samedi 3 février 2018

Production écrite - Entre Nous, Page 182, Exercice C




Tout d'abord : êtes-vous sûre que les autres présupposent comment vous allez vous conduire, à cause de votre accent ? Une expérience que nous avons souvent eue dans nos services internationaux(l) de coaching c'est que, la plupart des fois, ce genre de présuppositions ne correspondent pas à la réalité. Au contraire, celles-ci sont créées par nous-mêmes, en fonction de notre psychogénéalogie et de ce que nous avons vécu auparavant.

Le désir de s'améliorer, d'évoluer et de développer nos(tres) habiletés est absolu(te)ment inhérent à notre espèce, à condition qu'il soit (est) compris comme une opportunité, comme un plaisir, et pas comme un devoir dont on doit tenir compte pour satisfaire les (aux) autres.

Dès que nous regardons l'être humain comme un être qui s'est réincarné dans la matière pour faire une expérience, c'est précisément pour apprendre que nous sommes sur (dans) cette planète.

À notre avis, vous devriez commencer par(our) "lâcher prise". C'est à dire : ignorez(-vous) les comparaisons et les critiques des autres. Arrêtez(-vous) de vous soucier de(par) ce qu'on attend de vous et retrouvez votre estime personnelle. Allez(-y) à la rencontre de vos rêves et essayez de rencontrer votre enfant sacré : cet enfant que vous étiez (une fois) auparavant, lorsque vous n'aviez pas encore été blessé. Un enfant qui habite encore en vous et qui veut tout le temps découvrir.

Donc pour finir, Elizaveta, prenez des cours de phonétique française si vous en avez vraiment le (un vrai) désir et si ça vous fait plaisir. Mais oubliez(-vous de) l'op(p)inion et les remarques (des rémarquements) des autres. Vous êtes déjà unique, Elizaveta, quel que soit l' (n'importe pas quel) accent que vous avez.

Et, en plus, pour conclure, un peu d'accent russe peut être (très) charmant, quand l'attitude de celle ou celui qui parle est charmante aussi.

14/20

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