Demain j’arrête !
de Gilles Legardinier
Pendant le mois de
Juillet, J’ai lu le livre Demain
j’arrête! Je veux dire que ça a
été un livre très amusant pour lire pendant les vacances. Après
Rien ne s’oppose à la nuit,
qui raconte une histoire tragique et réelle, j’ai aimé lire un
livre comme ce de Gilles Legardinier, avec une histoire sympa et
plein de « trucs » très drôles -comme dit tout le temps
l’écrivant en bouche des personnages.
Le personnage
protagoniste, Julie est une jeune femme –elle fête son vingt-neuf
anniversaire pendant l’histoire-, qui travaille à la banque et
déteste son travail. Elle nous raconte en première personne son
truc le plus drôle et idiot… Mais on écoute –lit- ses
sentiments et pensées, et on assiste, aussi, à sa vie, à d’autres
trucs, à d’autres histoires, à la vie d’autres personnages…
À partir de
l’arrivée à son immeuble de Ric, un jeune informatique qui attire
son coeur du premier moment, la vie de Julie change. Pendant ce
changement, Julie va tomber amoureuse de Ric et toute sa vie virera
autour de son centre.
Les premiers jours
Julie fait tout ce qui c’est possible pour connaître Ric et savoir
qui il est et comment il ressemble. Le nom, Ricardo Patatràs, écrit
à la boite à lettres c’est la chose qui fait attirer Julie au
premier moment. À la fin, ils se connaissent quand la main de Julie
ne peut pas sortir de la boite à lettres de Ric, où sa lampe –usée
pour faire ces investigations sur lui- est tombée. On se connait et,
peu à peu Julie, nous raconte son attirance pour Ric, ses doutes,
ses questions non répondues, … comme celles d’une femme qui est
tombée amoureuse… Elle fait tout le possible pour être à son
côté et le connaître mieux: elle va courir avec il –pourtant
qu’elle ne cour jamais-, ils vont ensemble à un concert, ils
dinent ensemble, ils vont à un engagement, … Peu à peu, ils sont
des amis, mais Julie se lamente des silences de Ric, qu’il ne
raconte jamais son passé, qu’il a souvent des trucs à faire, et
décide de le poursuivre un matin quand il va courir… Avec son amie
Sophie, elle découvre que Ric fait quelque chose étrange près du
domaine de la famille Débreuill, une riche famille reliée aux
designs de sacs à main . À la maison de Ric –un jour où il est
malade et Julie y va pour le soigner- ,elle découvre des plans et
des photos de la maison… Julie s’imagine qu’il est un voleur et
qu’il va cambrioler les bijoux de la famille Débreuill pendant
l’inauguration de son musée.
À la fin, Julie
veut faire n’importe quoi pour démontrer à Ric qu’elle l’aime
et ne le veut pas perdre. Il décide un plan pour voler les bijoux à
madame Débrevuill avant l’inauguration du musée. Pour ça elle
demande l’aide de ses amis, qui roulent parfaitement son papier :
Xavier de conducteur et protecteur, Sophie qui est devenue
journaliste d’une revue de mode ; et madame Bergerot -la
propriétaire de la boulangerie où Julie travaille après avoir
quitté le banche- , qui fait le papier de riche dame russe… C’est
un moment très rigolo et c’est le moment où Julie –au papier de
secrétaire de la dame russe imaginaire- fait son truc le plus idiot.
À la fin, elle
arrive au cœur de Ric, qui le raconte toute l’histoire: pourquoi
son intérêt par la famille Débrouill et surtout pour un sac à
main qui fut construit par ses parents… et qu’il voulait prendre
pour démontrer que la riche famille a fait son richesse en se
profitant d’autres…
L’histoire
principale, l’amour de Julie par Ric et toutes les choses qu’elle
sent, qu’elle fait et qu’elle pense, finissent bien et elle nous
laisse des conseils : « Portez-vos bien. Aimez. Risquez.
Ne renoncez jamais ».
L’histoire de
Julie est laquelle d’une femme tombée amoureuse sens réserves.
Mais on peut voire d’autres aspects de la vie de la
narratrice-protagoniste qu’y sont reliés. Julie change son boulot
à la banque –parce qu’il ressent qu’elle ne sert à travailler
là, elle pense que les banquiers sont des cambrioleurs et qu’ils
font n’importe-quoi pour vivre bien- pour faire de vendeuse à la
boulangerie de Madame Beugerot. Ce changement est un but que lui fait
se réjouir, connaitre d’autres personnes et vivre sa vie à une
autre vitesse et d’une manière plus joyeuse.
D’autres histoires
se sont développées pendant celle de Julie et son enchantement
amoureuse : la maladie et la morte de madame Roudin, sa vielle
voisine avec laquelle elle trouve une amie, une confidente, une
grand-mère… et un métier pour se sentir utile ; l’engagement
de son amie Sarah, avec un pompier australien ; et, surtout tout
le travail pour sortir du garage la voiture qui a construit son
ami-voisin Xavier…
L’expression, la
langue, est très facile à comprendre, mais il y a beaucoup de mots
qui proviennent de l’argot populaire et des jeunes et que j’ai du
chercher au dictionnaire. J’aime le fait que le livre ait été
écrit en première personne et que la voix soit féminine, parce que
Julie se ressemble à une amie qui nous raconte ses histories
amoureuses et ses aventures. On la sent à nôtre coté, près de
nous. Ses commentaires, ses pensées, ses phrases suspendues et ses
sentiments s’identifient beaucoup auxquels d’une femme et aussi
d’une femme qu’y ait été amoureuse quelquefois. J’ai aimé
beaucoup ce livre pour ça.
Joana
Maria Sastre Vanrell
29
juillet 2014
Avancé
I (2013-14)
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