Rien
ne s’oppose à la nuit de Delphine de
Vigan
J'ai fini,
finalement, le livre Rien ne s’oppose
à la nuit. Oui! J’en suis ravie,
d’avoir arrivé à la dernière page !
Pour moi, ça a a
été un livre trop triste, très dramatique, qui m’a touché le
cœur et m’a fait du mal à l’âme. Je l’avais commencé ça
fait plus de quatre mois, mais je ne l’ai pu finir pendant le
cours. En tous ces mois, je ne suis attiré à le finir pour une
raison principale: à partir des premiers chapitres il était
déprimant et me faisait mal au cœur penser que c’était une
histoire réelle. Au même temps, je prévoyais que toute l’histoire
qui serai racontée ne serai pas positive parce que le final c’était
la morte par suicide de la mère de l’écrivant. J’ai repris le
livre quand j’ai commencé mes vacances. Et j’ai décidé de le
finir rapidement.
Je crois que
Delphine de Vigan a fait un exercice psychologique, comme si avec ce
livre elle voulait –à part de faire un hommage à sa mère- se
guérir de ses pensées de culpabilité par sa morte et chercher sur
la vie de sa mère l’explication à tout. On dit que la littérature
quelquefois sert à guérir les âmes : avec ce livre, De Vigan
à voulu, non seulement, trouver l’explication des crises, des
abîmées et des problèmes de sa mère, mais aussi les leurs… Une
recherche pour se guérir l’âme.
Pour connaître le
passé, l’écrivant a lu des textes personnels de sa mère, a
cherché entre les documents et papiers de la famille, les photos…
et a parlé avec sa famille et ses amis pour pouvoir donner une image
le plus explicative possible de la personnalité changeante et
bouleversante de Lucile.
Le livre commence
par le final et on connait l’enfance de Lucile, laquelle de ses
frères et sœurs dans la famille formée par Liane et Georges.
Pendant de plus de quatre-cents pages unies par trois grandes parts
et de brefs chapitres séparés par des espaces en blanche, se
débrouille, aussi, tout l’univers d’extravagances qui se forme
autour des Poirier et de Lucile : son “travail” à l’enfance
comme mannequin, sa relation “étrange” avec son père, la morte
et les suicides qui l’entourent (son frère Antonin et le suicide
de Jean Marc et d’autres), ... Après on parlera de l’adolescence,
de toute sa vie portée à l’extrême, de ses amants, de ses
aménagements à différents lieux…, mais aussi on racontera les
mystères de sa personne, de sa personnalité changeante et, de
manière un peu occulte, on parlera de la possible relation
incestueuse de Lucile avec son père... Tout ça, entouré de
quelques moments positifs comme la naissance de ses filles.
La fin du livre
raconte les crises de Lucile ( quelqu’une de très dure pour ses
filles) et sa lutte finale pour étudier et trouver un bon travail et
sortir de son abime, mais aussi sa maladie de cancer et sa décisiot
finale de “mourir vivante”.
Le personnage
principale c’est lequel de Lucile, mais la voix du livre c’est
laquelle de ça fille, Delphine. L’écrivant raconte ses troubles,
ses doutes, ses nuits sans dormir pendant l’élaboration du livre,
ces conversations avec ses familiales, le changement de son point de
vue sur sa mère à chaque information qu’elle en connait.
De Vigan, avec Rien
ne s’oppose à la nuit, a voulu
montrer l’âme de sa mère, mais au même temps a ouvert la sienne.
Ces deux âmes m’ont touché la mienne…
Joana Maria Sastre
Vanrell Avancé I (2013-2014) 30 june 2014
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