vendredi 23 février 2018

Les applications pour manger sainement : source de bien-être ou source de Stress?

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Aujourd’hui, avec le développement et la généralisation des Smartphones Android, il existe la fièvre des applications ; on a de multiples applications pour n’importe quoi, et elles sont destinées à tous les âges. 
Je vais réfléchir sur celles qui ont pour (l’)objectif le (du) contrôle continu des calories de la nourriture que nous consommons, et celles qui comptent les calories brûlées pendant nos pratiques d’exercice physique (ou, simplement, quand nous bougeons (en bougeant)),  et qui ont comme principaux destinataires les adultes qui sont plus ou moins jeunes et  ceux qui sont d'âge mûr (à la maturité), mais, malheureusement, elles peuvent aussi être utilisées par(our) les adolescents.
L’intérêt excessif pour ce contrôle entraîne que, si nous n’y prenons garde, nous pouvons passer presque toute la journée à surveiller (en attendant) notre Smartphone et ces applications. Si, en plus, nous nous socialisons avec des copains en parlant trop de ces sujets, en nous comparant les uns aux a(o)utres, etc., il arrive un moment où (qu’)ils deviennent de(s) véritables obsessions qui peuvent nous faire nous sentir dégoûtés de (à dégout avec) nous-mêmes et, par conséquent(ce), nous apporter souffrance et différentes maladies physiques et mentales (comme c’est le cas, par exemple,  des troubles alimentaires –l’anorexie ou la boulimie - ,  et des conduites obsessives et additives au téléphone mobile –Nomophobies- , à ses  applications et aux pratiques compulsives qu’elles déclenchent (promeuvent)). 
Il est bon de vouloir éviter l’embonpoint et de désirer avoir une bonne silhouette. C’est vrai que ces applications nous aident à mieux connaître les calories que nous ingérons et dépensons.   Mais être toute la journée préoccupé par (à l’attente de) ce contrôle, ou réduire la prise alimentaire aux  aliments hypo-caloriques,  est très mauvais pour la santé.
On doit réussir à bien utiliser les applications et, surtout,  on doit(ve) apprendre à manger mieux si nous voulons maigrir ou si nous désirons maintenir notre corps à son (dans le) poids idéal, en nous occupant toujours de notre santé physique et émotionnelle. 

Catalina París

par conséquent / en conséquence

attendre = laisser passer du temps Ex : attendre l'autobus

Bon travail Catalina 16/20

lundi 19 février 2018


Elizaveta

Le langage, c’est un  moyen de communication avec autrui, et le monde qui nous entoure. Parler d’autres langues permet de rencontrer de nouvelles personnes et surtout de se faire de nouveaux amis.  Lorsqu’on étudie une nouvelle langue tardivement, à partir de 6 ou 7 ans ou généralement à partir de l’âge adulte, (;)  on passe d’abord obligatoirement par sa langue maternelle Ce premier système linguistique, que l’on maîtrise depuis le plus jeune âge, reste comme un référent, l’intermédiaire nécessaire pour apprendre une langue étrangère(er) et inconnue. Un transfert de connaissances commence ; au départ, on traduit mentalement le vocabulaire, on utilise les structures grammaticales qui nous sont familières, notamment pour comparer.(,) Même s’il s’agit d’un langage radicalement différent du sien, comme par exemple l’arabe (dans mon cas), la première langue  joue initialement le rôle de repère. Penser directement dans la langue étrangère représente un effort intense et demande du temps. Petit à petit, le deuxième système linguistique fait son nid dans le cerveau et devient indépendant ; On y recourt de façon plus directe, sans nécessairement passer par le premier. On gagne autonomie dans la langue apprise. A mon avis(e), même si on essaye d’apprendre un langage différent du(que le) nôtre et même si (pour tan bien qu´) on le parle et on le prononce très bien (;)  il y aura toujours quelque chose qui(e) (nous) rappellera(s) notre (son)  origine ; si ce n'est pas notre (no es la) façon de nous (s´) habiller c’est la couleur de la peau, la famille….
Personnellement, j’essaye de parler les(a) langues étrangères(er) (castillan (Castellane) et catalan) du mieux  que je peux ; mais avec le f(F)rançais j’ai un autre sentiment ; durant longtemps (beaucoup de temps) je l’ai considéré comme ma deuxième langue maternelle ; pour cela j’essaye de renouer avec cette langue tant que je le peux. Je n’aime pas perdre ma langue maternelle ; on dit : « Un homme qui perd sa langue maternelle est infirme pour la vie. Je suis d’accord, ma langue c’est mon identité.

Aziza, je suis très contente de pouvoir être à tes côtés dans cette quête.  15/20





dimanche 4 février 2018

L'âge est dans la tête


Production écrite - Entre Nous 4 - Page 178




Messieurs,


Je m'adresse à vous par rapport à votre numéro spécial de santé, dans lequel vous vantez les mérites des interventions chirurgicales esthétiques, en invitant les (aux) lecteurs à les essayer au plus vite.
Un tel raisonnement de votre part est, à la fois, surprenant et décevant.
Il est surprenant de constater qu'une magazine de santé incite (à) ses lecteurs à se laisser opérer pour des raisons purement esthétiques, compte tenu(e) des problèmes qui peuvent être causés (originés) par une opération. Même en laissant de côté les possibles infections et la douleur, il est bien connu qu'une opération peut causer (originer) la perte de la sensibilité cutanée, la faiblesse des extrêmités et, dans quelques cas, même la perte du contrôle intestinal.
Mais, surtout, il est regrettable qu'un journal médical et scientifique prenne(d) partie pour la marchandisation de l'être humain. On reste toujours dubitatif devant (par) la multiplication des annonces qui montrent un processus de matérialisation croissante du corps humain et une tendance aussi croissante à la banalisation, particulièrement quand cet article a été publié dans un(e) magazine scientifique international(e).
Je vous incite vivement à faire une révision du point de vue défendu (soutenu) dans votre article et je vous prie de rectifier les données inexactes mentionnées dans cette publication. Je vous invite également à modifier votre positionement et à analyser votre façon de penser.
Je saisis également cette occasion pour vous dire combien j'apprécie votre travail scientifique, en général, et je vous prie d'accepter, mesieurs, mes salutations distinguées,


Luisa Fernández

15/20

samedi 3 février 2018

Production écrite - Entre Nous, Page 182, Exercice C




Tout d'abord : êtes-vous sûre que les autres présupposent comment vous allez vous conduire, à cause de votre accent ? Une expérience que nous avons souvent eue dans nos services internationaux(l) de coaching c'est que, la plupart des fois, ce genre de présuppositions ne correspondent pas à la réalité. Au contraire, celles-ci sont créées par nous-mêmes, en fonction de notre psychogénéalogie et de ce que nous avons vécu auparavant.

Le désir de s'améliorer, d'évoluer et de développer nos(tres) habiletés est absolu(te)ment inhérent à notre espèce, à condition qu'il soit (est) compris comme une opportunité, comme un plaisir, et pas comme un devoir dont on doit tenir compte pour satisfaire les (aux) autres.

Dès que nous regardons l'être humain comme un être qui s'est réincarné dans la matière pour faire une expérience, c'est précisément pour apprendre que nous sommes sur (dans) cette planète.

À notre avis, vous devriez commencer par(our) "lâcher prise". C'est à dire : ignorez(-vous) les comparaisons et les critiques des autres. Arrêtez(-vous) de vous soucier de(par) ce qu'on attend de vous et retrouvez votre estime personnelle. Allez(-y) à la rencontre de vos rêves et essayez de rencontrer votre enfant sacré : cet enfant que vous étiez (une fois) auparavant, lorsque vous n'aviez pas encore été blessé. Un enfant qui habite encore en vous et qui veut tout le temps découvrir.

Donc pour finir, Elizaveta, prenez des cours de phonétique française si vous en avez vraiment le (un vrai) désir et si ça vous fait plaisir. Mais oubliez(-vous de) l'op(p)inion et les remarques (des rémarquements) des autres. Vous êtes déjà unique, Elizaveta, quel que soit l' (n'importe pas quel) accent que vous avez.

Et, en plus, pour conclure, un peu d'accent russe peut être (très) charmant, quand l'attitude de celle ou celui qui parle est charmante aussi.

14/20

mercredi 24 janvier 2018

PRODUCTION ÉCRITE PG. 182

Elizaveta,

Je comprends ce que tu veux dire. Pas parce que (pourquoi) je l’ai(e) experimenté, mais parce que je suis professeur d’espagnol et j’ai enseigné la langue à beaucoup d’étrangers. Je t’assure que beaucoup d’entre eux ont le même problème que toi.

Mes étudiants se plaignaient du fait que les Espagnols, tout de suite, leur parlaient en anglais quand ils essayaient de parler en espagnol. Comme ça, ils ne pouvaient pas le pratiquer. “Ils n’ont pas de patience!”, me disaient-ils. J’imagine que c’était vrai. Les serveurs, les vendeurs... ils ne voulaient pas perdre de temps avec les pauvres apprentis.

Un autre problème qu’ils avaient, c’était la prononciation, parce qu’ils avaient de(s) véritables difficultés pour se faire comprendre. Ça c’était très frustrant pour eux.

À mon avis, la prononciation (c’)est importante, mais ce n'est pas le plus important. Moi, comme toi, je crois que perdre son (l’)accent, c’est perdre un peu de toi même. Qui aimerait Dalida, si elle avait (ait) eu un accent parfait? Même Julio Iglesias a son accent et, voilà!, il est connu dans le monde entier!

Elizaveta, si j’étais à ta place, ma première inquiétude serait de bien apprendre  la grammaire et, après, le langage familier, pour parler avec normalité dans la rue. La prononciation me semblerait(s) importante, oui, mais pas la chose principale. Même, je ne voudrais pas perdre mon accent et, pourquoi pas, être connue comme “l’Espagnole”.

14/20

mercredi 10 janvier 2018

PROGRAMME DEUXIÈME TRIMESTRE

Programme deuxième trimestre 


 Voici notre programme pour le deuxième trimestre :

·         1 dossier et demi du manuel Entre nous 4 pendant cette période.
   
Maîtrise de la langue 

                Ø  Exercices de la grammaire Belin selon besoins

                Ø  Textes à trous : un par mois

Atelier d'expression écrite : Vendredi 26 janvier

Atelier d'expression orale : Vendredi 23 février

Activités extra-scolaires :

Ø   Cinéforum à la fondation La Caixa le mercredi 7 février à 18h30 avec la projection du film Paulette de Jérôme Enrico suivie d'un débat animé par Isabelle Anthore et moi-même.

Ø   Atelier de cuisine à l'école hôtelière (EHIB) le mercredi 14 mars animé par Isabelle Anthore et moi-même. Plus de détails sur cette activité vous seront donnés ultérieurement.

      Deux exposés oraux :

Ø  Un exposé sur un thème que vous choisissez librement
     Calendrier à définir individuellement avec moi

Ø  Un exposé sur un des sujets proposés comme activités sur le livre Mémé de Philippe Torreton (au choix dans la liste proposée postée avant Noël, voir rubrique "Livres de lecture obligatoire" du blog) 
     Calendrier à définir individuellement avec moi

·    Trois rédactions : Sujets et dates de remise :

Ø  Sujet proposé dans votre manuel Entre nous 4 p 178 (250/300 mots)
     Date de remise maximum : Avant le lundi 22 janvier

Ø  Sujet proposé dans votre manuel Entre nous 4 p 182 (250/300 mots)
Date de remise maximum : Avant le mercredi 14 février

Ø   Travail sur le livre de lecture  Mémé de Philippe Torreton (à faire au choix dans la liste proposée postée avant Noël, voir rubrique "Livres de lecture obligatoire" du blog) 
     Date de remise maximum : Avant le mercredi 14 mars

mardi 26 décembre 2017


Les applications pour manger sainement : source de bien-ètre ou source de stress.?

Le corps a besoin de nourriture pour bien fonctionner ; pour cela, il est conseillé de varier les aliments en quantité et qualité , (;) pour avoir une bonne santé physique, psychologique. Le fait de se priver de nourriture (,) nous amène à développer une relation négative avec la nourriture et avec le plaisir de manger. Chez certaines personnes, la nourriture devient une  préoccupation, ce qui peut provoquer des troubles du comportement chez eux ; le fait de compter les calories qu’on mange à (dans) chaque moment(s) et chaque repas (;) rend le fait de manger très pénible, stressant.  De plus,  cela  ne permet(is) pas de diminuer son poids ; je pense que cette méthode est très ancienne, cela fait  (s’affait) longtemps qu'on l'utilise mais on sait qu'elle ne donne pas (qu’elle n’a pas donné(e)) de bons résultats. A mon avis, il faut manger de tout et de ne (pas) se priver (privilégier) de rien ; mais avec des rations très petites  et pendant(s) différents moments de la journée, c’est la meilleure façon de faire un régime ; en culpabilisant et en comptant  (Le fait de (se faire) culpabiliser et de compter) les calories, on ne voit plus la nourriture comme on devrait la voir.
Pour moi, tout(s) ce que je mange  me fait vraiment plaisir,(; C)ce plaisir que beaucoup  de(s) gens qui suivent des régimes stricts ne s'autorisent pas, Je n’ai pas une taille de mannequin, mais je suis à l’aise avec moi-même et  je pense c’est ça le principal(e).

13,5/20 Attention aux accords divers (F) et à la ponctuation (On la reverra en classe).

dimanche 3 décembre 2017

Je me souviens


Tous les jours, je me souviens de la personne la plus importante de ma vie. Elle était la personne en (avec) qui j'avais le plus de confiance : avec qui je parlais, je pleurais, je me déchargeais...


Je me souviens que nous parlions tous les jours, soit face à face, soit par téléphone. Elle voulait simplement entendre (sentir) ma voix et moi, j'(e n')avais besoin de la sienne aussi. Je me souviens de toutes les histoires qu'elle me racontait. Je me souviens qu'un jour elle m'a raconté qu'elle avait vu des lumières en regardant la télé. Je me souviens qu'elle nous a dit qu'elle ne voulait pas aller voir le médecin.

Je me souviens que la semaine suivante je suis allée chez elle, mais elle n'était pas là, elle n'était plus là. Elle avait souffert un ictus.

Je me souviens du mois le plus dur de ma vie, de ces jours à ses côtés, à (dans) l'hôpital, sans pouvoir parler. Oui (Si), désormais, elle ne pouvait ('a) pas (pu) prononcer un mot. C'était malheureux. Par contre, je me souviens de tout ce que nous disions grâce à nos yeux. Et, bien sûr, je me souviens de tout l'amour que nous nous sommes (avons) donné avec les embrassades et les câlins.

Je me souviens de son désespoir, elle ne voulait pas vivre dans (sous) ces conditions. Je la comprenais.

Elle est et sera le plus beau souvenir de ma vie.

Un souvenir très émouvant Maria Bel...   16/20

lundi 27 novembre 2017

Les applications pour manger sainement

En ce qui concerne ce sujet, je crois qu’aujourd’hui comme hier il y a eu des gens très préoccupés par la nourriture et la quantité de calories dans chaque plat. Mais avec les nouvelles applications qui sont à notre portée on trouve beaucoup de personnes qui sont réellement sur le point de tomber dans une névrose.

En outre,  on écoute et on lit chaque jour un grand nombre de publicités sur les effets "merveilleux" des produits pour mincir qui ne sont pas créés par des professionnels de la santé,  et qui n’ont pas été contrôlés par des organismes officiels.

C’est vrai qu’on doit soigner son corps , toutefois sans l’excès d’examiner de façon minutieuse(x) chaque cuillerée qu’on va (s’)avaler.

J’ai une amie qui a toujours contrôlé son poids. Aujourd’hui cette préoccupation est (a) devenue une obsession pour elle puisqu'elle s’oblige à suivre des régimes amincissants sans aucune nécessité, et franchement la peau de son visage est très fripée.

Je crois qu’il est important de savoir savourer la vie et de s'accorder un (e donner quelque) caprice de temps en temps bien qu'(e) on grossisse un peu (de) trop.

Je suis d'accord avec toi Pepa, il faut faire attention mais sans excès.

jeudi 23 novembre 2017

LA SANTÉ DANS L'ASSIETTE - SE NOURRIR DE LUMIÈRE



Je viens d'écouter cette video d'Alyna Rouelle, qui assure n'avoir pas mangé(er) depuis 2014. Elle se nourrit d'eau et de lumière. Qu'en pensez vous?

Test

Test.

lundi 20 novembre 2017

Réécriture de La grande Distribution


Auparavant, faire les commissions était plus difficile qu'aujourd'hui. Il fallait changer le système pour faire les courses pour ne plus devoir faire la tournée des commerçants du village. La grande distribution a été inventée pour faciliter la consommation bien qu'elle ne soit ni généreuse ni accueillante et évidemment, pas du tout désintéressée. Prenez votre argent pour aller dans les grands magasins et vous aurez la sensation d'être entourés d'un monde fantastique.

La grande distribution contribue à enlaidir les villes avec des panneaux écoeurants et mercantiles. Le chariot donne l'impression que c'est moins fatiguant de faire ses courses mais c'est seulement pour que le client ait les mains libres pour acheter plus. On ne sent pas à l'aise car il y a un contrôle exagéré, c'est à dire qu'on a l'impression d'être toujours surveillé afin que l'entreprise puisse connaître tes pensées et te manipuler.

Quand vous rentrez dans un supermarché, vous vous réjouissez en écoutant les différents types de musique relaxante et à la mode. Vous entendez aussi les différentes publicités des produits en promotion mais, à la fin, tout le monde se retrouve dans la queue qu'il faut subir pour passer à la caisse.

Nous fournisssons à nos employés un uniforme avec le logo de l'entreprise et si ça ne leur plaît pas, nous les menaçons de licenciement. Et en plus, nous les payons, nous sommes de bonnes personnes. Et s'ils ne sont pas contents, ils peuvent aller à Pôle Emploi.
Quant aux consommateurs, ils sont alléchés et fidélisés avec une carte de crédit du supermarché, qui leur donne des facilités de paiement en même temps qu'on les retient comme clients. Si à la moitié du mois, le client a déjà dépensé tout son salaire, on lui offre la possibilité de payer à crédit avec Cetelem.

Je me souviens

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Je me souviens...

Je me souviens que, quand j’avais à peu près sept ans, s’il faisait beau, chaque jour d’automne en sortant de l’école, j’allais avec mes parents et ma petite soeur chercher des champignons dans (à) la forêt.
Nous étions quatre personnes sur la moto Guzzi de mon père : il la conduisait, j’allais sur le réservoir (dépôt) d’essence avec le devant de mes vêtements (a poitrine) plein(e) de journaux pour éviter le froid ma mère allait à l’arrière et elle portait deux grands paniers, un de(à) chaque côté, et entre (parmi) ma mère et mon père il y avait, assise, ma petite soeur, de quatre ans.
Pour le déjeuner ma mère portait, dans un des paniers, du pain, de la “sobrassada”, des “butifarrons”, du fromage “mahones” et des authentiques mandarines. Je me souviens très bien du bruit de la moto de mon père, et aussi, quand je pense à(en) ces moments-là, je sens encore la forêt humide et l’odeur des mandarines. Je me souviens aussi des différents champignons que nous trouvions dans (à) la forêt, et de comment les variétés changeaient à mesure qu’avançait la saison.
C’est un apprentissage que j’ai eu pour(ar) toute ma vie, et c’est un de mes hobbies préférés, que (lequel) j’ai transmis (transféré) aussi à mes enfants dès qu’ils ont appris à marcher.

Beau souvenir Catalina  15/20

Je me souviens

Je me souviens quand j'avais 18 ans. Je travaillais dans une agence de voyages. Un jour j’ai laissé mon poste et décidé d’aller à London pour étudier l’anglais. J’habitais chez (avec) une famille juive où je travaillais comme baby-sitter.
Tous les jours j’allais à une école où toutes mes collègues étaient espagnoles.
Je me souviens  quand tous les mercredis nous nous rencontrions pour aller danser, ou aller au cinéma. Une nuit je suis rentrée très tard. Il était peut-être trois heures de matin. Je me suis étonnée lorsque j’ai trouvé la porte d’entrée fermée.
J’ai commencé à chercher un lieu pour me réfugier(é) et passer la nuit. J’étais (très) bouleversée.
Heureusement j’ai aperçu une grande plante au milieu du jardin, alors j’ai entendu une voix qui venait du premier étage : « Totii, qu’est-ce que tu fais ? C'(Il) était la fille aînée qui(’)avait fermé la porte et, ayant entendu un bruit dans le jardin, s’était mise à la fenêtre.
J’étais sauvée.

14/20

Je me souviens...

Je me souviens de la sensation de mon premier jour à Southampton en Angleterre. J'ai été là pendant mon dernier cours à l'(a) université avec une (la) bourse Erasmus. La sensation a été indescriptible, encore aujourd'hui c'est difficile à (d')exprimer parce que c'était un mélange de peur, d'émotion, de joie, d'envie de vivre une expérience par(our) moi-même.
C'était la première fois que j'habitais (ai habité) dans un  autre(en outre) pays, loin de ma famille. J'y (e) suis allée toute seule (sole) mais quand j'ai fini(e) l'année, j'avais beaucoup d'amies de toute l'Europe, des amies qui maintenant continuent à être (étant) mes meilleures amies.
Aujourd'hui, je peux dire que l'expérience de vivre à l'étranger a été (était) enrichissante, et qu'elle(e) a beaucoup changé ma vie (m'a changé la vie).

En effet, vivre dans un autre pays est à la fois déroutant et enrichissant.

13/20