dimanche 4 décembre 2016

Assez de (Il est suffisant aux) restrictions budgétaires à l'Education nationale!
                 Lyon, le 12 octobre 2016
Madame la Directrice,
Nous sommes les parents de l'élève Laia Martorell qui cette année scolaire a commencé ses études à l'école primaire et nous venons de recevoir la note que vous nous avez envoyée pour nous communiquer que, malheureusement d'après moi, l'année prochaine l'apprentissage des langues ne sera plus introduit dès l'école primaire à cause d'une restriction budgétaire de part de l'éducation nationale.
Avant tout nous voulons vous remerciez, (à) vous et les (aux) professionnels de l'école primaire Simone de Beauvoir(e), pour votre magnifique travail et votre dévouement (dedication) envers nos(tres) enfants.
De (En) plus, nous voulons vous exprimer(z) que nous savons que cette situation n'est pas de votre faute, mais nous sommes vraiment très étonnés et plus que fâchés, indignés et déçus.
Nous, comme d'autres parents, ne sommes pas d'accord avec cette décision dont nous sommes très mécontents parce que, d'abord nous nous demandons : est-ce que l'apprentissage des langues vivantes n'est pas une partie des enseignements de l'école primaire?
Alors, pourquoi nos enfants doivent-ils les étudier au cours municipal après l'école, comme s'il s'agissait d'une activité extra-scolaire au lieu de l'école, et en plus on doit le payer et en acheter le matériel?
Quel type de personnes veut-il former, peut-être des ni-nis?
À notre avis, l'apprentissage d'une langue comme l'anglais à l'école primaire est très important et essentiel pour l'éducation des enfants.
De (En) plus, si les parents doivent assumer les frais decours à l'extérieur (payer le cours et en acheter le matériel), alors il y aura beaucoup d'enfants qui ne pourront pas y aller parce que leurs parents ne peuvent pas se le permettre (ni le payer ni l'acheter) à cause de la crise: cette année beaucoup d'entre eux n'ont déjà pas pu acheter les livres du cours scolaire.
Nous croyons qu'il y a plusieurs solutions à cette situation :
En premier lieu, à l'école on peut essayer de réduire les dépenses comme par exemple le chauffage, l'électricité, les photocopies..., faire les sorties dans les  (aux) environs du village à pied, etc.
Vouspourriez aussi (En plus) acheter le matériel du cours avec lequel créer un "service de prêt(e)" ou une "bourse de prêt(e)" pour (à) ceux qui ne peuvent pas l'acheter.
Il faudrait aussi (En revanche) demander au Gouvernement national(e) de réviser le budget et de distribuer 5% de la partie réservée à (de) Défense à L'Education.
Dans (À) l'attente de votre réponse, nous vous prions d'agréer, Madame la Directrice, nos(tres) meilleures salutations.

13/20 Maria, attention à l'utilisation de la ponctuation etdes connecteurs.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire