (h)a pensé qu’il ne pouvait pas laisser (à) Adamou tout seul dans la savane africaine avec les animaux sauvages. Jean Fournier, un jeune médecin belge a décidé de chercher le village d’Adamou, mais (depuis longtemps de après une longue route en (avec sa(on)) voiture ils n’ont pas trouvé le petit village et la nuit et la(e) faim ont fait font nécessaire de s’arrêter pour passer la nuit. Adamou et Jean ont préparé le campement et ils ont fait un feu pour faire le dîner. Jean était très heureux, parce que Adamou l’avait aidé et qu'il était (est) très ingénieux(se), tout le contraire de (que) Jean. Durant le repas, Adamou lui avait raconté (à Jean) comment le chef de sa(on) tribu avait(ha) décidé de l'(lui) abandonner dans une brousse lointaine de son village à cause du manque de nourriture (manger) pour alimenter sa(la nutrition de son) famille. Jean lui a demandé s’il voulait aller avec lui(-il) à l’hôpital où il allait (à) travailler et où ils pourraient trouver une(quelque) solution. Le matin, ils se sont levés très tôt, ils ont pris le petit déjeuner et ils ont (ar)rangé leurs bagages et ils sont partis pour (sorti jusqu’au) Mombassa où était l’hôpital où Jean devait(oit) travailler pour (par) 6 mois. Huit heures après, ils sont arrivés à l’hôpital où (n) les camarades les(ui) ont reçu et leur(ui) ont préparé leurs chambres pour dormir.
Attention Xavi, la plupart de tes erreurs proviennent de la concordance des temps ou du régime des verbes (avec quelques prépositions ils fonctionnent ou s'il n'y en a pas). 13/20
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