lundi 16 janvier 2017

Vie privée

La vie privée que nous avons perdue

 Aujourd’hui il(c’)est très difficile de préserver la sphère privée de la surexposition médiatique parce que les technologies de l’information et des communications nous ont fait penser que nous pouvons tout (le) savoir sur tout le monde (tout de tous). Et c’est vrai, mais il(c’)est aussi vrai que notre vie a perdu sa(la) confidentialité et il semblerait (parait) que nous n’en sommes pas conscients. Un petit exemple de la vie privée perdue ce sont les groupes de WhatsApp. On (hi) crée un groupe pour célébrer un anniversaire et on y(hi) met ses amis et, s’il y a plus d’un administrateur, chacun y(hi) met ses(leurs) amis et moi, (je) qui(e) ne suis pas (une) amie d’un ou de plusieurs d'entre (d’)eux, alors je suis dans un groupe avec des personnes que je ne connais pas, mais j’ai leurs numéros de téléphone et elles ont le mien. Tout ça avec les conséquences qui peuvent découler de la transmission de cette information.
Sans aller plus loin, nous savons que ce qui(e) (c’)est important à nos yeux, (ce) ne l’est pas (important) aux yeux d’une autre personne. Et l’information est pouvoir. Mais il(c’)est aussi vrai que tout ça c’est comme un château de sable que(i) l’écume (s’)emportera parce qu’ils ne sont pas nos amis. C’est la réalité virtuelle.
Un autre exemple dont nous pourrions parler c’est l’image, les photos que nous affichons sur Facebook, de nous et de nos enfants (fils), et qui laisseront une empreinte qui est très difficile à(d’)effacer.

Pour cette raison nous devons être prudents(sages) au moment d’utiliser la technologie et de partager notre information parce que ça sera l’unique manière de rester calme et de sauvegarder notre vie privée. 
Réfléchissons-y(-nous).

14,5/20

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