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mardi 15 novembre 2016

Non à la restriction budgétaire des langues.



Madame la Directrice,

En tant que mère de Joseline Blanc, et porte parole d'un groupe de parents, je vous écris ce(tte) courriel pour (vous) attirer votre attention sur le (du) problème de restriction des langues dans votre école.
Je ne suis pas du tout d’accord avec cette situation. J’étais très contente de pouvoir choisir cette école pour que ma fille puisse faire l’apprentissage d’une langue étrangère (naturelle et éducative). Je crois qu'il (c’)est d’une telle importance d’avoir une bonne préparation dans les langues (et en plus) pour être compétitifs(ve) dans notre société avec une expansion d’entreprises multinationales dont (où) un jour, nos petits feront partie.
Ma situation économique ne me donne pas la liberté pour financ(i)er cette formation  (en forme payant). Je vous informe que mes ressources mensuelles s’élèvent actuellement à 1000 € et je suis mère célibataire avec 2 enfants à (en) charge. Comme vous pouvez l'imaginez,  j’ai beaucoup d'autres priorités. (encore des autres prioritées à leur donner.)
Pour sauvegarder l’avenir de nos enfants et pour continuer à (d’)avoir une éducation scolaire avec des langues voici (j’offre) ma proposition. Nous, comme parents, et comme personnes serions d’accord de donner notre grain d’aide. Ça serait fantastique si nous pouvions (rrons) donner des cours d’Anglais volo(u)ntairement et ainsi les  enfants ne seraie(o)nt pas lésés par les restrictions budgétaires et (qu’)ils pourraient (peuvent) profiter pleinement de leur formation (en pleinitude). Pour nous, les parents, c’est d'une réelle (de telle importance) d'être inclus dans ce projet en apportant des heures de notre temps libre et d'assurer (é)de cette façon  le futur(e) de nos petits. Nous (voudrons) nous mettrons(e) en rapport avec vous prochainement, afin de vous informer de comment nous pourrions nous organiser (tout  détail organisationnel).
De toute façon, je vous demande de bien réfléchir à la nécessité d’apprendre des langues avec la possibi(li)lité pour tout le monde et pas seulement pour certain(e)s (si on la trouvera seulement) dans le cadre privé.
En vous remerciant à l’avance, je vous prie d’agréer, Madame la Directrice, l’expression de mes salutations distinguées.

M(d)me. K. Blanc

13/20

Attention Karine, il faut te relire avant de publier pour éviter des problèmes d'orthographe ou des fautes de frappe. Ainsi, tu pourrais aussi éviter quelques incohérences, répétitions ou problèmes d'adéquation. 

mardi 18 octobre 2016

QUE PENSENT LES ÉTRANGERS DE LA BELGIQUE.



(QU’EST-CE QU’ILS)QUE PENSENT LES ÉTRANGERS DE LA BELGIQUE.







D'abord, on est obligés de (pour) différencier les étrangers du “premier monde” et les
étrangers qui viennent pour chercher de l'espoir et une nouvelle vie. Le(a) deuxième groupe s'échappe de la guerre, de la famille, de leurs coutumes....et pour sauver leur vie.

Chez les étrangers “riches”, nous sommes connus pour les bières, les frites, les gaufres, la Grand Place de Bruxelles, le Manneken Pis, la bonne vie, les droits sociaux, le système éducatif(ve)....
Chez eux les Belges sont considérés comme des “bons vivants”, de(s) nombreux contacts avec diverses cultures ont rendu les (faites) Belges tolérants et flexibles. La Belgique est le (un) pays le moins nationaliste dans le monde, grâce à la grande interaction avec d'(es) autres pays et pour être une région frontalière. Les étrangers qui viennent pour s’installer ou pour les vacances ont des importances carrément différentes de celles des (que les) individus qui s'échappent de la guerre, de la famine et de la pauvreté. Ils ne vont pas penser aux spécialités culinaires de ce(tte) petit(e) pays mais plus au moyen(s) pour sauver et améliorer leur vie et sans la poursuite politique et être “libre”'.
Malheureusement beaucoup d'entre eux ne voient pas leur rêve réussir(t)!

13/20