La journée pour
Bertrand avait(ez) commencé relativement bien : le mariage de Vincent et
Bérengère avait(ez) été (était) le troisième de la journée. Les deux
premiers s'étaient bien passés, car les fiancés avaient(ez) un bon niveau
intellectuel et, le(s) plus important, un amour sincère.
Il faut (faillait) remarquer que le prêtre avait eu certains problèmes à l’heure
d’organiser un rendez-vous avec Vincent et Bérengère, et ça
l’avait déçu un peu(x). Mais, malgré(ais) ça, il avait hâte de
célébrer le mariage. En plus, le père de la mariée était(é) venu le
voir pour discuter sur le payement de la cérémonie et pour l’inviter
à boire un verre au cocktail après le mariage.
Depuis des jours,
Bertrand n'était pas le même: il sentait que quelqu’un le surveillait(vigilé).
Selon lui, s’était un esprit malin(gne). Ce fait lui compliquait les
jours et, surtout, les cérémonies qu’il officiait(avait), car il était
distrait et aussi, apeuré(ait). Le jour du mariage de Vincent et
Bérengère n'avait pas été(ait) différent.
Quand (Qu’an) la cérémonie avait(était) commencé, Bertrand se sentait bien mais, de toute façon, il avait(ez) un mauvais(mal) pressentiment(présentimant). Et, effectivement, cet esprit était
apparu pendant que le chœur chantait(ez). Il avait regardé tous les invités
pour demander de l’aide mais personne l'avait(e) regardé ni ne lui avait prêté (fessait) attention. Après avoir demandé(er) de l’aide à Dieu, l’esprit malin(gne) était(et) parti(s). Mais, malheuresement, il était revenu(s) encore. Cette fois-ci, il lui avait(ez) fait perdre les formes et il s'(c)’était trompée avec
le nom Vincent et l’avait(s) appelé Florent. La bête, qui aussi lui
prenait la tête pendant toute la céremonie, avait(ez) réussi(t) que
Bertrand n’aille pas boire un verre comme il avait promis au père de la
mariée. Il avait commencé à croire que tous(t) les invités l’ignoraient(é) et
qu’ils ne devaient être dans son église parce qu'ils ne le méritaient
pas.
Finalement, lorsque
le prête avait(ez) marié les fiancés, il avait(ez) hâte que tout le monde
parte de l’église (abas) et le laisse en paix(ît). Seul, mais en paix(ît)
10/20
10/20
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire