Présentation de Philippe Torreton
Pour commencer, Philippe Torreton est le petit-fils d´une femme simple et
généreuse, toute une époque, qui a une vie rude et noble dans la campagne.
Ensuite, il passe son enfance et son adolescence à la campagne dans les années70-90.
De plus, il habite dans un immeuble à deux pas de la maison de sa grand-mère.
Lorsque sa famille s´est installé à Rouen, Philippe Torreton visitait sa grand-mère
tous les week-ends et pendant les vacances. En plus, il avait envie de la voir tous les
jours car il aimait son entourage familiar où tous les membres de sa famille vou-
laient du bien à Mémé à laquelle l´auteur adorait.
Quand il était petit, il aimait les fêtes de Nôel où il était gai quand il découvrait un tas
de cadeaux prévus. De plus, il était attentif et créatif car il a fabriqué une pelle à pous-
sière au collège et il l´a offerte à Mémé. Il était aussi un enfant amoureux car il
était plein de tendreses avec sa gran-mère à qui il adorait, veillait et écoutait dormir.
L´auteur a vécu dans des années enchantées où il a conservé des humeurs, des odeurs,
des noms de plantes, tout un savoir de petit garçon des champs qu´il a appris dans la
nature. De plus, il a adquis une sensibilité pour apprendre des choses artístiques grâce
aux paysages naturals de Normandie qu´il a observé.
Quand P. Torreton a été plus âgé, il a découvert le théâtre. En conséquence, il est devenu
un homme cultivé car il a été un brillant élève du conservatoire à Paris et il est entré très
tôt à la Comédie-Française.
Finalement, il a du mal dès la mort de Mémé car il a retenu à la mémoire des images de
sa grand-mère qui lui provoquaient du chagrin et de la tristesse.
Vous êtes maintenant dans le cycle Avancé, FÉLICITATIONS ! Ce blog vous est destiné. Vous y trouverez des activités spécialement conçues pour vous. Si vous désirez d'autres rubriques, d'autres activités..., n'hésitez pas à me le dire. Cet espace est aussi le vôtre, vous pouvez y collaborer par des photos, des textes ou toute autre chose, n'hésitez pas à le faire. Il vous servira aussi parfois pour "poster" des rédactions ou tout autre activité à faire à la maison.
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dimanche 13 décembre 2015
mardi 1 décembre 2015
récit sur l´importance de l´humidité
Philippe Torreton parle du sujet de l´humidité fréquemment dans son livre car il dit
qu´il a vécu en Normandie pendant (depuis) longtemps, où le climat est humide et pluvieux
en hiver.
Ensuite, l´auteur précise qu´il a habité dès petit avec sa grand-mère dans une maison
à la (de) campagne insalubre (gâchée) à cause de l´humidité que les pluies provoquent dans la région
normande. De plus, il dit que la maison de Mémé était placée au côté ouest de la
Normandie qui est très humide (moite) à cause des orages qui apportent de fortes pluies.
En plus, il explique que la maison de Mémé était isolée dans une ambiance rurale
très froide ou glacée qui la couvrait d'(e) humidité (tout l'(e) immeuble de sa grand-mère REDONDANT).
Ainsi, l´écrivain dit qu´il n´etait pas à l´aise dans sa chambre car les murs qui
étaient près du lit étaient mouillés et ils provoquaient une mauvaise odeur dans
toute la pièce (salle).
De même, P.Torreton raconte que le foyer où il habitait était toujours sale à
cause de déposer la boue des semelles sur le (au) sol. De plus, les toilettes étaient les
plus sales car il y avait une moiteur constante qui détruis(s)ait ? la baignoire, l´évier
ou les(a) toilettes ; cependant la salle a manger restait propre car elle était utilisée comme
un centre de loisirs.
Finalement ,bien que l´auteur dise que la pluie provoquait beaucoup de dommages
chez Mémé, il dit qu´elle est une source d´espérance.
Apolonia, tu as cherché beaucoup d'informations sur l'humidité dans le livre mais il faut essayer de les ordonner, ne pas faire une liste. On en parlera.
qu´il a vécu en Normandie pendant (depuis) longtemps, où le climat est humide et pluvieux
en hiver.
Ensuite, l´auteur précise qu´il a habité dès petit avec sa grand-mère dans une maison
à la (de) campagne insalubre (gâchée) à cause de l´humidité que les pluies provoquent dans la région
normande. De plus, il dit que la maison de Mémé était placée au côté ouest de la
Normandie qui est très humide (moite) à cause des orages qui apportent de fortes pluies.
En plus, il explique que la maison de Mémé était isolée dans une ambiance rurale
très froide ou glacée qui la couvrait d'(e) humidité (tout l'(e) immeuble de sa grand-mère REDONDANT).
Ainsi, l´écrivain dit qu´il n´etait pas à l´aise dans sa chambre car les murs qui
étaient près du lit étaient mouillés et ils provoquaient une mauvaise odeur dans
toute la pièce (salle).
De même, P.Torreton raconte que le foyer où il habitait était toujours sale à
cause de déposer la boue des semelles sur le (au) sol. De plus, les toilettes étaient les
plus sales car il y avait une moiteur constante qui détruis(s)ait ? la baignoire, l´évier
ou les(a) toilettes ; cependant la salle a manger restait propre car elle était utilisée comme
un centre de loisirs.
Finalement ,bien que l´auteur dise que la pluie provoquait beaucoup de dommages
chez Mémé, il dit qu´elle est une source d´espérance.
Apolonia, tu as cherché beaucoup d'informations sur l'humidité dans le livre mais il faut essayer de les ordonner, ne pas faire une liste. On en parlera.
mercredi 25 novembre 2015
Rédaction , Mémé 4
Ode à ma grand- mère,
J’ai seulement connu une grand-mère, la mère
de ma mère. Elle s’appelait Maria et je lui dois mon premier prénom (à elle). Mon(L’)autre
grand- mère est morte avant(s de) ma(on) naissance et je ne l’ai pas connue.
Ma grand-mère a été une femme dure car elle était mère de six enfants, ma mère
était la cinquième, et son mari était mort pendant(dans) la guerre civile. Après toute
sa vie elle a porté des habits de deuil comme d’ habitude en (dans) ce temps-là. Elle a dû, en
plus de s’occuper de ses enfants, (que) se mettre à travailler pour les
élever et sa(la) vie (le) a été difficile.
Mon oncle , le fils aîné, est parti au Pays
Basque pour travailler et il achetait du(e) poisson qu’il envoyait à sa mère pour qu'elle le vende (le vendre) dans le village où elle habitait.
Elle était comme(nt) je l’ai déjà dit, une femme dure mais aussi très
affectueuse, tranquille et sereine, tous ses enfants étaient très fiers d’elle
et tous l’aimaient beaucoup. Je ne me rappelle (pas d’)aucune réprimande que
j’aie(s) reçu d’elle.
Malgré le fait que je me souvienne(s) d’elle comme d'une personne âgée, elle avait seulement
onze ans de plus que moi quand elle est morte et(y) elle est morte (va mourir) entourée de tous
ses enfants et ses petits- enfants ; tous nous l’avons aimée et je sais que ma
mère a ressenti sa perte pendant longtemps (beaucoup d’années).
Moi , je suis grand- mère et je voudrais que
mon petit-enfant aime(ait) sa grand - mère, au moins autant que (, comme) j’aimais la mienne,
Attention aux structures qui amènent le subjonctif et aux comparatifs. 13/20
Attention aux structures qui amènent le subjonctif et aux comparatifs. 13/20
mardi 24 novembre 2015
Rédaction .Mémé 3
L'humidité
Dans ce livre, l'humidité a un rôle de premier plan (protagoniste) parce que la description de l'ambiance(t) où se développe la vie de P. Torreton pendant son enfance fait que nous pouv(i)ons sentir et presque toucher (tâtonner) l'humidité.
La ferme de Mémé était située en Normandie, sur (dans) la côte Atlantique de la France et par conséquent le climat est très pluvieux et la température n'est pas extrême mais par l' effet de l' humidité il fait très (trop de froid à l' hiver et trop de chaleur en (à l') été.
La maison de Mémé était pauvre , il y avait toujours une odeur de chambre humide, en plus il y avait une mauvaise isolation. Comme(nt) P. Torreton dit , c´était une maison classée "Z". Pendant tout le temps la pluie frappait les petit carreaux et il y avait des bassines dans (outre) la maison. Quand le carrelage était lavé l' humidité résistait pendant des jours.
L' endroit de la maison où le plus d'humidité se concentrait était la salle de bains, elle avait une moiteur constamment, le plastique marbré qu'il y avait se soulevait.
Pour le même motif ils mangeaient le pain mou, humide et élastique. Le pain était mou et le beurre si dur qu'on (i) ne (se) pouvait pas l'éte(i)ndre sur le pain.
Malgré tout cela , P. Torreton dit qu' il aime la(e) pluie.
Attention aux accords Montse. 13/20
Dans ce livre, l'humidité a un rôle de premier plan (protagoniste) parce que la description de l'ambiance(t) où se développe la vie de P. Torreton pendant son enfance fait que nous pouv(i)ons sentir et presque toucher (tâtonner) l'humidité.
La ferme de Mémé était située en Normandie, sur (dans) la côte Atlantique de la France et par conséquent le climat est très pluvieux et la température n'est pas extrême mais par l' effet de l' humidité il fait très (trop de froid à l' hiver et trop de chaleur en (à l') été.
La maison de Mémé était pauvre , il y avait toujours une odeur de chambre humide, en plus il y avait une mauvaise isolation. Comme(nt) P. Torreton dit , c´était une maison classée "Z". Pendant tout le temps la pluie frappait les petit carreaux et il y avait des bassines dans (outre) la maison. Quand le carrelage était lavé l' humidité résistait pendant des jours.
L' endroit de la maison où le plus d'humidité se concentrait était la salle de bains, elle avait une moiteur constamment, le plastique marbré qu'il y avait se soulevait.
Pour le même motif ils mangeaient le pain mou, humide et élastique. Le pain était mou et le beurre si dur qu'on (i) ne (se) pouvait pas l'éte(i)ndre sur le pain.
Malgré tout cela , P. Torreton dit qu' il aime la(e) pluie.
Attention aux accords Montse. 13/20
jeudi 19 novembre 2015
Mémé , Redaction 2
L'enfance de Philippe Torreton
Après des semaines d' hôpital les parents de P. T. l' ont confié à sa grand-mère, (à) Mémé, pour se remettre d' une maladie. Il a(vait) donc grandi chez Mémé qui vivait dans (était) une petite ferme normande. De ce temps-là il a des souvenirs un peu épuisant(e)s comme(nt) les apnées de Mémé qui l'inquiétaient (dont lui faisaient être inquiet) ; il l'écoutait dormir et respirer pendant la nuit (les nuits), il se considérait comme(nt) le gardien de nuit de Mémé. Après (de) chaque apnée il attendait qu' elle recommence(çait) à respirer à nouveau (une autre fois) d' une manière normale. Il était heureux de vivre (en vivant) à la campagne où il a appris les mots, les habitudes .... etc. Pour lui être à la ferme fut un vrai plaisir.
Plus tard il a recommencé à vivre avec ses parents , mais toutes les vacances de Noël, de Pâques, les mois d'été (mes Juillets, mes Aoûts) et tous les week- ends il allait chez Mémé.
Au collège, Philippe a fabriqué une pelle à poussière et il l' a offerte à Mémé comment preuve de que son petit-fils savait travailler avec ses mains et aussi de qu' il n' avait pas employé d'(l') argent pour lui faire un cadeau(x). Il a été fier(ère) d' avoir appris à être loin de la société de consommation citadine.
À la ferme on (y) fallait aider et en plus il voulait prouver à sa grand- mère qu'il pouvait être utile et faire(te) un travail de paysan. Philippe et son frère travaillaient à la campagne et leur grand -mère allait avec un panier et leur(s) apportait du pain , du fromage, du cidre.... pour le casse-croûte (se nourrir). Quelquefois il conduisait aussi un tracteur orange. Cette vie domestique avait pour lui un goût de liberté.
Dans la ferme de Mémé il était Robinson Crusoe.
Tu as bien lu le livre. Bonne analyse 13,5/20
Après des semaines d' hôpital les parents de P. T. l' ont confié à sa grand-mère, (à) Mémé, pour se remettre d' une maladie. Il a(vait) donc grandi chez Mémé qui vivait dans (était) une petite ferme normande. De ce temps-là il a des souvenirs un peu épuisant(e)s comme(nt) les apnées de Mémé qui l'inquiétaient (dont lui faisaient être inquiet) ; il l'écoutait dormir et respirer pendant la nuit (les nuits), il se considérait comme(nt) le gardien de nuit de Mémé. Après (de) chaque apnée il attendait qu' elle recommence(çait) à respirer à nouveau (une autre fois) d' une manière normale. Il était heureux de vivre (en vivant) à la campagne où il a appris les mots, les habitudes .... etc. Pour lui être à la ferme fut un vrai plaisir.
Plus tard il a recommencé à vivre avec ses parents , mais toutes les vacances de Noël, de Pâques, les mois d'été (mes Juillets, mes Aoûts) et tous les week- ends il allait chez Mémé.
Au collège, Philippe a fabriqué une pelle à poussière et il l' a offerte à Mémé comment preuve de que son petit-fils savait travailler avec ses mains et aussi de qu' il n' avait pas employé d'(l') argent pour lui faire un cadeau(x). Il a été fier(ère) d' avoir appris à être loin de la société de consommation citadine.
À la ferme on (y) fallait aider et en plus il voulait prouver à sa grand- mère qu'il pouvait être utile et faire(te) un travail de paysan. Philippe et son frère travaillaient à la campagne et leur grand -mère allait avec un panier et leur(s) apportait du pain , du fromage, du cidre.... pour le casse-croûte (se nourrir). Quelquefois il conduisait aussi un tracteur orange. Cette vie domestique avait pour lui un goût de liberté.
Dans la ferme de Mémé il était Robinson Crusoe.
Tu as bien lu le livre. Bonne analyse 13,5/20
jeudi 9 février 2012
Rédaction Cours d'été à l'Université de Nice
Vous êtes intéressé(e) par un cours d'été à l'université de Nice. Vous voulez vous inscrire, avoir des détails sur les cours proposés, loger en résidence universitaire. Ecrivez pour avoir des renseignements.
Commencez et finissez votre lettre par les formules adéquates.
On attend de vous un lexique ainsi que des expressions et tournures variées.
200 mots environ
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On attend de vous un lexique ainsi que des expressions et tournures variées.
200 mots environ
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