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samedi 14 avril 2018

L'amitié homme-femme : contradiction impossible à dépasser ou fraternité transcendant nos instincts


(Production Écrite 3T (1) - Entre Nous 4 ed. Maison des langues page 186)

Certains affirment que l'attirance sexuelle ne peut jamais être contrôlée et d'autres disent que ce serait possible d'entretenir des liens sans ambigüité.
Voyons : (,) il y a des lustres (décades) l'idée d'un homme étant ami avec un femme était inconcevable, basiquement car les deux sexes vivaient dans des univers séparés, la mixité n'existait pas.
Avec la révolution des femmes et surtout avec leur incorporation au travail, la mixité à l'école et l'acceptation du sexe avant le mariage, les avis sur les (des) rapports homme-femme ont changé, permettant la naissance d'amitiés solides entre les hommes et les femmes.
La génération actuelle vit la mixité en toute normalité et cela provoque un rapprochement émotionnel entre les deux sexes.
On a évolué comme société qui maintenant essaye de respecter les individus de la même façon, et aussi la partie féminine et masculine de chaque personne. Cette nouvelle société nous aide, même, à développer ses deux côtés et nous aide à comprendre qu'il n'est pas mauvais d'(en) avoir cette dualité.
Depuis quelques années on travaille l'égalité et dans cette égalité, l'amitié homme-femme est bien possible.
L'amitié a un étroit rapport avec la connaissance mutuelle, tandis que le désir a besoin de mystère, du vide créé par la différence. Donc, l'amitié femme-homme ou homme-femme est, tout à fait, une possibilité si (l')on la construit depuis(ès) l'égalité.
Cela ne veut pas dire que les relations amicales entre hommes et femmes ne puissent pas changer et se transformer (devenir) en une relation amoureuse, pas du tout.
Parfois (Des fois), entre homme et femme, d'abord amis, peut s'installer un sentiment quelconque au- delà de l'amitié.
Suite normalement à un événement déclencheur - un deuil, une séparation etc. - et provoqué, à un moment donné, par un simple geste - un timbre de voix pas (a)perçu avant, une caresse... - notre inconscient peut se brancher dans une autre direction.
Peut-être l'attirance est-elle toujours là et ça va être l'inconscient qui va la contenir ou pas, mais qui est capable de gérer son inconscient ? Euh (bien), personne...
Les amitiés sont possibles, bien sûr, mais aussi la vie est un chemin sur lequel (qu')il faut marcher sans savoir où il nous emmène et où(dont) on va rentrer sûrement et plusieurs fois en contradiction, mais tout le monde sait que l'être humain n'est, ni ne sera jamais sur (dans) la même longueur d'onde toute sa vie.

Manu Ruiz - Avancé 1
Très belle rédaction Manu  18,5/20                                                                                                           

dimanche 19 novembre 2017

Je me souviens... atelier d'expression écrite

Je me souviens d'un lieu magique, un petit village au nord de l'Espagne entouré de(s) montages où j'ai découvert ce que je voulais faire comme métier.

Un tout petit village, à peine 15 maisons, pas beaucoup de monde mais plein de prairies et plein de(s) vaches. J'aimais accompagner le berger et l'aider à traire ou accoucher les bêtes et même, marcher pendant des heures dans la nature pour récupérer un petit veau pour lui éviter d'être mangé par un loup. Et(uh) bien, ouais, il y en avait des loups qui hurlaient la nuit. Quelle peur!

Après la traite, on faisait bouillir (bouillait) le lait, pour en (y) obtenir du beurre, quel beurre ! Jamais je n'ai gouté à nouveau un beurre comme celui-la. On faisait des biscuits avec, et je vous avoue que ce (ils) sont les meilleurs que j'ai goutés de ma vie, tellement parfumés.

Avec le lait on faisait aussi du fromage, un fromage pas affiné, bien frais, crémeux, simplement magnifique, et naturel, bio, bien en vogue en ce moment.
Ce village, ces étés que j'ai passés là bas, resterons(,) donc toujours dans ma mémoire, dans mon coeur. C'est pendant cette période que j'ai décidé de devenir vétérinaire.

Joli souvenir Manu

14/20

dimanche 29 octobre 2017

Discours rapporté - Exercice 2, unité 1 pag 171



Encore avec le discours rapporté, parce que je n'avais jamais fait ça de ma vie et il me faudrait savoir si je le fais bien, ou pas. D'abord je ne sais même pas si le temps que j'utilise, le passé simple, c' est le bon. En plus c'est très intéressant pour moi d'utiliser les verbes de parole, une bonne chose pour maîtriser bien la langue. Merci

En sortant pour faire l'appel Knock demanda à une dame si c'était elle la première. Après il l'a fait rentrer et a fermé la porte en lui demandant (interrogant que) si elle souffrait.

La dame répondit que ce n'était pas le mot et qu'elle l'appellerait plutôt de la fatigue.

Knock demanda à la dame si elle appelait ça de la fatigue et en se rapprochant d'elle lui proposa de tirer la langue. il l'interrogea pour savoir (enquêta) si elle avait(s) ou pas beaucoup d'appétit.

La dame répondit qu'elle n'avait pas vraiment d'appétit et donc Knock lui demanda si elle était constipée et la dame répondit qu'elle l'était assez.

En l'auscultant, Knock pria (sollicita) la dame de baisser la tête, de respirer, de tousser et l'interroga pour savoir si elle n'était (avait) jamais tombée d'une échelle (en) étant petite et la dame répliqua qu'elle ne s'en souvenait(s) pas.

En lui palpant et lui percutant le dos et après lui avoir pressé (en lui pressant) brusquement les reins, Knock s'enquéra (verbe s'enquérir requit la dame de lui dire) si elle avait toujours mal le(s) soir en se couchant là ou il était en train de presser et l'interrogea pour savoir si ce mal (c')était comme une espèce de courbature, la dame lui répondit(a) qu'(e) en effet elle avait(s) mal mais seulement parfois (des fois).

En continuant à l'ausculter, Knock pria (à) la dame de s'en souvenir en ajoutant que l'échelle devait être très grande.

Et d'un coup, la dame avec surprise s'exclama qu'elle venait(s) de s'en souvenir.

En s'asseyant face à elle Knock lui demanda si elle avait(s) envie de guérir et la dame répondit qu'elle le désirait (en avait en effet).

Knock informa (parla à) la dame (pour lui dire) que guérir serait très long et très couteux et la dame implora (à) Dieu et lança(ce) une requête à Knock pour savoir la raison de cette longueur.

Knock affirma que ce n'était pas facile de guérir d'un mal qui durait(e) depuis quarante ans en cinq minutes. La dame très étonnée s'inquiéta de savoir (exclama) pourquoi Knock parlait(s) de quarante ans et il lui répondit que c'était le temps qui s'était écoulé depuis qu'elle était (avait) tombée de son échelle.




Discours rapporté - Exercice 3 pag 172



Bonjour à tous! Comme j'ai besoin de pratiquer la rédaction et le discours rapporté voici le résultat de l'exercice 3 de l'unité 1 pag 172:

Le journaliste demanda à un toulonnais chois(s)i au hasard(zar) s'il avait succombé à un effet de mode en allant au supermarché Bio. Le Toulonnais lui répondit que, à vrai dire (en vrai), il avait été attiré par le marché bio plutôt pour protéger l'environnement que pour la mode car c'était un sujet que le (lui) préoccupait depuis qu'il était adolescent. C'est pendant l'adolescence qu'il renonça à la viande et pensa à soutenir les produits Bio parce que pour le produire on utilise moins (quantité) de pesticides.

En continuant son micro-trottoir (avec ses interviews), le journaliste demanda ensuite (en deuxième terme) à une dame pourquoi elle allait (était allée) au supermarché Bio, et la dame répondit qu'elle était venue parce que ses voisins le lui avait recommandé (d'y aller) car les produits étaient plus frais.

Enfin (dernière) le journaliste demanda à un troisième client du marché Bio la raison de sa visite et il rétorqu(c)a que les produits bio lui semblaient plus savoureux at ajouta qu'il privilégiait (aimait) la qualité à (au délà de) la quantité.