dimanche 10 janvier 2016

La description de son enfance, réalité ou nostalgie?



La description de son enfance, réalité ou nostalgie?

Il(C')est vrai qu'on ne perçoit pas les choses qui nous(lui) arrivent de la même façon dans les différentes étapes de la vie. À mesure qu'on grandit, on connaît plus de choses et on a plus d'expérience. En définitive(f), la réalité change parce qu'on mûrit(e).
On peut apprécier une maturation de la relation entre l'auteur et Mémé dans l’œuvre. Par exemple, avec le sujet de la mort. D'abord, quand l'auteur était un "gars", un enfant, il craignait la mort de sa grand-mère. Par contre, à la fin du livre, il décrit la mort de Mémé comme une libération et il est relativement content. Il tombe dans cet aspect. (page 139): «Tu peux y aller Mémé. Lâche l'affaire. Tu peux partir en vacances pour la première fois de ta vie».
D'autre part, ce n'est pas possible de se souvenir de tout. On se souvient de ce qui nous(lui) a frappé le plus, de ce qui est le plus significatif pour nous(lui) et on efface ce qui n'est pas très important.
Alors, en retournant à la question qui nous occupe, est-ce qu'il s'agit de la réalité ou de la nostalgie quand on fait une description de son enfance? À mon avis c'est une question très subjective. Je crois que quand on décrit son enfance, et même Philippe Torreton, on décrit ce qui(e) pour nous(lui) (c')est la réalité à(en) ce moment-là.
Mais il(c')est vrai qu'il y a toujours une composante nostalgique pour la tristesse ou la mélancolie qu'on sent à cause de quelque chose qu'on a perdu et qu'on ne récupérera plus.

Bon travail et bonne analyse Jordi.  16/20

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