Aujourd’hui il(c’)est très difficile
de préserver la sphère privée de la surexposition médiatique parce que les
technologies de l’information et des communications nous ont fait penser que
nous pouvons tout (le) savoir sur tout le monde (tout de tous). Et c’est vrai, mais il(c’)est aussi vrai que
notre vie a perdu sa(la) confidentialité et il semblerait (parait) que nous n’en sommes pas
conscients. Un petit exemple de la vie privée perdue ce sont les groupes de
WhatsApp. On (hi) crée un groupe pour célébrer un anniversaire et on y(hi) met ses
amis et, s’il y a plus d’un administrateur, chacun y(hi) met ses(leurs) amis et moi, (je) qui(e) ne suis pas (une) amie d’un ou de plusieurs d'entre (d’)eux, alors je suis dans un groupe avec des personnes
que je ne connais pas, mais j’ai leurs numéros de téléphone et elles ont le
mien. Tout ça avec les conséquences qui peuvent découler de la transmission de
cette information.
Sans aller plus loin, nous savons que ce qui(e) (c’)est important à nos yeux, (ce) ne l’est pas (important) aux yeux d’une autre
personne. Et l’information est pouvoir. Mais il(c’)est aussi vrai que tout ça c’est
comme un château de sable que(i) l’écume (s’)emportera parce qu’ils ne sont pas nos
amis. C’est la réalité virtuelle.
Un autre exemple dont nous pourrions parler c’est l’image, les photos que nous affichons sur Facebook, de nous et de nos enfants (fils), et qui laisseront une empreinte qui est très difficile à(d’)effacer.
Pour cette raison nous devons
être prudents(sages) au moment d’utiliser la technologie et de partager notre information
parce que ça sera l’unique manière de rester calme et de sauvegarder notre vie
privée.
Réfléchissons-y(-nous).14,5/20
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