jeudi 26 novembre 2015

fiche schématique sur Mémé

(Au debut) Mémé est la grand-mère de Philippe Torreton.

(D´abord,) Elle est née en 1914.

Elle a eu une enfance tragique car son petit frère et son père sont morts à cause de la guerre

Elle s´est mariée deux fois et ses deux maris sont morts avant (qu´)elle.

(Ensuite,) Elle habitait(e) dans une petite maison dans la campagne en Normandie.

(De plus ,) Elle devait (oit) supporter les rigueurs du climat dans son foyer dont le papier des murs

était (est) abîmé  à cause de l´humidité que la pluie provoque dans la région normande.

En plus, elle est intelligente et pratique car elle ne gâche rien. Au contraire ,elle

aime le recyclage et elle sait profiter de toutes les choses périmées afin de les réutiliser.

Par ailleurs, elle fait partie d´un temps troublé par la guerre où elle a appris qu´on

doit conserver,profiter et recycler les choses.De plus, elle a adquis une attitude po-

sitive vers la vie car elle est tres active et elle a envie de travailler.

De même , elle a vécu dans la campagne toute la vie . En conséquence  elle a appris

des connaissances de la culture tradittionelle..

Mémé vive seule quand leur petit fils est âgé  et lors de sa maladie, elle passe  leurs derniers jours

à l´hôpital où elle meurt.

Apolonia, il faut seulement utiliser des connecteurs quand c'est nécessaire et en utilisant un connecteur concret, pas n'importe lequel au hasard.

Tu dois réécrire la fin de ton texte en faisant la concordance des temps au passé puisqu'il s'agit d'un récit.



 Mémé est la grand-mère de Philippe Torreton.

Elle est née en 1914.

Elle a eu une enfance tragique car son petit frère et son père sont morts à cause de la guerre

Elle s´est mariée deux fois et ses deux maris sont morts avant (qu´)elle.

Elle habitait  dans une petite maison dans la campagne en Normandie.

Elle devait  supporter les rigueurs du climat dans son foyer dont le papier des murs

était  abîmé  à cause de l´humidité que la pluie provoquait  dans la région normande.

En plus, elle était  intelligente et pratique car elle ne gâchait  rien. Au contraire ,elle

aimait  le recyclage et elle savait  profiter de  toutes les choses perimées  afin de les réutiliser .

Par ailleurs, elle faisait  partie d´un temps troublé par la guerre où elle a appris qu´on

doit conserver,profiter et recycler les choses.De plus, elle a adquis une attitude po-

sitive vers la vie car elle était  tres active et elle avait envie de travailler.

De même , elle a vécu dans la campagne toute la vie . En conséquence  elle a appris

des connaissances de la culture tradittionelle..

Mémé vivait  seule quand leur petit fils était  âgé  et lors de sa maladie, elle passait

leurs derniers joours à l´hôpital où elle a mort.

mercredi 25 novembre 2015

Georges Moustaki - Le Métèque avec les paroles

Rédaction , Mémé 4

Ode à ma grand- mère,

J’ai seulement connu une grand-mère, la mère de ma mère. Elle s’appelait Maria et je lui dois mon premier prénom (à elle). Mon(L’)autre grand- mère est morte avant(s de) ma(on) naissance et je ne l’ai pas connue.
Ma grand-mère a été une femme dure  car elle était mère de six enfants, ma mère était la cinquième, et son mari était mort pendant(dans) la guerre civile. Après toute sa vie elle a porté des habits de deuil comme d’ habitude en (dans) ce temps-là. Elle a dû, en plus de s’occuper de ses enfants,  (que) se mettre à travailler pour les élever et sa(la) vie (le) a été difficile.
Mon oncle , le fils aîné, est parti au Pays Basque pour travailler et il achetait du(e) poisson qu’il envoyait à sa mère pour qu'elle le vende (le vendre) dans le village où elle habitait.
Elle était comme(nt)  je l’ai déjà dit, une femme dure mais aussi très affectueuse, tranquille et sereine, tous ses enfants étaient très fiers d’elle et tous l’aimaient beaucoup. Je ne me rappelle (pas d’)aucune réprimande que j’aie(s) reçu d’elle.
Malgré le fait que je me souvienne(s) d’elle comme d'une personne  âgée, elle avait seulement onze ans de plus que moi quand elle est morte et(y) elle est morte (va mourir) entourée de tous ses enfants et ses petits- enfants ; tous nous l’avons aimée et je sais que ma mère a ressenti sa perte pendant longtemps (beaucoup d’années).

Moi , je suis grand- mère et je voudrais que mon petit-enfant aime(ait) sa grand - mère, au moins autant que (, comme) j’aimais la mienne,

Attention aux structures qui amènent le subjonctif et aux comparatifs.            13/20

mardi 24 novembre 2015

Rédaction .Mémé 3

L'humidité

Dans ce livre, l'humidité a un rôle de premier plan (protagoniste) parce que la description de l'ambiance(t) où se développe la vie de P. Torreton pendant son enfance fait que nous pouv(i)ons sentir et presque toucher (tâtonner) l'humidité.

La ferme de Mémé était située en Normandie, sur (dans) la côte Atlantique de la France et par conséquent le climat est très pluvieux et la température n'est pas extrême mais par l' effet de l' humidité il fait très (trop de froid à l' hiver et trop de chaleur en (à l') été.

La maison de Mémé était pauvre , il y avait toujours une odeur de chambre humide, en plus il y avait une mauvaise isolation. Comme(nt) P. Torreton dit , c´était une maison classée "Z". Pendant tout le temps la pluie frappait les petit carreaux et il y avait des bassines dans (outre) la maison. Quand le carrelage était lavé l' humidité résistait pendant des jours.

L' endroit de la maison où le plus d'humidité se concentrait était la salle de bains, elle avait une moiteur constamment, le plastique marbré qu'il y avait se soulevait.

Pour le même motif ils mangeaient le pain mou, humide et élastique. Le pain était mou et le beurre si dur qu'on (i) ne (se) pouvait pas l'éte(i)ndre sur le pain.

Malgré tout cela , P. Torreton dit qu' il aime la(e) pluie.

Attention aux accords Montse.                    13/20

jeudi 19 novembre 2015

Mémé , Redaction 2

L'enfance de Philippe Torreton

Après des semaines d' hôpital les parents de P. T. l' ont confié à sa grand-mère, (à) Mémé, pour se remettre d' une maladie. Il a(vait) donc grandi chez Mémé qui vivait dans (était) une petite ferme normande. De ce temps-là il a des souvenirs un peu épuisant(e)s comme(nt) les apnées de Mémé qui l'inquiétaient (dont lui faisaient être inquiet)  il l'écoutait dormir et respirer pendant la nuit (les nuits), il se considérait comme(nt) le gardien de nuit de Mémé. Après (de) chaque apnée il attendait qu' elle recommence(çait) à respirer à nouveau (une autre fois) d' une manière normale. Il était heureux de vivre (en vivant) à la campagne où il a appris les mots, les habitudes .... etc. Pour lui être à la ferme fut un vrai plaisir.

Plus tard il a recommencé à vivre avec ses parents , mais toutes les vacances de Noël, de Pâques, les mois d'été (mes Juillets, mes Aoûts) et tous les week- ends il allait chez Mémé.

Au collège, Philippe a fabriqué une pelle à poussière et il l' a offerte à Mémé comment preuve de que son petit-fils savait travailler avec ses mains et aussi de qu' il n' avait pas employé d'(l') argent pour lui faire un cadeau(x). Il a été fier(ère) d' avoir appris à être loin de la société de consommation citadine.

À la ferme on (y) fallait aider et en plus il voulait prouver à sa grand- mère qu'il pouvait être utile et faire(te) un travail de paysan. Philippe et son frère travaillaient à la campagne et leur grand -mère allait avec un panier et leur(s) apportait  du pain , du fromage, du cidre.... pour le casse-croûte (se nourrir). Quelquefois il conduisait aussi un tracteur orange. Cette vie domestique avait pour lui un gt de liberté.

Dans la ferme de Mémé il était Robinson Crusoe.

Tu as bien lu le livre. Bonne analyse      13,5/20

mercredi 18 novembre 2015

Conte africain



...un petit village au loin, il marchait à travers la brousse (brochure) depuis trois jours pendant lesquels il s'était (est) nourri  de(s) plantes et de(s) petits insectes qu'il avait trouvé sur son chemin (dans son parcours).

Quand il a aperçu le village , il a été très content et il a couru  dans sa direction (vers là-bas) très vite avec l'espoir d'être accueilli.

Il a vu des enfants  qui étaient à l'école, des femmes avec leurs bébés (petits fils) (accrochés (fermés ) avec un gros tissu sur leur dos) qui récoltaient des légumes, des hommes qui tray(ir)aient les chèvres pour avoir du lait et d'autres petits enfants qui jouaient  à côté d'un groupe de personnes âgées qui étaient assises en cercle (dans le cercle)  et qui(e) parlaient et fumaient des pipes.

Adamou est entré dans le village et une jeune femme avec un petit enfant (fils) dans les bras l'a reçu et lui a offert  de la nourriture et de l'eau; après il s'est lavé  et il a dormi un peu.

Quand il s'est réveillé, ils se sont assis  devant le feu et Adamou a raconté son histoire . Les habitants  de ce village et Malika ( c'était le nom de la jeune femme) l'ont (avaient) écouté avec (à toute) attention et Adamou leur a demandé  de rester avec eux dans le village (poblat)  et leur a promis de travailler beaucoup comme un membre de plus de la tribu.

Tout à (de) coup Malika  lui a raconté aussi son histoire . Elle venait (était descendante) de la même tribu qu'(e)Adamou et elle s'est ému  parce qu'elle a découvert  qu'ils étaient frère(s) et soeur.

Quelle surprise! Hasard de la vie?

13,5/20


...un petit village au loin, il marcha à travers la brousse pendant (depuis) trois jours pendant lesquels il se nourrit  de plantes et de petits insectes qu'il trouva sur son chemin .
Quand il aperçut le village, il fut très content et il courut dans sa direction  très vite avec l'espoir d'être accueilli.
Il vit des enfants qui étaient à l'école, des femmes avec leurs bébés accrochés avec un gros tissu sur leur dos qui récoltaient des légumes, des hommes qui trayaient les chèvres pour avoir du lait et d'autres petits enfants qui jouaient  à côté d'un groupe de personnes âgées qui étaient assises en cercle et qui parlaient et fumaient des pipes.
Adamou entra dans le village et une jeune femme avec un petit enfant dans les bras le (lui) reçut et lui offrit de la nourriture et de l'eau ; après il se(s) lava  et il dormit un peu.
Quand il se réveilla, ils s'assirent  devant le feu et Adamou raconta son histoire . Les habitants de ce village et Malika (c'était le nom de la jeune femme) l'écoutèrent  avec attention et Adamou leur demanda  de rester avec eux dans le village  et leur promit de travailler beaucoup comme un membre de plus de la tribu.
Tout à  coup Malika  lui raconta aussi son histoire . Elle venait  de la même tribu
qu' Adamou et elle s' émut  quand (parce) qu'elle découvrit  qu'ils étaient frère et soeur.

Quelle surprise! Hasard de la vie?

Très bon travail Pepa.  20/20 pour la conjugaison.

lundi 16 novembre 2015

conte africain

Comme par miracle, il a trouvé une vieille bicyclette près d´un arbre. Alors, il a décidé

d'attendre un peu avant de partir avec le vélo jusqu´au (à le) village le plus proche. Ensuite,

quand il s´est approché d'un(u) arbre qu'il avait vu , il a découvert un sac qui était plein de

nourriture. Aussitôt (D´ailleurs,) il l´a pris et il est devenu très content car il a pu manger à sa faim 

(sans avoir faim). Après, il est reparti vers le village (avec le moyen de transport) en pédalant (allant)

vite car (il sentait que) le froid lui faisait mal.

Quand il est arrivé dans le village, il se sentait très fatigué  à cause des efforts pour

surmonter les situations difficiles qu´il avait rencontrées (trouvé) dans la brousse. Ensuite (En plus),

il a demandé à une vieille femme si elle voulait laccueillir (e recueillir)  pour (pendant) une nuit chez

elle afin de dormir et de reprendre des  forces. Le lendemain (Après) , Adamou l´a remerciée très fort

car elle avait été généreuse et accueillante avec lui.et il est parti avec son vélo vers  la fôret

vierge.Plus tard, il est arrivé à une petite maison détruite qui était placée au milieu de

la brousse . Alors, il y est entré et il a vu un trésor qui contenait des colliers et des

bagues en or, voire un manuscrit qui disait  que les bijoux seraient  pour celui qui ferait

du bien aux gens du village.

Ainsi, Adamou a pris une partie du petit trésor et il  l´a donné  à la vielle femme qu´il

avait connu afin de la remercier encore une fois  par son hospitalité et sa bonté.





Comme  par miracle, il trouva une vieille bicyclette près d´un arbre. Alors, il décida

d'attendre un peu avant de partir avec le vélo jusqu´au village    le plus proche. Ensuite,

quand il s´approcha d´un  arbre qu´il  avait vu , il découvra un sac qui était plein de

nourriture. Aussitôt , il  le prit et il devint très content car il put manger à sa faim.

 Après, il repartit vers le village  en pédalant vite car le froid lui faisait mal.


Quand il arriva dans le village, il se sentait très   fatigué  à cause des efforts  pour

surmonter les situations difficiles qu´il avait rencontrées  dans la brousse. Ensuite,

il demanda à une vieille femme si elle voulait l´accueillir pour  une nuit chez

elle afin de dormir et de reprendre des  forces. Le lendemain  , Adamou la remercia  très fort

car elle avait été généreuse et accueillante avec lui.et il partit avec son vélo vers  la fôret

vierge.Plus tard, il arriva  à une petite maison détruite qui était placée au milieu de

la brousse . Alors, il y entra  et il vit  un trésor qui contenait des colliers et des

bagues en or, voire un manuscrit qui disait  que les bijoux seraient  pour celui qui ferait

du bien aux gens du village.

Ainsi, Adamou prit  une partie du petit trésor et il  la  donna  à la vielle femme qu´il

avait connu afin de la remercier encore une fois  par son hospitalité et sa bonté.
Conte africain

Il trouvait une amie qu’il n’avait pas vue depuis longtemps, elle a été aussi abandonnée il y a 10 jours par sa grand-mère qui était très malade.

Elle vivait prés d’ou il vivait quant ils étaient petits, ils ont passé beaucoup de temps ensemble.
 Ils ont vécu beaucoup d´aventures et le sentiment était de nostalgie, bien qu’il  soit en disgrâce, c´était une opportunité de se rappeler du passé et de vivre de nouvelles aventures.

Après sa rencontre ils ont pensé à voyager à la capitale du pays, ou ils veulent trouver  la sœur de mamma,  que c’est le nom de cette petite fille, mais, la question est comme peuvent deux enfants traverser tout le pays sans argent et avec tous les dangers qu´on peut trouver dans la jungle.
Le premier défi était trouver un moyen de transport. Ils savaient qu’il y avait  un train qui traversait le première parte du trajet, le couple trouvait la gare et ils montaient sur le fer, froid et bruyant, mais ils se sont cache dans le wagon du bagage.

Le matin suivante ils ont arrivé à mankolo, ils avaient déjà fait la moitie du chemin, mais ils doivent encore traverser la forêt, même si il y ait beaucoup de dangers.

A la fin du chemin dans la jungle ils ont entendu un bruit de fond, il était comme une animal qui crie, ils ont commencé à courir à tout vitesse jusqu' ils arrivaient à la capitale.


Ils trouvaient la sœur de mamma, ce qui veule dire qu’ils pouvaient avoir un futur meilleur.
Vie privée des hommes politiques

À mon avis , les medias qui veulent être sérieux, rigoureux et respectueux avec l'information, doivent bien différencier la vie personnelle de la professionnelle des politiques. Il(C')est vrai qu'il y en a quelques-uns qui font une démonstration publique de leur (son) intimité et de leur (sa) famille car ils croient que ce fait leur donne de la popularité. Par contre, je crois que les moyen(ne)s de communication ont l'obligation de nous informer de la situation économique et patrimoniale , transparence et honnêteté en tout ce qui concerne (à ses) leurs décisions politiques. Ils doivent aussi informer des actions qui touchent les valeurs humaines, par exemple le cas Levinski ou le cas Strauss-Kahn. Mais à part (de) ces cas, tout le monde a le droit de (à) protéger son intimité, même les politiques (quand même).

14/20

dimanche 15 novembre 2015

INDILA, Dernière danse - Clip Officiel

la parole aux lecteurs

La parole aux lecteurs.

Monsieur le Directeur, / Madame la Directrice,

A mon avis, la situation actuelle dans laquelle tout le monde peut faire une critique de nos hommes ou femmes politiques est initialement positive. Mais quand cette critique est totalement destructive et utilise(é) la vie privée de nos politiciens pour détruire le système démocratique où nous vivons (; dans ce cas,) je pense que l’état doit établir des procédures pour protéger nos (les nôtres) institutions démocratiques et par conséquent (conséquemment à) nos représentants politiques.

Il(C’)est vrai que les politiciens doivent conserver (ont de garder) des attitudes inattaquables, mais ça ne peut pas représenter qu’ils ne puiss(euv)ent pas vivre avec normalité et vivre d’accord avec leurs (les siens) convictions religieuses, sexuelles ou sociales. Personne n’a (pas) le droit d’utiliser la vie personnelle d’un citoyen(ne), y compris (inclusse) si il ou elle est célèbre (fameuse), politicien, etc. pour l’attaqu(ch)er; dans ce cas l’administration judiciaire(eux) doit intervenir pour les protéger.


13/20

samedi 14 novembre 2015

Mémé , Rédaction nº 1

Fiche schématique sur Mémé,

- Mémé c' est le nom affectueux par lequel P. Torreton appelait sa grand- mère.

- Son prénom était Denise et son nom de jeune fille (famille) était Gosselin. Après , quand elle s 'est mariée, elle a changé son nom pour D. Dehors et à partir de son deuxième mariage elle s´est appelée D. Porte.

-Elle est née en Normandie en 1914 et elle vivait à (en) Triqueville , dans le canton de Pont- Audemer.

-André était (fut) son frère aîné et son frère cadet, qui s' appelait Bernard(t), est mort pendant (dans) la guerre. Ce fait a été une des souffrances de sa vie.

- Son premier mari, Lucien , était (a été) faible, il était (un) buveur et après (d') avoir eu trois enfants ils (s)ont divorcé(s). Leur divorce a été la cause d' une difficile situation parce qu' elle restait toute seule avec trois filles, Lucette, Colette et Claudine. Après, elle s' est remariée avec M. Porte qui était un homme veuf avec cinq enfants et dont la cadette (en plus la fille petite) , Annette , était handicapée. Du mariage avec M. Porte est né Alain qui a été le trait d' union de ses deux familles. Ce(t) petit enfant était si beau et si doux que ses petits-enfants (fils)  appelaient (à) Mémé, " Mémé Alain ".

- Mémé habitait dans une ferme et elle avait une vieille chienne, Folette, et une grande cage pleine de perruches vert et bleu.

- Tout le temps, (l') hiver comme (l') été elle portait une blouse imprimée, cadeaux de Noël de ses filles.

- Mémé est décedée en 2005, quand P. Torreton avait quarante ans, à l' hôpital de Pont- Audemer.

- Elle était (fut) une petite femme  (et) seule face au monde qui a mené (porté) une dure vie de labeur où " elle ne restait pas sans rien faire", mais cependant elle aimait les histoir(i)es d' amour

mercredi 11 novembre 2015

Conte africain

Comme par miracle ...   il trouva une petite qui était cachée derr(n)ière un buisson.
Elle avait de(s) longs cheveux et de(s) gros yeux noirs. Elle s'approcha de lui et lui demanda:
- Qu'est-ce que tu fais ici? - Ta tribu t'a rejeté et abandonné?
Alors, un instant plus tard il ouvrit la bouche (gueule) et répondit:
-Oui, je suis Adamou et toi?
- Je suis Shaira, ma tribu m'abandonnée il y a longtemps . Tu peux venir avec moi si tu veux.
Les deux enfants marchèrent longtemps pendant que la nuit tombait. Quand ils f(e)urent arrivés à une grotte, la fille parla doucement et ensuite deux garçons sorti(rè)rent de son (leur) intérieur.
- Ils sont ma famille maintenant et nous pouvons être la tienne, si tu veux- dit Shaira.
Adamou acquiesca et tous les enfants rentrèrent dans la grotte.
Le lendemain Adamou et Shaira allèrent à la chasse pendant que les autres enfants cueillaient (récolectaient) des baies et cherchaient des racines afin de se nourrir.
Ils habitaient dans la grotte à l'abri des animaux sauvages. Ils sortaient seulement pour chercher de la nourriture. Pourtant, un jour quand ils étaient à la chasse , ils trouvèrent deux enfants de plus. Ils avaient été (furent) abandonnés par (pour) leurs tribus et ils les accueilli(ê)rent aussi. Continuellement (Assiduement), il y avait des enfants rejetés et abandonnés que Adamou et ses amis accueillaient dans la grotte.
Mais la grotte était trop petite pour tous les enfants. Alors, Adamou et Shaira prirent une décision. Ils devaient chercher un endroit où ils pourr(v)aient habiter. Ils trouvèrent cet endroit près d'un ruisseau et les enfants construisirent des caban(n)es avec de la (en) terre et de l'(a vieille) herbe sèche avec leurs mains.
Ils devinrent un peuple fort, jeune et solidaire dénommé BANDILE  ((Qu')ils se sont multipliés et ont prospéré).

268 mots

13,5/20  Attention aux conjugaisons du passé simple et à la voix passive. Bon travail

Vie privée des hommes politiques



Devant la grande quantité de nouvelles sur la vie privée de nos hommes et femmes politiques qui apparaissent dans les (aux) médias, on se pose la question de si ce niveau d’exposition médiatique est bon pour la démocratie ou s’il répond plutôt à d'(des) autres intérêts (commerciaux(les), politiques, etc.).


Pour répondre à cette question, on doit analyser le sujet des informations. À mon avis, des nouvelles sur la vie strictement privée de quelqu’un, concernant, par exemple, sa vie amoureuse, n’ont aucun intérêt pour l’opinion publique. Qu’un homme politique ait un fils né hors mariage est un sujet (problème) qui lui est personnel (à lui). Fouiner sur (en) ce sujet serait, en fait, un manque de respect.


Par contre, si une information sur la vie privée de nos élus peut avoir un effet sur son travail, elle devrait être publiée. Par exemple, savoir qu’un homme politique a un poste de travail dans une entreprise privée ou qu’il a des parents avec certains intérêts cachés peut être essentiel pour comprendre l’assignation d’un marché public. En fait, enquêter (investiguer) et publier ces relations obscures c’est, à mon avis, le travail qu’un journaliste politique doit développer.

mardi 10 novembre 2015

Un conte africain

 Attention aux orphelins
 Autrefois, dans le village de Gani-Gawané, les orphelins étaient rejetés et abandonnés. Selon cette triste habitude, une année, à l'approche de la saison des pluies, le petit Adamou fut emmené dans une brousse lointaine parce que personne ne voulait plus s'occuper de lui : un de ses oncles qui l'avait recueilli après la mort de ses parents et l'avait élevé presque dix ans, mourut lui aussi et sa veuve avait beaucoup de mal à élever ses propres enfants. Le chef du village à qui elle avait fait appel décida donc d'abandonner le petit Adamou. Ainsi l'enfant se retrouva-t-il seul, parmi les animaux sauvages, à des lieues du village le plus proche.

Comme par miracle, il a trouvé… Un médecin qui est(a) venu en(a) Afrique pour faire des recherches sur (investiguer) une maladie contagieuse. Il faisait partie (formait part) d’une équipe de chercheurs (’investigateurs) européens financés par l'(e) UNESCO pour trouver un(e) vaccin(e) pour une maladie(affection). Le médecin lui a (’avait) demandé où il vivait et Adamou lui a répondu(avait dit) qu’il ne savait pas. La(e) surprise du médecin a été (est) grande, mais il (h)a pensé qu’il ne pouvait pas laisser ) Adamou tout seul dans la savane africaine avec les animaux sauvages. Jean Fournier, un jeune médecin belge a décidé de chercher le village d’Adamou, mais (depuis longtemps de après une longue  route en (avec sa(on)) voiture ils n’ont pas trouvé le petit village et la nuit et la(e) faim ont fait font nécessaire de s’arrêter pour passer la nuit. Adamou et Jean ont préparé le campement et ils ont fait un feu pour faire le dîner. Jean était très heureux, parce que Adamou l’avait aidé et qu'il était (est) très ingénieux(se), tout le contraire de (que) Jean. Durant le repas, Adamou lui avait raconté (à Jean) comment le chef de sa(on) tribu avait(ha) décidé de l'(lui) abandonner dans une brousse lointaine de son village à cause du manque de nourriture (manger) pour alimenter sa(la nutrition de son) famille. Jean lui a demandé s’il voulait aller avec lui(-il) à l’hôpital où il allait (à) travailler et où ils pourraient trouver une(quelque) solution. Le matin, ils se sont levés très tôt, ils ont pris le petit déjeuner et ils ont (ar)rangé leurs bagages et ils sont partis pour (sorti jusqu’au) Mombassa où était l’hôpital où Jean devait(oit) travailler pour (par) 6 mois. Huit heures après, ils sont arrivés à l’hôpital où (n) les camarades les(ui) ont reçu et leur(ui) ont préparé leurs chambres pour dormir.

Attention Xavi, la plupart de tes erreurs proviennent de la concordance des temps ou du régime des verbes (avec quelques prépositions ils fonctionnent ou s'il n'y en a pas).   13/20

Tâche 2. Conte africain: Attention aux orphelins

Tâche 2. Conte africain: Attention aux orphelins

Autrefois, dans le village de Gani-Gawané, les orphelins étaient rejetés et abandonnés. Selon cette triste habitude, une année, à l'approche de la saison des pluies, le petit Adamou fut emmené dans une brousse lointaine parce que personne ne voulait plus s'occuper de lui: un de ses oncles qui l'avait recueilli après la mort de ses parents et l'avait élevé presque dix ans, mourut lui aussi et sa veuve avait beaucoup de mal à élever ses propres enfants. Le chef du village à qui elle avait fait appel décida donc d'abandonner le petit Adamou.
Ainsi l'enfant se retrouva-t-il seul, parmi les animaux sauvages, à des lieues du village le plus proche. Comme par miracle, il a trouvé…
...une petite cabane (à boîte') au milieu de la(u) brousse.
Il s'est approché pour l'inspecter. Ce qui(e) l'(lui) intéressait le plus était de savoir s'il y habitait quelqu'un et s'il pouvait (s')en profiter.
Cette trouvaille pouv(rr)ait(-elle) être vitale pour sa survie.
D'abord il l'a contourée (entourée) en cherchant un(quelque) espace qui lui permettrait de regarder à l'intérieur et voilà, il y avait deux fenêtres, mais elles avaient des grilles et derrière, à une distance inaccessible pour lui, les vitres étaient si sales qu'il ne pouvait pas distinguer les différents objets de l'intérieur avec clarté.
Alors, il a décidé d'y entrer. Il s'est placé devant la porte et il a frappé avec son poing. Personne ne lui a répondu et il(on) n'a (pas) écouté aucun bruit. Il a essayé d'ouvrir mais elle était verrouillée. Alors il a décidé de la forcer. Finalement, quand il a réussi à y entrer, il a trouvé beaucoup d'objets qui(e) pouvaient lui être utiles pour survivre (une machette, une hache pour couper du bois, des pièges pour chasser, deux fusils avec leurs munitions, des cordes, des outils pour cuisiner…) et surtout, le plus important, un nouveau foyer pour se mettre à l'abri pendant un temps.
Il a trouvé aussi d'autres choses très curieuses qui (lui) ont attiré son(l')attention. Et cinq semaines plus tard, il a fait une découverte très «mystérieuse» à l'intérieur de la cheminée.
Il y avait caché un coffre fort qui empêchait la fumée de sortir . C'est comme (pour) ça qu'il l'a découvert. Il a essayé de l'ouvrir en utilisant tout son génie. Enfin, il a trouvé la solution à ses problèmes…

(258 mots)                                                15/20

 Texte au Passé simple 
 
Il s' approcha pour l'inspecter. Ce qui l'intéressait le plus était de savoir s'il y habitait quelqu'un et s'il pouvait en profiter.
Cette trouvaille pouvait être vitale pour sa survie.
D'abord il la contourna en cherchant un espace qui lui permettrait de regarder à l'intérieur et voilà, il y avait deux fenêtres, mais elles avaient des grilles et derrière, à une distance inaccessible pour lui, les vitres étaient si sales qu'il ne pouvait pas distinguer les différents objets de l'intérieur avec clarté.
Alors, il décida d'y entrer. Il se plaça devant la porte et il frappa avec son poing. Personne ne lui répondit et il n'écouta aucun bruit. Il essaya d'ouvrir mais elle était verrouillée. Alors il décida de la forcer. Finalement, quand il réussit à y entrer, il trouva beaucoup d'objets qui pouvaient lui être utiles pour survivre (une machette, une hache pour couper du bois, des pièges pour chasser, deux fusils avec leurs munitions, des cordes, des outils pour cuisiner…) et surtout, le plus important, un nouveau foyer pour se mettre à l'abri pendant un temps.
Il trouva aussi d'autres choses très curieuses qui attirèrent son attention. Et cinq semaines plus tard, il fut une découverte très «mystérieuse» à l'intérieur de la cheminée.
Il y avait caché un coffre fort qui empêchait la fumée de sortir. C'est comme ça qu'il le découvrit. Il essaya de l'ouvrir en utilisant tout son génie. Enfin, il trouva la solution à ses problèmes…

mardi 27 octobre 2015

Pour le mercredi 28 Octobre

      On a fait,

-Nous avons écouté de possibles chansons pour le karaoke de Nöel et nous avons choissi celles que à notre avis étaient les plus adéquates.

- Ensuite nous avons fait les pages 8 et 9 du livre.

      À faire,

- Maintenant on peut décharger le texte à trous de Mémé, il y avait un probléme dans la page mais c´est déjà resolu. Vous devez imprimer seulément les pages 1 et 2 car les solutions sont  dans le troiséme page.

Bonne journée .À mercredi.

lundi 26 octobre 2015

Yannick Noah Je Suis Métisse Version Live

Metisse de Yannick Noah

Activités sur Mémé de Philippe Torreton

FICHE DE LECTURE SUR LE LIVRE MÉMÉ DE PHILIPPE TORRETON
Nous écouterons des interviews sur cet auteur et sur son livre.

Nous ferons un texte à trous sur ce thème.

Un travail sur l'argot apparaissant dans ce livre se fera également.

ACTIVITÉS DE COMPRÉHENSION ÉCRITE OU ORALE

Faites deux des activités suivantes :

Dressez une fiche schématique avec toutes les informations dont on dispose sur la grand-mère de Philippe Torreton

Relevez dans le livre les éléments pour faire un récit de l’enfance de Philippe Torreton (300 mots).

Faites un récit sur l’importance de l’humidité dans ce livre. (200 mots)

Réécrivez comme un récit journalistique qui présenterait l’alimentation et le recyclage dans les campagnes auparavant les pages 69, 70 et deux premières lignes p 71.

Relevez dans le livre les éléments qui parlent de la vie quotidienne dans un village de campagne dans les années 50/60 et complétez-les en cherchant des informations sur Internet pour en faire un exposé en classe.

Écrivez la lettre de reproches que Philippe Torreton aurait pu écrire au prêtre qui a officié la céré monie de l’enterrement de sa grand-mère.

Écrivez ou enregistrez le sermon que le prêtre qui a officié à l’enterrement de la grand-mère de Philippe Torreton aurait pu écrire, en donnant une large place aux qualités humaines de cette personne et en contant des anecdotes pour les illustrer.

EXPRESSION ÉCRITE : Au choix, rédigez un sujet de chaque type (en 300 mots)

Vous participez à la Rubrique "Un jour, un livre" d'un magazine littéraire français et vous développez les thèmes suivants :

1) Présenter l'un des personnages ci-dessous:
La grand-mère de Philippe Torreton
Philippe Torreton pendant son enfance
2) Développez l’un des thèmes ci-dessous :
La vie dans un village de Normandie à cette époque
La description de son enfance, réalité ou nostalgie ?

En imitant le style de Philippe Torreton, écrivez un récit comme une ode à votre grand-mère ou grand-père.

dimanche 25 octobre 2015

Conte africain

       Comme par miracle, il a trouvé(trouva) une plante dont l(s)es fruits avaient un bon goût. Il s'était( est) rendu compte que son premier problème était la nourriture. Il a cherché des baies, des racines, de nouveaux fruits qu' il ne connaissait pas jusqu'alors et qui l' aideraient à ne pas souffrir de la faim.
      Le deuxième problème qu'il a éprouvé(trouvé va être) était la nuit  avec ses sons menaçants et l' obscurité qui(e) allait en augmentant(tion).....il a pensé qu'il (e) cour(r)ait le risque de mourir , d'être devoré par un (quelque) animal sauvage. En plus il a senti le(de) froid, il a dû (eu que) se mettre à chercher une caverne où s'abriter et ainsi se protéger du froid et des dangers. De cette manière-là il (y) avait déjà resolu les deux problèmes principaux, la nourriture et la protection.
      Bien que les premiers jours il ait(avait) été désolé, à mesure que le temps passait sa valeur reprennait et il devenait plus vaillant et courageux.
      Il a aussi trouvé un ruisseau où il y avait des poissons qu'il a commencé à pêcher. Un autre jour il a fait un feu, ce qu'il avait appris à faire (il en avait apprendu à mettre) dans le lieu où il avait vécu avec ses oncles ; grâce à (avec) cela il a ainsi (déjá) pu se chauffer et cuisiner.
      Quand il commençait (a commencé) à mener (porter) une vie paisible un jour, tout à coup, un groupe de chasseurs est apparu (sont apparus) et ils ont voulu qu'il parte(it) avec ceux. Alors il a pensé : les personnes que j'aimais (e voulais) m' ont abandonné, maintenant je suis heureux, si je pars avec ceux-ci vers un endroit " civilisé" pourrai-je être heureux ou bien dans quelque temps (moment) souffrirai-je aussi l'abandon et la solitude?........

Récit bien construit et cohérent. Attention aux structures.          14/20


    Comme par miracle, il trouva une plante dont les fruits eurent un bon goût. Il fut se rendre compte que son premier problème était la nourriture. Il chercha des baies, des racines, de nouveaux fruits qu'il ne connut pas jusqu' alors et qui l' aidèrent à ne pas souffrir de la faim.
Le deuxième problème qu' il éprouva fut la nuit avec ses sons menaçants et l' obscurité alla en augmentant.... il pensa qu`il courrait le risque de mourir, d' être devoré par un animal sauvage. En plus il sentit le froid, il dut se mettre à chercher une caverneoù s' abriter et ainsi se protéger du froid et des dangers. De cette manière-là il resolut les deux problèmes principaux, la nourriture et la protection.
    Bien que les premiers jours il  fut desolé, à mesure que le temps passa sa valeur reprit et il devint plus vaillant et corageux.
    Il trouva un ruisseau où il y avait des poissons qu' il commença à pêcher. Un autre jour il fit un feu, ce qu' il avait appris à faire dans le lieu où il vécut avec ses oncles; grâce à cela il ainsi put se chauffer et cuisiner.
    Quand il commença à mener une vie paisible un jour, tout à coup, un groupe de chasseurs apparut et ils voulurent qu' il parte avec ceux. Alors il pensa : les personnes que je aima m' ont abandonné, maintenant je suis heureux, si je parts avec ceux-ci vers un endroit "civilicé" pourrai-je être heureux ou bien dans quelque temps souffrirai -je aussi l' abandon et la solitude?

samedi 24 octobre 2015

Vie privée des hommes politiques

Les hommes politiques ont seulement une vie, mais une partie de leur vie appartient au domaine public et l'autre partie au domaine privé.
 La vie privée des hommes politiques ne m'intéresse pas. Je crois que le plus important(e) c'est qu'ils soient compétents, honnêtes et transparents.
 Néanmoins, je sais que leur vie privée est un sujet d'actualité car il y a des politiques qui montrent leur vie privée, qui se servent des médias pour créer une bonne opinion publique et par conséquent se faire rélire. On peut dire qu'ils emploient des stratégies de communication politiques afin d'en tirer  bénéficie(r).
 À mon avis, on doit respecter les hommes politiques, qu'ils montrent leur vie privée ou pas.

Bonne expression Maria, mais un peu court.                            14/20

mardi 20 octobre 2015

La parole aux lecteurs

        De no(u)s jours la politique s'est convertie en un grand spectacle et par conséquent la vie des hommes politiques fait (forme) partie du show.
        Un homme politique a reçu la commande de traiter le bien public parce que les gen(t)s ont (une) confiance en lui, parce qu' ils (lui) voient sa façon d'être dans sa vie privée.
        J' ai toujours pensé que les hommes publics devraient avoir une transparence totale dans leur vie privée et leur patrimoine et qu'ils doivent mener (porter) une vie privée discrète de telle façon (forme)  que s'ils font le contraire , s'ìls mènent (portent) une vie scandaleuse , ils s'exposent à des critiques (sont exposés que les critiques apparaissent).


13/20

lundi 19 octobre 2015

Bonjour Albane,

J'ai une bronchite qui m’empêche de participer au cours ce soir. Je vais bien travailler tous les exercices.  J’espère pouvoir me joindre à vous le plus tôt possible.
Merci.

lundi 12 octobre 2015

LIVRES DE LECTURE : LISTE COMPLÈTE

Voici les références des livres que nous étudierons cette année.


·                      Mémé de Philippe Torreton, Livre + CD, Ed. L’Iconoclaste
           ISBN 978-2-91336-674-9

·                    Le village évanoui de Bernard Quiriny, Editions Flammarion
           ISBN 978-2-0812-9031-0

·                    Dehors la vieille de Géraldine Dubois, Editions La Jouanie
           ISBN 978-2-37047-0560 

mercredi 7 octobre 2015

NOTRE PREMIER LIVRE DE LECTURE

Pour le premier trimestre, nous lirons et ferons des activités sur le livre de Romain Puértolas L'EXTRAORDINAIRE VOYAGE DU FAKIR QUI ÉTAIT RESTÉ COINCÉ DANS UNE ARMOIRE IKEA, Ed. Le livre de poche ISBN 978-2-253-17990-0