Dresser une fiche chronologique des conséquences de l'isolement classées par catégories (économiques, sociologiques, pratiques, bancaires...
)
Conséquences pratiques
Les voitures tombent en panne
à (au bout de) cinq kilomètres du village.
Les téléphones, les ordinateurs,
Internet arrêtent de fonctionner pour
(se) communiquer
avec l'extérieur (dehors).
On ne peut pas abandonner la ville et impossibilité que personne
n'y entre : le distributeur de journ
(e)aux, le livreur de la sup
érétte, l'infirmière, le facteur...
Personne ne peut
(pas) aller travailler
en dehors de Câtillon et les enfants ne peuvent pas aller à l'école.
Il
s se trouvent (restent) sans entreprise de pompes fun
èbres, sans structure officielle de justice.
Conséquences économiques
Il n'y a plus d'a
pprovisionnement de marchandises et d
e(u) pain.
On doit prioriser l'utilisation du fuel pour le
réserver (d
édier) à l'agriculture.On visite toutes les fermes pour
réquisitionner de (organiser) la nourriture
pour le (du) village et mettre des volontaires à travailler et faire rendre à la terre le plus de fruit
s possible
s.
Ils doivent apprendre l'autarcie, recentrer
leur (sa) consommation sur les produits du cru. Ils se sont mis à cultiver.On recycle et on
répare (repaire) tout. Les textiles et les objets qu
i(e) hier partaient à la poubelle prennent
à(au) présent une valeur immense.
Les travaux manuels prennent beaucoup d'importance face aux intellectuels.
M. Duval crée une distillerie.
Conséquences bancaires
Les habitants vont
à la banque pour (au banc à) retirer leur argent.
La réserve des coffres a
(vait) fondu.
Le distributeur automatique de bi
(t)llets
est (était) vide.
On ne
peut (pouvait) pas faire
d'(des) operations interbancaires.
(Ni entrait ni sortait aucun centime du canton.
) Aucun centime n'entre ni ne sort du canton. On ne
peut (pouvait) toucher ni l'argent des salaires ni des prestations sociales.
Conséquences sociologiques
La surprise, l
a(e) stupeur et après
la nervosité (le nerveur) et la peur des habitants.
La nouvelle manière de s'organiser pour pouvoir survivre des habitants avec le maire et le conseil municipal pour delimiter le problème, trouver des solutions
, prendre
des décisions sur la nourriture , les urgences, les difficultés m
édicales, l'école pour les enfants, le rationnement , la coordination et l'organisation de la production agricole.
IL AURAIT MIEUX FALLU FAIRE DES PHRASES ICI.
L'inclusion des maires des communes environ
nant
es situées à l'intérieur du périmètre dans le conseil municipal.
Les principes fondamentaux qui
sont remis en question (se mettent en jeu) : la liberté individuelle, de commerce, la justice, la solidarité, l'instinct de survie et la protection des sien
(ne)s.
Une nouvelle forme de relation sociale: les cafès
sont (étaient) bondés, l'église est pleine.
Le besoin des
Châtillonnais de parcourir le canton, d'explorer leur environnement qu'ils ne connais
saient
plus (pas).
Les paysans sont consid
érés désormais comme des messies. L'avenir du village
est (était) dans leurs champs.
L'orgueuil de se débrouiller seuls en recourant le moins possible à leurs coupons de rationnement.
Le chômage était un problème, certains
Châtillonnais s'offraient aux fermes en échange d'un peu de nourriture, un autre organisait un système scolaire, d'autres se trouvaient désorientés.
L'apparition (de apparaître) (La parution
, de paraître, par exemple la parution d'un livre) des group
es de sauvageons qui battaient la campagne et se réunissaient dans les fermes à l'abandon.
Les nouvelles relations entre les hommes et les femmes célibataires pour les choses du coeur et du sexe.
Les familles se reagroupaient pour partager le chauffage.
Le maire transforma la salle communale en centre d'accueil pour les habitants privés de chauffage.
L'exp
édition organisé
e pour explorer une sortie du village après un hiver
(n) dur.
Le refus (La n
égation) de Jean-Claude Verviers
de (à) contribuer à la no
urriture des habitants moins favorisés et la déclaration d'ind
épend
ance du ranch
(e).Il recrute les
meilleurs (mieux) travailleurs de la ville et après des femmes pour son pla
(i)n de natalité et laisse le village sans les personnes les plus précieu
ses(x). Deux communautés se formèrent à l'int
érieur du canton et Verviers devi
(e)nt un leader capable d'avoir un projet pour l'avenir, même pour le
s Châtillonnais de l'autre coté qui écoutent toutes ses opinions. C
hâtillon se rapprochait d'une nouvelle organisation sociale, de type semi-féodal avec un seigneur obscur vivant dans son ranch et une population fascinée.
Le procès populaire sans justice officielle contre Navolli et la peine capital
e.
Le père Delapierre reçoit des demandes d'ordenations des jeunes .
La naissance des cultes nouveaux: le cult
e au soleil.
La multiplication des cas de dépression, de
s crises d'angoisse et d
e l'alcoolisme.
Inauguration d'un monastère et l'isolement des nouveaux jeunes religieux.
Pendant (Depuis) deux ans les
Châtillonnais prennent toutes les libertés avec le droit de proprieté.
La mort de Verviers et la fin du ranch faute d'un leader capable de continuer le projet de son fondateur.
Les ex- ranchers retrouvent un village décati, sale, fatigué.
Une sorte de dépr
ession généralisé
e s'empara de Châtillon. Ils ne trouvaient pas le sens de continuer, ils se sentaient sous
(un) séquestre et on abandonnent à la dégradation du village. la population diminuait à la moitié.
?
Final
ement on trouve un passage et devant la possibilité de sortir sans savoir si on pou
r(d)ra
revenir (retourner) les habitants de C
hâtillon ont des r
éactions diverses de telle manière qu'on crée
(nt) deux factions les feuilles volant
es (familles en partance) et les racines( hostiles à l'exil).
Et finalement la lutte du père Delapierre qui décide
de partir avec une arme dans sa poche.
14/20 Bon travail de recherche et de synthèse.